Oh mon pauvre coeur, oh mon pauvre cœur,
Pourquoi tu vibres à chaque malheur ?
Tu pleures pour les déshérités,
Tu pleures pour la femme humiliée,
Tu pleures pour l’homme blessé,
Tu pleures pour la nature pillée.
Essaye, essaye de sourire,
Tu me fais trop souffrir.
Je te demande d’ouvrir tes yeux,
Pour lutter avec les jeunes et les vieux,
Qui oeuvrent loin des studios illuminés,
Pour plus de justice et de liberté.
Oh mon cœur aide ces gens avec générosité,
Oh mon cœur aide ces gens sans arrière pensée.
Sois optimiste ne serait ce qu’un peu,
Pour chasser le pessimisme, ce mal odieux.
Je sais que tu es sensible et que tu aimes,
Mais relève-toi vite quand même.
Je dédie ce poème à ceux qui ont un cœur magnanime.
Pourquoi tu vibres à chaque malheur ?
Tu pleures pour les déshérités,
Tu pleures pour la femme humiliée,
Tu pleures pour l’homme blessé,
Tu pleures pour la nature pillée.
Essaye, essaye de sourire,
Tu me fais trop souffrir.
Je te demande d’ouvrir tes yeux,
Pour lutter avec les jeunes et les vieux,
Qui oeuvrent loin des studios illuminés,
Pour plus de justice et de liberté.
Oh mon cœur aide ces gens avec générosité,
Oh mon cœur aide ces gens sans arrière pensée.
Sois optimiste ne serait ce qu’un peu,
Pour chasser le pessimisme, ce mal odieux.
Je sais que tu es sensible et que tu aimes,
Mais relève-toi vite quand même.
Je dédie ce poème à ceux qui ont un cœur magnanime.
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