L’obésité des enfants est devenue un problème de santé publique. Faut-il donc interdire la publicité de certains aliments ? Débat. Par Julie Lasterade.
Ils ne veulent plus voir de publicité pour les céréales à l’heure du petit déjeuner.
Ils ne veulent plus de promo pour les biscuits, les barres chocolatées ou les crèmes dessert à l’heure du goûter et réclament que cessent les spots pour les chips et les crackers à l’apéro.
Ils sont contre la pub télévisée pour les aliments trop gras, trop sucrés ou trop salés aux heures de grande écoute des enfants.
Ils sont plus de mille médecins, professeurs, parents d’élèves, épidémiologistes à avoir déjà signé une pétition*. Le 4 février dernier, ils ont reçu le soutien de Roselyne Bachelot, ministre de la Santé. Dans son plan de lutte contre l’obésité infantile, elle demande aux industriels de l’agroalimentaire et aux producteurs audiovisuels de faire preuve d’autodiscipline.
Elle leur donne jusqu’à la fin de l’année scolaire pour limiter ces promotions. Faute de quoi, elle mettra en place des mesures « d’interdiction de ces publicités à destination de nos enfants pendant les émissions qui les concernent ».
Comme en Angleterre, au Québec ou en Suède. Pour que la publicité ne les gave plus de sodas, de hamburgers, de biscuits.
- Elle.fr
Ils ne veulent plus voir de publicité pour les céréales à l’heure du petit déjeuner.
Ils ne veulent plus de promo pour les biscuits, les barres chocolatées ou les crèmes dessert à l’heure du goûter et réclament que cessent les spots pour les chips et les crackers à l’apéro.
Ils sont contre la pub télévisée pour les aliments trop gras, trop sucrés ou trop salés aux heures de grande écoute des enfants.
Ils sont plus de mille médecins, professeurs, parents d’élèves, épidémiologistes à avoir déjà signé une pétition*. Le 4 février dernier, ils ont reçu le soutien de Roselyne Bachelot, ministre de la Santé. Dans son plan de lutte contre l’obésité infantile, elle demande aux industriels de l’agroalimentaire et aux producteurs audiovisuels de faire preuve d’autodiscipline.
Elle leur donne jusqu’à la fin de l’année scolaire pour limiter ces promotions. Faute de quoi, elle mettra en place des mesures « d’interdiction de ces publicités à destination de nos enfants pendant les émissions qui les concernent ».
Comme en Angleterre, au Québec ou en Suède. Pour que la publicité ne les gave plus de sodas, de hamburgers, de biscuits.
- Elle.fr
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