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«La situation économique de l'Algérie ne cesse de s’améliorer». Ce constat, quelque peu général, a été établi hier par le ministre de la Communication, Abderachid Boukerzaza, lors du point de presse hebdomadaire, animé à l’issu du Conseil de gouvernement. Se voulant plus précis, le ministre de la Communication a recours à des données chiffrées. Ainsi, le Produit intérieur brut (PIB) enregistré en 2007, a atteint 135,3 milliards de dollars, soit 9 390 milliards de dinars. De ce fait, le revenu par personne a atteint 3998 dollars, soit une augmentation de 3% par rapport à l’année 2006. «Les indices de l’économie nationale enregistrés pendant l’année dernière, affirment que l’économie de l’Algérie observe une remarquable amélioration comparativement aux années précédentes» a indiqué le ministre de la Communication. Ce dernier a, en outre, indiqué que le taux de croissance du pays s’est, lui aussi, amélioré en 2007 comparativement à l’année précédente. C’est ainsi que, dans le secteur de l’agriculture, l’on a enregistré un taux de croissance de +5% par rapport à 2006. Le secteur du bâtiments et travaux publics a enregistré une croissance de plus de 9%, alors que le secteur des services, lui, a atteint 9,6%. Quant au secteur de l’industrie, qui a enregistré 0,8% il est perçu comme le dernier chaînon puisqu’il accuse un retard énorme. «Nous espérons que ce secteur, qui reste à la traîne, enregistre une nette amélioration dans les années à venir.
Cela, grâce notamment à la nouvelle stratégie industrielle mise en place par le gouvernement et qui est susceptible de mener à bon port ce domaine» a déclaré le ministre. Revenant sur le taux d’épargne nationale, le conférencier a indiqué que cet indice a, lui aussi, enregistré un remarquable progrès. Il est estimé à +11,4 par rapport à 2006, soit 5,32 milliards de dinars. Quant aux dépenses budgétaires, elles sont estimées à 3093 milliards de dinars. Les dépenses relatives à l’équipement, elles, sont de l’ordre de 1420 milliards de dinars. Revenant sur le Fonds de régulation des recettes, le ministre de la communication a souligné qu’il a enregistré 3200 milliards de dinars. Par ailleurs, le conférencier a indiqué que les prix des produits de consommation courante ont augmenté, en 2007, de 3,7% comparativement à 2006. M.Boukerzaza a expliqué cette situation par l’augmentation exponentielle des prix sur les marchés internationaux, estimée à + de 4,5% par rapport à l’année 2006. M.Boukerzaza a, par ailleurs, indiqué que le taux de chômage continue à baisser, atteignant ainsi le taux de 11,8% l’année dernière, alors qu’en 2006 il était de l’ordre de 12,3%. Il faut souligner, en ce sens, que l’augmentation des prix des produits alimentaires sur les marchés internationaux a porté un coup très dur à l’économie algérienne. La cherté de ces produits a provoqué l’augmentation des dépenses d’importations lesquelles ont atteint 27,8 milliards de dollars, soit une augmentation de +30% par rapport à l’année 2006.
source : L'Expression
Cela, grâce notamment à la nouvelle stratégie industrielle mise en place par le gouvernement et qui est susceptible de mener à bon port ce domaine» a déclaré le ministre. Revenant sur le taux d’épargne nationale, le conférencier a indiqué que cet indice a, lui aussi, enregistré un remarquable progrès. Il est estimé à +11,4 par rapport à 2006, soit 5,32 milliards de dinars. Quant aux dépenses budgétaires, elles sont estimées à 3093 milliards de dinars. Les dépenses relatives à l’équipement, elles, sont de l’ordre de 1420 milliards de dinars. Revenant sur le Fonds de régulation des recettes, le ministre de la communication a souligné qu’il a enregistré 3200 milliards de dinars. Par ailleurs, le conférencier a indiqué que les prix des produits de consommation courante ont augmenté, en 2007, de 3,7% comparativement à 2006. M.Boukerzaza a expliqué cette situation par l’augmentation exponentielle des prix sur les marchés internationaux, estimée à + de 4,5% par rapport à l’année 2006. M.Boukerzaza a, par ailleurs, indiqué que le taux de chômage continue à baisser, atteignant ainsi le taux de 11,8% l’année dernière, alors qu’en 2006 il était de l’ordre de 12,3%. Il faut souligner, en ce sens, que l’augmentation des prix des produits alimentaires sur les marchés internationaux a porté un coup très dur à l’économie algérienne. La cherté de ces produits a provoqué l’augmentation des dépenses d’importations lesquelles ont atteint 27,8 milliards de dollars, soit une augmentation de +30% par rapport à l’année 2006.
source : L'Expression
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