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Le ministre des universités minimise la fuite des cerveaux en Algérie

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  • Le ministre des universités minimise la fuite des cerveaux en Algérie

    Alors que des milliers de chercheurs et d’universitaires quittent le pays, les autorités minimisent le phénomène de la fuite des cerveaux. C’est ainsi que le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a qualifié d’«infime» le nombre des compétences ayant quitté l’université algérienne pour s’établir à l’étranger. «L’Algérie, a précisé Rachid Harraoubia, n’a pas de déficit en matière de maîtres-assistants, mais a, en revanche, besoin d’enseignants et d’universitaires ayant le grade d’enseignant chercheur». Il se trouve, que justement, c’est cette catégorie de cadres qui quittent le pays, fuyant un environnement non favorable à l’évolution de leurs recherches. M.Harrouabia a indiqué que son département est en contact permanent avec les enseignants chercheurs et les enseignants établis à l’étranger pour tirer profit de leurs compétences, aussi bien en Algérie que dans les pays d’accueil. Voilà une assurance qui fait réellement peur. Quand des hauts responsables de l’Etat minimisent un phénomène qui inquiète tous les pays en développement, il y a un réel problème d’appréciation. Cela étant, les Assises sur l’enseignement supérieur et la recherche scientifique se sont clôturées avant-hier, à Alger.

    Les recommandations auxquelles sont parvenus les participants seront mises en oeuvre à partir de la prochaine rentrée universitaire. Mais attendons d’abord que ces conclusions soient traduites en textes d’application. Aussi, «ces recommandations doivent-elles être classées en fonction des besoins de l’environnement socio-économique», comme l’a souligné le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Lors d’une conférence de presse animée à l’issue des assises, M.Harraoubia a insisté sur «le renforcement de la relation entre l’université et son environnement économique à travers la signature de conventions spécialisées». Pour rappel, lors de ces assises, les participants avaient formulé une proposition pour la création d’unités de recherche relevant d’entreprises économiques.

    «L’université est disponible à répartir ses chercheurs sur ces institutions», a indiqué le ministre. Il faut souligner, dans cette optique, que 34 programmes de recherche ont été identifiés, lors de ces assises. Ils concernent plusieurs secteurs, dont ceux de l’agriculture, les ressources en eau, la santé et l’emploi. En outre, les experts ont plaidé pour la mise en place de programmes de recherche qui soient en adéquation avec les préoccupations et exigences du secteur socio-économique. A ce titre, ils ont plaidé pour un partenariat réel entre les universités et les entreprises économiques à travers la mise en place de programmes à même de permettre aux nouveaux diplômés universitaires de trouver des emplois correspondant à leur profil. Soulignons, dans ce contexte, qu’entre 1999 et 2007, plus de 35.000 thèses de magistère et près de 3500 thèses de doctorat ont été présentées.

    Hakim KATEB - l'Expression

  • #2
    JE ne sais pas si on peut vraiment ce fier ces chiffres mais voila tout de meme :

    France: 15 % des médecins étrangers inscrits sont Algériens PARIS (France)- L’Ordre français des médecins a indiqué jeudi que sur les 8.431 médecins étrangers exerçant en France, inscrits sur son tableau, 15 % sont Algériens. Dans un rapport traitant des "médecins de nationalité européenne et extra-européenne", l’ordre a recensé 8.431 médecins de nationalité étrangère inscrits sur son tableau, représentant 3,5 % du total des praticiens en France, toutes spécialités confondues. Ces données font ressortir que 15 % sont Algériens contre 17 % de Belges, bien avant les Allemands (11%) ou encore les Italiens (8%).
    [Aps 22/5/08]

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    • #3
      moi j'ai trouvé la solution,
      Faire croire à notre gouvernelment, qu'il est l' ELITE de l'élite de notre pays. vous avez deviné la suite.


      la sortie SVP --------->
      .


      Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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      • #4
        Moha

        Ben il a raison, le ministre de l'université, sont son cerveau toujours présent c'est que c'est vrai, heureusement sinon mort cérébrale. Par contre pour les cerveaux algériens ils sont tous partis.

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        • #5
          suremement azouz , jusqu'a maintenant le ministere ne distingue pas entre fondamental et appliqué. les chercheurs algeriens le peu sont dans le fondamentale ils ont 0.005 % de chance que leur recherche aboutie a une application. les meilleurs chercheurs les plus doués ont un sujet sous formze d'un anneaux d'une chaine. le chercheur cherche et trouve mais ignore le debut et la fin de la chaine elle est tres longue.
          ""un pays doit faire sa propre science en démarant de zero"" minime soit elle mais mieux que cette agitation politicienne. le ministere croit encore que les laboratoires a l'etranger sont ouvert comme des staddes n'importe qui entrera n'important comment en s'hbillant comme on préfere. chez eux le chercheur se forme a l'age de 4 ans. a cet age il est soit medecin soit ingenieur.

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          • #6
            Pour espérer une relance de l'activité scientifique et de possibles applications des résultats de la recherche, il faut d'abord assainir l'université de ces pseudo responsables qui sont là que gérer leur carrière et faire semblant que tout marche. Des recteurs, des doyens sans compétence aucune et sans aucune chance d'accéder à ces postes de responsabilités si des critères universellement appliqués venaient à être adopter chez nous. Ce n'est qu'avec une démocratisation de la gestion de l'université, qu'on peut s'attendre à une synergie des efforts pour donner à l'université la place que la société attend d'elle.

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            • #7
              ce sois disant ministre de l enseignement superieur na aucune vision et sa place n est pas la ou il est.mais il devras rendre des comptes apres le reigne de bouteflika.

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