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Maroc : croissance de 6,5% du PIB au titre des trois premiers mois de 2008

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  • Maroc : croissance de 6,5% du PIB au titre des trois premiers mois de 2008

    niveau pluvimetrice juge insuffiisant, le baril a plus de 100 dollars et comme meme la croissance et la.

    23-05-2008 Le PIB marocain devrait croître de 6,5% en glissement annuel au premier trimestre et de 6,1% au second.
    En raison d’un niveau de pluviométrie jugé insuffisant et d’une répartition spatio-temporelle non équilibrée, la production céréalière est estimée à 50 millions de quintaux, soit 18% inférieure aux prévisions.
    Dans ce sillage, la croissance du PIB agricole devrait s’établir à 10,2% au premier trimestre, avant de se ralentir pour se fixer à 9,9% au second trimestre.
    Hors agriculture, la valeur ajoutée devrait croître de 5,6%, puis de 5,2% au terme des premier et deuxième trimestres respectivement.

  • #2
    ok que faire alors pour sauvgarder cette croissance

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    • #3
      DéJA CE QU'IL FAUT RELEVER C'EST QU'ONT FAIT PLUS DES CROISSANCES NEGATIFS ET CEUX MËME SI L'AGRICULTURE N'EST PAS AU RENDEZ VOUS.

      EN SUITE TU AS RAISON RACDAVID ONT A UN PROBLèME POUR GARDé DE TEL PERFORMANCE LA MEILLEURES SOLUTION SERAI DE REFORMER L'AGRICULTURE REGLé LE PROBLèME DE CELLE CI CONTINUER LES REFORMES ET PEUT ËTRE QUE LE BON DIEUX NOUS RéCOMPENSERA

      MAIS ONT A CHANGER D'EPOQUE C'EST DéJA SA DE GAGNER.

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      • #4
        Ce que je retient c'est que la methode adoptée pour évaluer la croissance du PIB est trop désuette.
        Hors agri, la croissance se stabilise a 5,5 à 6% depuis une décennie à peu près, pour cette année le fait que l'on réalisera une croissance à 6,5% si l'on croit ces prévisions, c'est parceque malgrès une faible pluviometrie, le bilan agri demeure en proggression par rapport à l'année dernière qui était catastrophique, et donc vu le décalage entre la réalité economique et la prise en considertion du secteur agricole dans le calcul du PIB, la croissance de 10% du secteur agricole explique le point en plus dans la croissance globale par rapport au 5,5% du secteur non-agri.

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