Pluie de Juin
Une chaude et pénétrante pluie d'été
Avait collé ma robe blanche à mon corps
Semblant le rendre nu
Le temps passait à l’orage, tout semblait se déchaîner
Etait-ce dehors ou en moi que la tempête faisait rage ?
Je me sentais grisée, comme électrisée
J’en oubliais tout notre entourage
J’attendais cet instant, calme et frissonnante
Ce moment divin d’une nuit affolante
De grosses gouttes nous aveuglaient
Mais nous n’avions pas besoin de nous voir
Plongés dans cette nuit noire.
L’écoute de nos deux cœurs nous suffisait
Je savais que ce moment était inéluctable
Pourtant qu’attendais-tu pour me serrer contre toi ?
J’en frissonnais d’avance c’était si agréable
Je rougissais et chérissais ce délicieux émoi
Moi si forte, si sûre, je perdais tous mes repères
Dans tes bras je m’abandonnais
Cette passion que je lisais dans tes yeux
Qui était tienne autant que mienne
Me fit comprendre que j’avais déjà succombé
Nous nous étreignions comme deux amants éternels
Prêts à nous consumer dans cet échange charnel
Rien n’aurait pu nous arrêter.
La foudre qui s’était abattue
Ne nous avait pas épargnée.
Allais-je devenir un ange déchu ?
Une chaude et pénétrante pluie d'été
Avait collé ma robe blanche à mon corps
Semblant le rendre nu
Le temps passait à l’orage, tout semblait se déchaîner
Etait-ce dehors ou en moi que la tempête faisait rage ?
Je me sentais grisée, comme électrisée
J’en oubliais tout notre entourage
J’attendais cet instant, calme et frissonnante
Ce moment divin d’une nuit affolante
De grosses gouttes nous aveuglaient
Mais nous n’avions pas besoin de nous voir
Plongés dans cette nuit noire.
L’écoute de nos deux cœurs nous suffisait
Je savais que ce moment était inéluctable
Pourtant qu’attendais-tu pour me serrer contre toi ?
J’en frissonnais d’avance c’était si agréable
Je rougissais et chérissais ce délicieux émoi
Moi si forte, si sûre, je perdais tous mes repères
Dans tes bras je m’abandonnais
Cette passion que je lisais dans tes yeux
Qui était tienne autant que mienne
Me fit comprendre que j’avais déjà succombé
Nous nous étreignions comme deux amants éternels
Prêts à nous consumer dans cet échange charnel
Rien n’aurait pu nous arrêter.
La foudre qui s’était abattue
Ne nous avait pas épargnée.
Allais-je devenir un ange déchu ?
May 21st, 2008
By Angèle
Commentaire