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Bonsoir
Le président français Nicolas Sarkozy a porté plainte dans une affaire de tee-shirts parodiques utilisant son patronyme suivi du slogan «tolérance zéro».
La plainte M. Sarkozy, qui s'est constitué partie civile dans cette affaire, vise un tee-shirt dont le logo transforme le «o» du patronyme présidentiel en cible avec en dessous un slogan «tolérance zéro... 50 points».
Au-dessus du nom, la devise républicaine «liberté, égalité, fraternité» est maculée d'une tâche de sang, selon le quotidien régional «Dauphiné Libéré».
Cette plainte s'ajoute à celles de nombreuses sociétés comme Lacoste et Heineken, dont les logos ont été repris et détournés avant d'être imprimés sur des tee-shirts destinés à la vente, selon la source judiciaire.
La majorité des tee-shirts concernés, dont certains ont été saisis sur un marché d'Albertville, ont été commercialisés par des sociétés dont les gérants ont été inculpés en avril pour «contrefaçon, détournement de marque sans autorisation», a précisé leur avocat, Me Roland Marmillot, qui fait valoir qu'»on est dans l'humour».
Il a indiqué qu'un de ses clients avait été inculpé notamment pour «incitation au terrorisme» après avoir transformé sur le tee- shirt qu'il vendait un oeuf de la marque «Kinder» en grenade renommée «Killer».
Source: SDA/ATS
Le président français Nicolas Sarkozy a porté plainte dans une affaire de tee-shirts parodiques utilisant son patronyme suivi du slogan «tolérance zéro».
La plainte M. Sarkozy, qui s'est constitué partie civile dans cette affaire, vise un tee-shirt dont le logo transforme le «o» du patronyme présidentiel en cible avec en dessous un slogan «tolérance zéro... 50 points».
Au-dessus du nom, la devise républicaine «liberté, égalité, fraternité» est maculée d'une tâche de sang, selon le quotidien régional «Dauphiné Libéré».
Cette plainte s'ajoute à celles de nombreuses sociétés comme Lacoste et Heineken, dont les logos ont été repris et détournés avant d'être imprimés sur des tee-shirts destinés à la vente, selon la source judiciaire.
La majorité des tee-shirts concernés, dont certains ont été saisis sur un marché d'Albertville, ont été commercialisés par des sociétés dont les gérants ont été inculpés en avril pour «contrefaçon, détournement de marque sans autorisation», a précisé leur avocat, Me Roland Marmillot, qui fait valoir qu'»on est dans l'humour».
Il a indiqué qu'un de ses clients avait été inculpé notamment pour «incitation au terrorisme» après avoir transformé sur le tee- shirt qu'il vendait un oeuf de la marque «Kinder» en grenade renommée «Killer».
Source: SDA/ATS