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L'islamophobie en Occident, comment l'expliquer?

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  • #16
    j'ai besoin d'aide

    excusz moi je sais que ça n'a rien avoir avec votre sujet mais s'il vout plais est ce que quelqu'un poura m'orienter et me dire a qui je dois m'adresser si j'ai un petit probléme dans ce forum; qui c'est le responsable et celui qui accepte ou pas certains sujet dans ce forum?
    merci d'avantage

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    • #17
      une deesse babylonienne devrait le savoir..il faut voir les moderateurs..ceux dont le pseudos sont en vert
      « Puis-je rendre ma vie
      Semblable à une flûte de roseau
      Simple et droite
      Et toute remplie de musique »

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      • #18
        Je vous signale qu'en Algérie, on a tué des femmes et des enfants au nom de l'islam, et apres New-York, Londres et Madrid, faut pas s'attendre à ce que les occidantaux aiment l'Islam.

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        • #19
          Sauf que l'islamophobie est antérieure à ces événements

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          • #20
            la Phobie vient de nos actes.. apres les derniers evenements. Avant c'etait une phobie de perdre certaines libertes par ignorance les occidentaux ne savaient rien de l'islam, ils avaient leur propre Religion et leur propre Croyances, et biensure en tant qu'humains si c'etait l'inverse on aurait fait la meme chose.

            El hamdoulilah on est nees Musulmans. et pour ceux qui le sont devenu apres Je les admires.
            We were all Born newbies... some grow up with the time and some just dont...

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            • #21
              En plus ces gens se croient civilisés....!!!!!

              Voici un article qui montre l'islamophobie "italienne"..O. FALLACHI AND CO...

              Elle apprend à tout le monde à être racistes "avec fierté" : sans avoir honte. Quant à "que faire?", ce n’est pas un hasard si Oriana Fallaci n’en parle jamais, malgré le flot de paroles dont elle nous inonde périodiquement. A ce que faire? Eugenio Scalfari a consacré une rapide allusion polémique, presque comme s’il s’agissait d’un paradoxe : "arrêter tous les musulmans résidents en Italie et les jeter à la mer."


              Islamophobie : A l’ouest d’Oriana Fallaci


              Je n’ai pas lu la succession toute entière des écrits d’Oriana Fallaci contre l’Islam et en défense de la civilisation occidentale désormais déchue (trop, c’est trop) et je suis d’accord avec Piero Ottone qui, avant même le dernier essai (Il nemico che trattiamo da amico (L’ennemi que nous traitons en ami, NdT), Il Corriere della Sera, 16.07.2005) avait soutenu que ces écrits ne peuvent pas être commentés - ils ne méritent pas de commentaires - parce qu’ils ne contiennent pas d’argumentations, mais seulement des invectives.

              Mais ils suscitent au moins deux questions : la première concerne leur succès, aussi bien auprès du grand public qu’auprès d’un groupe nourri et sans cesse grandissant d’intellectuels, de politiques et de journalistes. La deuxième concerne le "non dit" de ces écrits.

              C’est-à-dire : que propose Oriana Fallaci? Les deux questions sont liées : le succès de ces écrits dépend beaucoup du fait qu’ils s’arrêtent avant de tirer les conséquences. Oriana Fallaci donne une voix et une forme - certainement pas une "dignité" - littéraire à des humeurs répandues dans une partie consistante du public italien, européen, "occidental" ; des humeurs que - en cela elle a raison - beaucoup auraient eu honte de manifester avant ses interventions. Lesquelles? Avant tout la peur du différent et de "l’étranger", aiguisée par les dimensions planétaires des migrations que la globalisation du marché du travail, la misère et les guerres ont mis en mouvement.

              Deuxièmement la nostalgie d’une identité perdue ; une identité dévastée par la multiplication de l’offre de biens de consommation et par la vacuité des messages véhiculés par les médias. Et puis, la "rage" - c’est la maladie des chiens hydrophobes - par laquelle Oriana Fallaci a voulu marquer la tonalité émotive de ses invectives et qui répond aux frustrations quotidiennes d’une vie de plus en plus dure, imposée aussi bien à ceux qui manquent de tout qu’à ceux qui gardent encore des privilèges. Enfin "l’orgueil". De quoi est orgueilleuse Oriana Fallaci, qui a honte de la mollesse de presque tous les gouvernants et les gouvernés de la civilisation à laquelle elle se sent appartenir?

              Ce n’est pas clair. Mais l’orgueil est le secret de son succès : moins on se sent considéré - et depuis longtemps la considération et le respect destinés aux citoyens communs sont de plus en plus voisins de zéro - et plus on poursuit une revanche, à la recherche de quelqu’un qui "vaille" moins que nous. C’est le mécanisme fondamental du racisme : celui qui, pendant des années, a poussé les "Blancs pauvres" des Etats-Unis à tenir lieu de fer de lance de la discrimination raciale. Oriana Fallaci a repéré ce "quelqu’un" dans un "monde islamique" construit pour son usage personnel ; et elle ne lui lésine ni son mépris ni des manifestations ouvertes de dégoût.

              Ainsi, elle apprend à tout le monde à être racistes "avec fierté" : sans avoir honte. Quant à "que faire?", ce n’est pas un hasard si Oriana Fallaci n’en parle jamais, malgré le flot de paroles dont elle nous inonde périodiquement. A ce que faire? Eugenio Scalfari a consacré une rapide allusion polémique, presque comme s’il s’agissait d’un paradoxe : "arrêter tous les musulmans résidents en Italie et les jeter à la mer. Ou bien, en alternative, les enfermer dans des ghettos gigantesques d’où il ne pourraient sortir que sous escorte pour aller travailler. Probablement Oriana Fallaci et certains de ses associés applaudiraient à une politique de ce genre" (La Repubblica, 17.07.05). Mais c’est un argument qui mérite une plus grande attention.

              Le dernier ouvrage d’Oriana Fallaci peut être résumé dans ces termes :

              1) nous sommes (qui?) en guerre ;

              2) la guerre est contre l’Islam : dans toutes ses manifestations ;

              3) il n’y a pas d’islamistes "modérés", c’est-à-dire pacifiques (tôt ou tard ils deviendront tous des terroristes) ;

              4) cela dépend du Coran, qui prêche la haine (pas un traître mot sur les exterminations ordonnées par le dieu de la Bible contre les ennemis d’Israël ; il y a bien eu des croisades et des bûchers de sorcières et d’hérétiques, mais cela, c’est le passé. Et le pope qui bénissait les bouchers de Srebrenica?) ;

              5) l’Islam est en train d’envahir l’Europe (ses gouvernants sont consentants) ;

              6) l’objectif de cette invasion est la domination du monde (ici on effleure, ou on dépasse, les Protocoles des sages de Sion) ;

              7) il faut se battre. Mais comment?
              Contre l’Islam, il n’y a aucun problème dans les pays d’origine. Bush a donné l’exemple et il faut continuer à le soutenir : aujourd’hui en Afghanistan et en Irak, demain en Iran, en Syrie et ainsi de suite ; même si les résultats de ces guerres se sont avérés de vrais désastres pour tout le monde : l’Irak a été transformé en une concentration et en un point de rayonnement planétaire du terrorisme. Mais que faire contre l’Islam qui essaye de défoncer nos frontières par les permis de travail ou les boat-people?

              Ici, "les jeter à la mer" signifie : ramener les flux à zéro (ainsi l’économie et la société européennes coulent définitivement : qui voudra travailler à la place des immigrés?) et tirer sur les embarcations des clandestins qui essayent de débarquer sur nos côtes. Et puis, multiplication des Centres de rétention, qu’Oriana Fallaci voudrait voir transformés en véritables prisons (mais que leur manque-t-il pour l’être?) et déportations, individuelles, comme celles de la Cia vers les pays qui torturent et font disparaître leurs opposants ; et de masse, comme celles du ministre Pisanu vers les pays qui abandonnent dans le désert les immigrés refoulés : toutes solutions dont l’inefficacité n’a d’égal que leur cruauté.

              Et enfin que faire des dix millions d’islamistes déjà présents sur le sol européen, nombre desquels sont des citoyens des Etats respectifs? Eh oui : en faire quoi? On ne peut pas les renvoyer dans les pays d’origine : ils ne les reprendraient pas. On ne peut pas les "assimiler" : rien ne va plus ; moins que jamais aujourd’hui, face à une société qui ne promet rien de bon même à ses membres de longue date. Et on ne peut pas les convertir non plus, au nom des "racines chrétiennes" de l’Europe ; ils ont eux aussi des racines, qui ne sont pas chrétiennes.
              Le leur rappeler ne fait que fomenter les hostilités. Mais il faut les empêcher de nuire, en les gardant sous contrôle, parce que chacun d’eux est un terroriste potentiel. Une méthode - mais je n’en vois pas d’autres - pourrait être, comme l’envisage Eugenio Scalfari, celle de les enfermer dans leurs quartiers, en limitant leur possibilité de circuler librement parmi "nous". Ou alors les marquer, éventuellement en leur cousant dessus une demi-lune verte. On a déjà entendu quelque chose dans le genre,pas vrai, Oriana? Mais, à la longue, pouvons-nous continuer à cohabiter avec une nation toute entière d’ennemis, nichés dans nos villes, nombre desquels tellement semblables à nous qu’il atteignent des positions importantes?
              Ne deviendra-t-il pas indispensable de trouver pour eux aussi une "solution finale"? Ce n’est pas une hyperbole ni un paradoxe. Même s’ils évitent de la nommer, les écrits d’Oriana Fallaci et leur succès nous posent face à une issue possible des processus de globalisation. Certainement nous devons amener ceux qui suivent les idées d’Oriana Fallaci à se mesurer à ces questions. Mais nous devons faire les comptes avec des perspectives de ce genre et définir les alternatives possibles. Les réponses de facilité ne sont pas admises.


              Guido Viale - 27 juillet 2005 -http://bellaciao.org/fr/article.php3?id_article=17528

              N.B : Là je comprend mieux les déclarations du maffiosi berlusconi qui a déclaré l'année dernière sans ambages " la civilisation musulmane est inférieure à celle occidentale "....Pauvre de toi ,petit ......
              Dernière modification par chicanos, 01 août 2005, 19h01.

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              • #22
                ...consequences...

                Le problème c'est qu'il y a plus d'exemples contre que pour...c'est ce qui fait pencher la balance...
                c'est de la faute à qui si les medias zoom sur NY, Londre , Madrid, Al quaida..?

                le mieux serait d'avoir des prix nobels de physiques, des sportifs des gens simples qui font PLUS parler d'eux que les barbus..ça attenuerais

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                • #23
                  Je ne vois pas les raisons valables pour faire porter le chapeau à 1 milliard et demi de croyants musulmans ,les saloperies que font des centaines ou même quelques milliers de terroristes sanguinaires et d'ailleurs anti-musulmans puisque leurs victimes les plus nombreuses sont des musulmans.Et je ne parle pas des manipulations de ces mêmes salopards par les américains ou d'autres..

                  Commentaire


                  • #24
                    ...consequences..

                    Il n'y a pas de raisons effectivement..
                    mais le fait est là ...et comme aucune autorité digne de ce nom ne c'est elevé de façon exemplaire contre le Terrorisme.."Islamic"...alors le commun des mortelles ( occidental ) associe les faits et les personnes...

                    Commentaire


                    • #25
                      Pour moi il serait plutot legitime de se demander s'il y avait à un jour quelconque une certaine sympathie pour l'islam.

                      Le plus normal au monde est que l'occident soit islamophobe, c'est le contraire qui me serprendra !!

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                      • #26
                        @TIZINISSA
                        une phrase magistrale par sa simplicité!! tu as raison !
                        « Puis-je rendre ma vie
                        Semblable à une flûte de roseau
                        Simple et droite
                        Et toute remplie de musique »

                        Commentaire


                        • #27
                          Honnetement tizinissa ,je crois que tu es en droit de te poser cette question...Moi personnellement je ne crois pas que les peuples occidentaux sont islamophobes.La grande majorité des occidentaux sont des gens laiques et mettent les religions à équidistance.D'ailleurs qd on voit le nbre de mariages ou même de visites et d'interessement à la culture arabo-berbero-musulmane de la part des occidentaux c'est extraordinaire.Ils sont friands de nos chansons ,de notre cuisine ,de notre couleur (eh oui lol..!!!) ,de notre façon de discuter ou de vivre ,de la beauté de nos pays d'origine ,de nos moeurs comme le respect des personnes âgées etc..
                          Maintenant ,il faut reconnaitre que les politiciens et surtout les médias et certains intellos fachos ,c'est une autre paire de manches....Beaucoup de ces gens jouent un rôle évident ds l'islamophobie ambiante et veulent même l'imposer à toute l'europe... :22:
                          Il ya aussi la faiblesse ,l'incompétence et même l'indignité de beaucoup de nos dirigeants politiques (ils cherchent plus la place que la responsabilité ) ,religieux ,associatifs ou communautaires qu'il faut souligner.Cette "absence" favorise tous nos ennemis en occident...

                          Commentaire


                          • #28
                            Merci Tamerlan

                            @Chicanos
                            [Chicanos]...d'interessement à la culture arabo-berbero-musulmane de la part des occidentaux c'est extraordinaire.Ils sont friands de nos chansons ,de notre cuisine ,de notre couleur (eh oui lol..!!!) ,de notre façon de discuter ou de...]

                            Tout à fait d'accord mais ca été les colons francais aussi quand ils nous ont envahis et les anglais l'etait aussi vis a vis des Indiens ainsi que les espagnoles envers les sudamericains.
                            J'ai du mal a conprendre qu'ils ont agit de cette facon pour nous montrer l'amour qu'ils ressent envers notre culture.

                            Une drôle de maniere de toute facon !!!

                            Commentaire


                            • #29
                              La religion musulmane suscite des craintes au sein du monde occidental et cela n'est pas nouveau; le conflit est, comme l'explique Tarak Ramadan, est vieux de plusieurs siècles.

                              Ce qui est nouveau à notre époque, selon ce penseur de l'islam, c'est le traitement différentiel auxquels certains occidentaux soumettent les autres cultures: prenant la mesure profonde de la crise des valeurs en Occident, on relèvera légitimiment la sagesse de la pensée boudhiste ou yanomamis, ou sioux. Sur le fond, on " permet " à ces cultures des différences de conceptions fodamentales en ce qu'elles sont ne sont pas dangereuses pour l'Occident: relever leurs qualités ne se fait pas, au fond, sans circonscrire leur degré très relatif de remise sen cause du modèle occidental... Quant à l'Islam, le cas est différent.

                              Plus d'un milliard de fidèles aujourd'hui, le quart de la planète demain: on ne recherchera pas alors la spécificité enrichissante, la particularité constructive... non pas, c'est ici la différence répulsive qui fixe nos esprits. Le danger parait tel, 'l"agression au modèle tellement évidente, que c'est lorsque le monde musulman empruntera "nos" instruments que l'on fera cas de sa présence positive.

                              Commentaire


                              • #30
                                Chicanos

                                Quand on cite des noms il faut aussi expliquer pourquoi ces personnes réagissent ainsi, Oriana Fallaci a tout simplement peur....voici un peu son histoire et elle a 72 ans......:

                                Oriana Fallaci est une journaliste italienne qui est née en 1930 dans une famille antifachiste de Florence. Alors qu'elle n'était encore qu'une petite fille de 14 ans, elle s'engage dans la résistance. Dotée d'un caractère bien trempé, Oriana n'a pas froid aux yeux et ses multiples reportages vont l'entraîner dans tous les coins chauds de notre planète où elle couvrira la plupart des conflits. Elle interviewe les plus grands de ce monde: Khomeiny, Indira Gandhi, Golda Meir, Lech Walesa, Deng Xiaoping...
                                Ce grand reporter écrit aussi de nombreux livres, certains deviendront des best-sellers traduits en plusieurs langues.
                                Ce fut le cas d' "UN HOMME" un vibrant hommage rendu à son compagnon, le résistant grec Alekos Panagoulis, assassiné en 1976 et "INCHALLAH" un ouvrage consacré à la guerre au Liban.

                                Elle s'est installée aux Etats-Unis depuis une dizaine d'années et fut chargée de cours dans les universités de Yale, Harvard et Columbia. Cette femme de 72 ans habite à Manhattan (New-York), où elle vit cloitrée dans un appartement qu'elle ne quitte plus depuis 6 ans. Elle ne donne plus d'interview, ne reçoit plus, jusqu'à cette date fatidique du 11 septembre. Habitant non loin du drame, elle voit les tours s'effondrer et ces corps désarticulés, précipités dans le vide. Fortement choquée par ce drame en direct, elle se met alors à remplir des pages blanches de notes « convulsives ».

                                Après les attentats, Oriana Fallaci sort de sa retraite pour crier sa colère et son indignation. Elle accorde alors, un très long entretien au Corriere della serra, un quotidien italien. L'article fait grand bruit et les éditeurs sentant venir le scandale commencent à s'y intéresser de près. Les éditions italiennes Rizzoli le publient et le livre est un véritable succès.

                                Mme Fallaci qui rappelle son grand attachement aux Etats-Unis nous raconte ce qu'elle a ressentit ce fameux 11 septembre. Cri de rage d'autant plus violent que l'on sait que cette femme a assisté en Iran, au Bangladesh, au Pakistan à des scènes de barbarie horribles que seul un fanatisme excessif peut effectivement engendrer. Dans son récit, elle livre tel que, ses sensations et ses souvenirs poignants : l'exécution de ces trois femmes dans la ville de Kaboul, la destruction des Bouddhas de Bamyan. Elle nous raconte aussi, l'histoire de l'emprisonnement de Bashir, ce coiffeur pour dames de Téhéran qui est obligé par ordre du gouvernement de fermer son salon au motif qu'il est un "lieu de perdition et de péché". Oriana Fallaci se souvient : en reportage dans la ville, elle finit par le convaincre de lui ouvrir pour qu'elle puisse se laver les cheveux... Lorsqu'elle retourne à Téhéran, huit mois plus tard, elle apprend que le coiffeur a été dénoncé et qu'il a été jeté en prison.
                                De plus, de tels propos cela fait toujours vendre et c'est ce qui compte. En Italie, ce livre s'est d'ailleurs vendu comme des petits pains. Plus d'un million d'exemplaires ont été écoulés. En France, le livre est en librairie depuis le 15 mai, et les 45 000 exemplaires sont déjà épuisés. C'est l'éditeur PLON qui a touché le gros lot, mais il n'était malheureusement pas le seul en liste.
                                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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