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Rapport de l’Agence internationale de notation sur les pays producteurs de pétrole et de gaz : L’Algérie a pris des risques politiques et économiques élevés
Selon un rapport établi par l’Agence Internationale de notation « Standard and Poor’s », intitulé « l’évaluation globale des risques politiques des pays producteurs de pétrole et de gaz », l’Algérie a pris de grands risques notamment en termes de résiliation de contrats sans dédommagement.
Le rapport en question a indiqué que les risques politiques représentent les principales préoccupations dans le domaine de la notation concernant les producteurs privés du pétrole et du gaz, suite aux multiples opérations de saisie et des opérations menées par les pays de l’organisation de coopération et du développement économique (OCDE), regroupant les plus grands pays industrialisés.
Le rapport a noté que plusieurs normes ont été prises en considération dans l’évaluation des risques, notamment la nature du climat des affaires des pays producteurs de pétrole et de gaz.
Cette agence s’est basée dans son rapport sur plusieurs cas tels que l’affaire du contrat avec les groupes « Gaz naturel » et « Repsol », résilié en 2007, quoique c’est la partie espagnole qui n’a pas respecté ses engagements stipulés dans le contrat. Le rapport s’est basé sur le fait que l’Algérie n’ait procédé à aucun remboursement malgré que l’affaire soit toujours entre les mains de l’arbitrage international.
Ce rapport a estimé que le risque pris par l’Algérie est très élevé dans les domaines des ressources, la nationalisation et l’intervention du Gouvernement. Cela intervient suite à l’amendement de la loi sur les hydrocarbures. Selon ce rapport, l’Algérie a pris un réel risque en termes de corruption,
- El Khabar
Selon un rapport établi par l’Agence Internationale de notation « Standard and Poor’s », intitulé « l’évaluation globale des risques politiques des pays producteurs de pétrole et de gaz », l’Algérie a pris de grands risques notamment en termes de résiliation de contrats sans dédommagement.
Le rapport en question a indiqué que les risques politiques représentent les principales préoccupations dans le domaine de la notation concernant les producteurs privés du pétrole et du gaz, suite aux multiples opérations de saisie et des opérations menées par les pays de l’organisation de coopération et du développement économique (OCDE), regroupant les plus grands pays industrialisés.
Le rapport a noté que plusieurs normes ont été prises en considération dans l’évaluation des risques, notamment la nature du climat des affaires des pays producteurs de pétrole et de gaz.
Cette agence s’est basée dans son rapport sur plusieurs cas tels que l’affaire du contrat avec les groupes « Gaz naturel » et « Repsol », résilié en 2007, quoique c’est la partie espagnole qui n’a pas respecté ses engagements stipulés dans le contrat. Le rapport s’est basé sur le fait que l’Algérie n’ait procédé à aucun remboursement malgré que l’affaire soit toujours entre les mains de l’arbitrage international.
Ce rapport a estimé que le risque pris par l’Algérie est très élevé dans les domaines des ressources, la nationalisation et l’intervention du Gouvernement. Cela intervient suite à l’amendement de la loi sur les hydrocarbures. Selon ce rapport, l’Algérie a pris un réel risque en termes de corruption,
- El Khabar