LIBERTÉ DE PAROLE
ET D'EXPRESSION
Le prix décerné
à Lakhdar Brahimi
La Fondation Roosevelt vient de décerner le prix de la liberté
de la parole et d'expression au diplomate algérien Lakhdar
Brahimi lors d'un cérémonie académique à La Haye (Pays-Bas),
a-t-on appris hier auprès de la représentation diplomatique d'Algérie.
Au cours de cette cérémonie, l'ambassadeur William J. Vanden
Heuvel, président émérite de l'Institut Franklin et Eleanor Roosevelt,
a retracé le parcours diplomatique de M. Brahimi à travers
le monde sans omettre son militantisme dans le cadre de la
lutte de libération nationale.
Il a particulièrement souligné son courage politique et les occasions
où il a gardé sa liberté de pensée et préservé sa lucidité et
son crédit international, rappelant les actions du diplomate algérien
au Liban, à Haïti, en Afrique du Sud, en Afghanistan, en
Irak et en ex-Yougoslavie.
Dans sa réponse, M. Brahimi a relevé l'estime dont jouissait le
président des Etats-Unis, F. D. Roosevelt, auprès des nationalistes
algériens, notamment lorsqu'il s'est prononcé en faveur de
l'indépendance des peuples colonisés, soulignant l'«importance
de la liberté d'expression en recommandant qu'elle ne devrait
pas être porteuse de haine». R
ET D'EXPRESSION
Le prix décerné
à Lakhdar Brahimi
La Fondation Roosevelt vient de décerner le prix de la liberté
de la parole et d'expression au diplomate algérien Lakhdar
Brahimi lors d'un cérémonie académique à La Haye (Pays-Bas),
a-t-on appris hier auprès de la représentation diplomatique d'Algérie.
Au cours de cette cérémonie, l'ambassadeur William J. Vanden
Heuvel, président émérite de l'Institut Franklin et Eleanor Roosevelt,
a retracé le parcours diplomatique de M. Brahimi à travers
le monde sans omettre son militantisme dans le cadre de la
lutte de libération nationale.
Il a particulièrement souligné son courage politique et les occasions
où il a gardé sa liberté de pensée et préservé sa lucidité et
son crédit international, rappelant les actions du diplomate algérien
au Liban, à Haïti, en Afrique du Sud, en Afghanistan, en
Irak et en ex-Yougoslavie.
Dans sa réponse, M. Brahimi a relevé l'estime dont jouissait le
président des Etats-Unis, F. D. Roosevelt, auprès des nationalistes
algériens, notamment lorsqu'il s'est prononcé en faveur de
l'indépendance des peuples colonisés, soulignant l'«importance
de la liberté d'expression en recommandant qu'elle ne devrait
pas être porteuse de haine». R
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