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Grand Corps Malade - Pères et Mères

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  • Grand Corps Malade - Pères et Mères

    Ma d lebher asma'aa yeqqar, Tamazight assen a tt-nag°i ... (Quand la mer sera devenue désert, ce jour-là nous refuserons tamazight)

  • #2
    azul tarik

    J'adore Grand Coprs Malade.......je ne connais pas toutes ses chansons...mais plus je l'écoute...plus je l'apprécie.

    merci pour le clip...j'écouterai.

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    • #3
      azul et bonne nuit tafsut

      moi aussi j'adore grand corps malade
      Ma d lebher asma'aa yeqqar, Tamazight assen a tt-nag°i ... (Quand la mer sera devenue désert, ce jour-là nous refuserons tamazight)

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      • #4
        Je l'aime beaucoup également,,,,,,il vient justement de passer à une émission de télé à Montréal,,,,,,,vraiment un plaisir de l'écouter et touchant à la fois!

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        • #5
          Oublier,,,,,Grand corps malade

          Je rajoute celui-ci,,,,tout aussi agréable à entendre!

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          • #6
            midi 20

            Salut les gens, en voici une que j'ecoute aussi, en boucle sans m'en lasser
            il parle vraiment sincèrement, il y en a aussi une qui parle de l'handicap mais j'ai oublié son titre .
            Tadjére ouala Hadjére ouala rédjline Madjer...

            Vive Tayri, Vive JSK

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            • #7
              très bien tarek! j'aime aussi!
              Je suis une Légende, je suis l'Histoire: je suis BYLKUSDU94!

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              • #8
                @ mimika

                c'est sixiéme sens

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                • #9
                  La nuit est belle, l'air est chaud et les étoiles nous matent
                  Pendant qu'on kiffe et qu'on apprécie nos plus belles vacances
                  La vie est calme, il fait beau, il est 2 heures du mat'
                  On est quelques sourires à partager notre insouciance
                  C'est ce moment là, hors du temps, que la réalité a choisi
                  Pour montrer qu'elle décide et que si elle veut elle nous malmène
                  Elle a injecté dans nos joies comme une anesthésie
                  Souviens-toi de ces sourires, ce sera plus jamais les mêmes
                  Le temps s'est accéléré d'un coup et c'est tout mon futur qui bascule
                  Les envies, les projets, les souvenirs, dans ma tête y'a trop de pensées qui se bousculent
                  Le choc n'a duré qu'une seconde mais ses ondes ne laissent personne indifférent
                  « Votre fils ne marchera plus », voilà ce qu'ils ont dit à mes parents
                  Alors j'ai découvert de l'intérieur un monde parallèle
                  Un monde où les gens te regardent avec gêne ou avec compassion
                  Un monde où être autonome devient un objectif irréel
                  Un monde qui existait sans que j'y fasse vraiment attention
                  Ce monde-là vit à son propre rythme et n'a pas les mêmes préoccupations
                  Les soucis ont une autre échelle et un moment banal peut être une très bonne occupation
                  Ce monde là respire le même air mais pas tout le temps avec la même facilité
                  Il porte un nom qui fait peur ou qui dérange : les handicapés
                  On met du temps à accepter ce mot, c'est lui qui finit par s'imposer
                  La langue française a choisi ce terme, moi j'ai rien d'autre à proposer
                  Rappelle-toi juste que c'est pas une insulte, on avance tous sur le même chemin
                  Et tout le monde crie bien fort qu'un handicapé est d'abord un être humain
                  Alors pourquoi tant d'embarras face à un mec en fauteuil roulant
                  Ou face à une aveugle, vas-y tu peux leur parler normalement
                  C'est pas contagieux pourtant avant de refaire mes premiers pas
                  Certains savent comme moi qu'y a des regards qu'on oublie pas
                  C'est peut-être un monde fait de décence, de silence, de résistance
                  Un équilibre fragile, un oiseau dans l'orage
                  Une frontière étroite entre souffrance et espérance
                  Ouvre un peu les yeux, c'est surtout un monde de courage
                  Quand la faiblesse physique devient une force mentale
                  Quand c'est le plus vulnérable qui sait où, quand, pourquoi et comment
                  Quand l'envie de sourire redevient un instinct vital
                  Quand on comprend que l'énergie ne se lit pas seulement dans le mouvement
                  Parfois la vie nous teste et met à l'épreuve notre capacité d'adaptation
                  Les 5 sens des handicapés sont touchés mais c'est un 6ème qui les délivre
                  Bien au-delà de la volonté, plus fort que tout, sans restriction
                  Ce 6ème sens qui apparaît, c'est simplement l'envie de vivre.

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