Tweet
Pékin a enregistré un pic de pollution mardi, à 73 jours du coup d'envoi des Jeux olympiques, incitant les autorités chinoises à demander aux résidants souffrant de problèmes respiratoires à ne pas mettre le nez dehors.
La qualité de l'air s'est dégradée pour atteindre le niveau 5, le plus haut niveau d'alerte, selon le Bureau de protection de l'environnement, qui en attribue la responsabilité aux tonnes de poussière charriées par les tempêtes de sable balayant la Mongolie et la Mongolie intérieure.
«C'est la quatrième tempête de la saison et les niveaux de pollution de l'air sont chaque fois à peu près les mêmes, mais cette fois l'effet dure plus longtemps», a précisé un responsable du Bureau.
La capitale chinoise, qui s'est engagée à réduire la pollution pour les Jeux (8-24 août), baigne dans une atmosphère extrêmement viciée par le nombre croissant de véhicules automobiles, les chantiers industriels et les centrales thermiques à charbon.
- AFP
La qualité de l'air s'est dégradée pour atteindre le niveau 5, le plus haut niveau d'alerte, selon le Bureau de protection de l'environnement, qui en attribue la responsabilité aux tonnes de poussière charriées par les tempêtes de sable balayant la Mongolie et la Mongolie intérieure.
«C'est la quatrième tempête de la saison et les niveaux de pollution de l'air sont chaque fois à peu près les mêmes, mais cette fois l'effet dure plus longtemps», a précisé un responsable du Bureau.
La capitale chinoise, qui s'est engagée à réduire la pollution pour les Jeux (8-24 août), baigne dans une atmosphère extrêmement viciée par le nombre croissant de véhicules automobiles, les chantiers industriels et les centrales thermiques à charbon.
- AFP