Comme le jour se glisse dans la nuit
Puis s’en va sans retour
Mon âme s’enlise dans l’ennuis
Qui la harcèle jour après jour
Il est d’heureux moment ou elle fuit
Ce faix du temps qui pèse lourd
Dans son refuge la Muse la suit
Et la protége de ses vers velours
Elle craint cet ennuis qui la guète
Qui vit en elle et elle en lui
Elle s’interroge , cherche et s’arrête
Au pied de cet obscure mur de suie
Ou se consument toutes ses quêtes
Ainsi tous ses jours sont réduits
A errer , perdue sur cette voie obsolète
Sans certitudes ni lumière ni appuis
Combien dit-elle un homme doit-il vivre
Pour comprendre pourquoi il a été
Combien doit-il faire de livres
Pour que le mur en froisse toute fierté
Combien doit-il encore survivre
Avant que son éprit ne recouvre sa liberté
Car depuis le feu , ou qu’importe …le cuivre
Il n’a fait que ses chaussettes et cités
Combien un homme doit-il souffrire
Pour expier je ne sais quel tort
Pourquoi doit-il grandir
Si ce n’est que pour trouver la mort
De quoi donc peut-il jouir
Si ce n’est que cela son sort
Et enfin pour quels plaisirs
Les cieux ont-ils fait son corps
Evidemment ...je perds ma rime
Quand mon esprit prend ses airs
Surtout que les réponse en prime
Ne sont pas de ces quelques vers
Je n’en dirais rien de sublime
Mais leur morale parait claire
Vivre et ne pas mourir en victime
Aux affres de ces questions d’enfer
Aucune cause de ce bas monde ne mérite martyr , la vie est ce qu’elle est , a nous de faire sa beauté .
Puis s’en va sans retour
Mon âme s’enlise dans l’ennuis
Qui la harcèle jour après jour
Il est d’heureux moment ou elle fuit
Ce faix du temps qui pèse lourd
Dans son refuge la Muse la suit
Et la protége de ses vers velours
Elle craint cet ennuis qui la guète
Qui vit en elle et elle en lui
Elle s’interroge , cherche et s’arrête
Au pied de cet obscure mur de suie
Ou se consument toutes ses quêtes
Ainsi tous ses jours sont réduits
A errer , perdue sur cette voie obsolète
Sans certitudes ni lumière ni appuis
Combien dit-elle un homme doit-il vivre
Pour comprendre pourquoi il a été
Combien doit-il faire de livres
Pour que le mur en froisse toute fierté
Combien doit-il encore survivre
Avant que son éprit ne recouvre sa liberté
Car depuis le feu , ou qu’importe …le cuivre
Il n’a fait que ses chaussettes et cités
Combien un homme doit-il souffrire
Pour expier je ne sais quel tort
Pourquoi doit-il grandir
Si ce n’est que pour trouver la mort
De quoi donc peut-il jouir
Si ce n’est que cela son sort
Et enfin pour quels plaisirs
Les cieux ont-ils fait son corps
Evidemment ...je perds ma rime
Quand mon esprit prend ses airs
Surtout que les réponse en prime
Ne sont pas de ces quelques vers
Je n’en dirais rien de sublime
Mais leur morale parait claire
Vivre et ne pas mourir en victime
Aux affres de ces questions d’enfer
Aucune cause de ce bas monde ne mérite martyr , la vie est ce qu’elle est , a nous de faire sa beauté .
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