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La facture d’importation des médicaments s’est alourdie

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  • La facture d’importation des médicaments s’est alourdie

    La facture d’importation des médicaments s’est alourdie : elle passe à 1,2 milliard de dollars.

    PRODUCTION NATIONALE DU MÉDICAMENT
    L’Etat veut forcer la main aux investisseurs
    28 Mai 2008 - Page : 2



    Actuellement, 90% des médicaments disponibles sur le marché national sont importés.

    L’Etat cherche à donner un coup de pouce à la production nationale en matière de médicament à usage de la médecine humaine.

    En effet, le Conseil du gouvernement a adopté hier un décret exécutif fixant les marges-plafonds applicables à la production, au conditionnement et à la distribution des médicaments.

    Ledit décret, présenté par El Hachemi Djaâboub, ministre du Commerce, définit également les modalités de dépôt et du prix du médicament.

    C’est ce qu’a annoncé hier Abderrachid Boukerzaza, ministre de la Communication à l’occasion du point de presse hebdomadaire animé à l’ex-siège du CIP.

    Le but recherché à travers cette nouvelle politique est «d’encourager la production nationale en incitant les investisseurs à venir mettre leur argent dans ce domaine», a-t-il indiqué.

    Sans apporter des éclaircissements profonds, le ministre avance que ce décret vient pour «prendre en charge toutes les préoccupations des intervenants dans ce domaine».

    L’Etat cherche, selon Boukerzaza, à garantir la disponibilité du médicament et son accessibilité. «Ce décret vient pour assurer aux citoyens la disponibilité du médicament à des prix très accessibles», a-t-il affirmé.

    Pour le ministre cette politique est conçue comme une meilleure façon de protéger le pouvoir d’achat du citoyen.

    Outre la réévaluation des compétences des intervenants, le gouvernement vise, aussi, à inciter les citoyens à utiliser le générique.

    Parmi ces mesures incitatives, le ministre a évoqué l’augmentation de la marge du bénéfice pour les producteurs. «Plus le médicament sera moins cher, plus la marge de bénéfice sera plus importante», a déclaré le ministre.

    Et d’ajouter que dans le cas contraire, l’équation sera évidemment renversée.

    A titre illustratif, M.Boukerzaza cite que la marge du bénéfice de 17% en gros et de 40% en détail, est accordée sur un médicament coûtant 200DA.

    Il explique que cette politique intervient après avoir constaté un recul sur la production nationale, et ce, comparativement aux capacités du marché national.

    Plus de 90% des médicaments existants sur le marché sont importés.

    Parmi les 20 pays exportateurs vers le marché algérien, la France à elle seule exporte à l’Algérie 47,97% du médicament. Soit 570 millions de dollars.

    Elle est suivie du Danemark, de la Jordanie, de la Suisse, etc.

    L’Algérie débourse des sommes colossales dans l’importation des médicaments.

    En 1999, on importait environ 523 millions de dollars.

    Alors qu’en 2006, la facture a été évaluée à 1200 millions de dollars.
    Soit une augmentation de 700 millions de dollars.

    Par la même occasion, M.Benaissa, ministre de l’Agriculture et du Développement rural, a présenté au gouvernement un système d’information pour le programme de soutien au renouveau rural «Si-Psrr» et un autre système national d’aide à la décision de développement durable «Snaddr».

    Egalement, M.Benaissa a présenté un projet de décret exécutif portant statut du personnel particulier des fonctionnaires appartenant au corps spécifique de l’autorité phytosanitaire.

    Tahar FATTANI

    http://lexpressiondz.com/article/2/2...-28/53011.html


    Des solutions,des idees pour reduire la facture d'importation ??

    *********

    == MODERATION ==
    Il est recommandé de poster l'intégralité d'un article pour qu'il soit lisible directement dans le forum.
    Dernière modification par kellerman, 28 mai 2008, 01h46.

  • #2
    fabriquer des generiques la ou c est possible.
    fabriquer une grande partie des medicaments chez soi.

    Commentaire


    • #3
      Oui,fabriquer des generiques en Algerie,c'est un processus continue,l'Algerie doit avoir pour finalite la fabrication sur place,mais cela va demander quelques annees comme tu dois le savoir chez nous,les projets ont tendance a s'eterniser.

      Mais pour parer au plus urgent,il faut arreter d'acheter en France,cela nous coute plus cher, on perd au change au cause du faible dollar et on accentue notre dependance de la France.

      On peut acheter des medicaments de la zone dollars ou des zones non-euros,cela coutera moins chers:

      Canada,US,Suisse

      Il y aussi une autre solution a adopter c'est la methode americaine de distribution de medicaments qui est la plus economique:

      Les medicaments une fois prescrit par le docteur,ne sont pas distribues par boites,mais plutot par nombre de comprimes ou de gelules.

      Je ne sais s'il y a des gens qui vivent ou ont vecu aux USA,le pharmacien compte exactement combien de comprimes,il faut au malade comme prevu sur l'ordonnance.

      Dans ce cas precis,il n'y a pas de risque de gaspillage,l'etat paie moins puisqu'il achete en gros et fais des economie sur les couts de l'emballage individuel classique des medicaments.

      Il y aura moins de medicament en surplus ce qui reduira les risques de contrebande vers le Maroc.

      Les algeriens pensent que l'etat importe que pour le marche interieur.

      L'etat algerien importe des medicaments de France,qui quitteront le territoire algerien pour aller finir dans les pharmacie et marches marocains,tunisiens,lybiens,maliens,nigeriens.

      Pourquoi ?

      Parce-que l'etat algerien subventionne le medicaments,alors que les etats voisins ne le subventionnent pas.

      Commentaire


      • #4
        l'inde, le bresil sont de gros fabriquants de génériques. Et puis l'Algérie a la chance d'avoir aujourd'hui de nombreux chinois dans son pays. je suis partisan de faire venir des herboristes chinois pour former les algériens. La médecine par les plantes, ce n'est pas du pipo. les médicaments français sont hors de pris même en France, les labos ont du mal à les écouler
        J'ai compris le sens de l'amour dans le reflet de ton regard ' Ibn zaïdoun'

        Commentaire


        • #5
          Reponse au Moderateur


          Il n'y pas d'article a vrai dire.c'est un titre des sujets debattu par le conseil du Gvt,qui se trouvait sur le quotidien El Moudjahid.

          Je n'ai fait que prendre l'intitule pour en tirer un sujet de debat.

          D'ailleurs,je cherche un artcle similaire sur d'autres quotidien algerien.

          Commentaire


          • #6
            Kellerman,

            suis marocain,
            le maroc fabrique plus de 85 de medicaments qu il consomme, il en exporte meme en afrique , europe etc.
            je ne crois pas que qu il y ait une grande partie qui vienne de la contrebande d algerie.

            mais revenons a la fabrication de medicalents, l algerie doit faire de meme que la syrie, l egypte et le maroc, c est a dire fabriquer le max qu elle peut faire en medicaments. d ou moins d importations , plus d emplois etc etc.

            Commentaire


            • #7
              Je suis entierement d'accord,il faut explorer toutes les possiblitees qui s'offrent a l'Algerie.

              L'inde,la Chine,South Africa,Bresil ont tous des industries de fabrication de generique,l'Algerie devrai pouvoir trouver une solution a travers un cooperation etroite avec ces pays.

              Mais la solution a long terme reste la maniere de distribuer:

              Il faut abandonner le systeme francais de commercialisation par boite,et adopter un systeme de distribution par unite comme le font les pays anglo-saxon,plus economique (elimine le gaspillage)

              Commentaire


              • #8
                Cher ami,

                Juste pour te dire que les medicaments algeriens importes sont introduits clandestinement au Maroc,et revendu aux souks de Oujda,Nador,Berkane,Fes,Taza,Meknes et Casa .

                Au Maroc.les medicament se vendent meme chez les epiciers.

                Vivement que l'Algerie erige un mur tout le long de la frontiere comme celui que le Maroc a erige au sahara pour contrer le polisario

                voici un article sur le sujet:

                Trafic de médicaments
                http://www.*************.com/breve6313.html

                L'industrie algérienne debarque au Maroc par la contrebande.
                http://www.kompass.ma/actualite/deta...1&niveau=1

                http://www.algerie-dz.com/forums/showthread.php?t=2569

                http://www.elmoudjahid.com/stories.p.../08/20/7965084


                ----------------------------------------------------------
                suis marocain,

                le maroc fabrique plus de 85 de medicaments qu il consomme, il en exporte meme en afrique , europe etc.
                je ne crois pas que qu il y ait une grande partie qui vienne de la contrebande d algerie.

                mais revenons a la fabrication de medicalents, l algerie doit faire de meme que la syrie, l egypte et le maroc, c est a dire fabriquer le max qu elle peut faire en medicaments. d ou moins d importations , plus d emplois etc etc.

                Commentaire


                • #9
                  qilleram tu peus toujour rever, tes ptits discours tu peus les raconter a tes amis de cartier qui ne lisent pas ce qui ce passe dans le monde.

                  Algérie: L'UNOP plaide pour le protectionnisme et un secteur local producteur



                  La Tribune (Algiers)

                  15 Avril 2008
                  Publié sur le web le 15 Avril 2008

                  Smaïl Boughazi


                  Un tableau peu reluisant de la situation de l'industrie pharmaceutique a été dépeint, hier, par les membres de l'Union nationale des opérateurs de la pharmacie (UNOP) au forum d'El Moudjahid. Les responsables de cette association n'y sont pas allés avec le dos de la cuillère pour tantôt fustiger les autorités et tantôt recommander des mesures. Non seulement les invités d'El Moudjahid ont rappelé le constat désolant, mais ont tenté, une fois de plus, d'attirer l'attention des responsables en charge du secteur de la santé. Intervenant au début de cette rencontre, Mellah Nabil, secrétaire général de l'UNOP, a décrit, avec force détails, la situation de l'industrie des médicaments, ses failles, ses lacunes mais a aussi fait des recommandations et des propositions.

                  D'emblée, l'orateur estime que le secteur national n'est qu'à 30% de ces capacités. Où réside le problème ? Pour M. Mellah, cette question trouve toute sa réponse dans la politique prônée par les pouvoirs publics. Le secteur pharmaceutique est dans l'OMC depuis 2005. Ainsi, aux yeux de l'orateur, cette adhésion n'a apporté aucun bénéfice au secteur mais parallèlement tous les inconvénients de cette adhésion menacent cette industrie qui en est à ses premiers pas. Comparativement à d'autres secteurs, il dira, par exemple, que, pour l'automobile l'Algérie a enfreint les règles de l'OMC mais pas pour les produits pharmaceutiques, cela au moment où aucun constructeur automobile n'est actif sur le territoire, alors que le nombre des laboratoires algériens est de 51. Enfonçant le clou, il révélera qu'actuellement 6 unités sont proposées à la vente. Jusqu'où peut-on aller ? s'interroge-t-il. Au même titre, M. Mellah, n'en restera pas là, puisque, sur une autre question, il n'a ménagé aucun effort pour comparer les capacités locales à celles de nos voisins. Le Maroc produit localement 1 500 produits, la Tunisie 1 420, alors qu'en Algérie les unités ne produisent que 100 produits contre la capacité d'en produire 800. Toujours dans le même registre, il dira qu'au Maroc, pour importer un produit, «il faut prouver qu'il ne peut pas être produit localement» ; et en Tunisie, «le produit fabriqué localement est interdit à l'importation», renchérit-il. Cela étant, un protectionnisme est nécessaire en vue de promouvoir et d'appuyer la production nationale. Pour les investissements en Algérie, M. Mellah a indiqué qu'ils s'élèvent à 50 milliards de dinars, créant quelque 12 000 postes d'emploi. Pour le marché des médicaments, l'invité d'El Moudjahid estime qu'il est évalué à 1 200 millions d'euros. Evoquant le volet réglementation, le responsable de l'UNOP relèvera aussi l'instabilité caractérisant les institutions, l'absence de statut de l'exploitant, l'absence de statut de façonnier et l'absence de réglementation concernant les compléments alimentaires, etc. Signalons que les différents intervenants, lors de cette rencontre, ont tous abondé ce sens. D'ailleurs, le docteur Bekkat, président du conseil de l'ordre des médecins a même proposé des assises nationales afin de débattre de tous les obstacles et problèmes que rencontrent les praticiens de la santé, les pharmaciens, les médecins, etc.

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                  • #10
                    Tu ne prouve rien et ton article et ne contredit en rien ce que j'ai avance.

                    Je ne pense pas que tu lis ce que tu ecris.



                    Oriental : Contrebande de médicaments

                    Au Parlement, en réponse à une question sur la contrebande des médicaments aux frontières, le ministre de l’Intérieur, Chakib Benmoussa a fait remarquer que la région de l’Oriental, au vu de sa situation frontalière, connaît ce phénomène, surtout que ces produits sont écoulés à des prix moins chers que dans les pharmacies.

                    Face aux dangers que présente cette activité pour la santé des citoyens et l’économie nationale, les services de sécurité ont intensifié leurs efforts et multiplié les campagnes de ratissage, en coordination surtout avec les services de la Douane, a-t-il poursuivi.

                    Ces campagnes ont contribué à la réduction des médicaments exposés à la vente, s’est-il réjoui, notant que ces opérations ont permis, en 2007 à Oujda, la saisie de 780 boîtes de médicaments et de 3.000 comprimés psychotropes ainsi qu’à la présentation devant la justice de 439 personnes.

                    L’approche répressive reste, à elle seule, insuffisante, a-t-il insisté, mettant l’accent sur l’importance de l’action de sensibilisation et d’éducation pour mettre un terme à ce type de contrebande.

                    Le 15-5-2008

                    http://www.aujourdhui.ma/instantanes-details61740.html

                    Commentaire


                    • #11
                      Actuellement, 90% des médicaments disponibles sur le marché national sont importés.


                      cela ne veut pas dire que l'algérie importe 90% de ses médicaments. Il doit s'agir des médicaments autorisés sur le marché. généralement des spécialités.

                      L'algérie consomme environ 800 millions de boites par an. Elle en produit environ 300 millions, tres en dessous des capacités installées.

                      Il faut encourager le générique produit localement.
                      Favoriser l'enregistrement des produits fabriqués localement
                      Interdire l'importation des médicaments déjà produits localement.
                      « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                      • #12
                        Bonjour

                        Afin de favoriser l'utilisation du générique et réduire la facture à l'import Les prix des médicaments seront plafonnés

                        Le gouvernement a décidé de fixer les marges bénéficiaires des prix des médicaments. Ces nouvelles mesures ont été adoptées dans le cadre d'un projet de décret exécutif fixant les marges plafonds applicables à la production, au fonctionnement, et à la distribution des médicaments à usage de la médecine humaine et définissant les modalités de leurs dépôts de prix adopté lors de la réunion du conseil de gouvernement tenu hier. Selon les explications du ministre de la Communication, M. Abderrachid Boukerzaza , l'objectif de ce nouveau décret exécutif présenté par le ministre du Commerce , M.Hachemi Djaâboub, est de fixer les marges plafonds applicables à la production, au fonctionnement, et à la distribution des médicaments à usage de la médecine humaine. Une mesure qui intervient, selon lui, dans un contexte marqué par la modestie de la production nationale en matière de médicaments et l'importation qui n'arrête pas d'augmenter.

                        A ce titre, il a indiqué que l'enveloppe financière destinée à l'importation des médicaments a été de 523 millions de dollars en 1999 et a connu une nouvelle augmentation en 2006, puisqu'elle a atteint 1 milliard 200 000 dollars. Toujours dans le cadre du constat fait par les autorités publiques, la facture de l'importation des médicaments est en augmentation. A ce titre, lors du point de presse hebdomadaire tenu hier au CIP, M.Boukerzaza a souligné que 90 % des médicaments utilisés dans notre pays viennent de l'importation depuis 20 pays, dont la France qui vient en première place avec 47.97 %, suivie du Danemark avec 8.68% et la Jordanie avec 5%. Pour le cas de la France, le ministre a tenu à préciser que ce pays est classé en dernière place par rapport aux pays d'Europe en matière d'usage des médicaments non génériques.

                        Ce qui explique, selon lui, les intérêts commerciaux qui justifient l'usage des médicaments non génériques en Algérie et pourtant, leurs prix ne sont pas abordables et à portée de tout le monde. Dans ce cadre, le ministre n'a pas manqué de mettre en exergue l'attitude de certains médecins qui préfèrent prescrire des médicaments non génériques aux patients afin de garantir les intérêts de certains laboratoires fabricants. Il expliquera que après une étude d'impact et des consultations menées par l'Etat depuis une année avec les distributeurs, les producteurs et les importateurs de médicaments, il a été décidé de prendre en charge les préoccupations des opérateurs et celles des autorités publiques et permettre au citoyen d'acheter son médicament avec un prix abordable, préserver le pouvoir d'achat, réduire le taux de l'inflation des prix de médicaments qui sont en augmentation. Mais également garantir l'équilibre financier des caisses de sécurité sociale qui s'occupent du remboursement des médicaments.

                        En résumé, il s'agit d'encourager l'usage du médicament générique, son industrie, sa production et son importation et de l'autre côté prendre en charge les préoccupations des opérateurs en garantissant la marge de bénéfice et encourager l'investissement dans ce cadre. Pour cela, la règle principale qui sera adoptée par le gouvernement est qu'"à chaque fois que le médicament est moins est cher, la marge de bénéfice sera plus grande et si le médicament est plus cher, la marge sera plus faible".

                        A ce titre, le ministre de la Communication a donné quelques exemples, un médicament coûtant 200 DA , la marge de bénéfice de la vente en détail sera de 4% en gros et de 17% au détail, de 200 DA à 400 DA , ce sera 12% en gros et 30% en détail et enfin avec un prix de 600 DA , la marge de bénéfice sera de 7% pour le marché de gros et 17 % pour le détail. Concernant, la marge de la production, elle passera de 20 à 25%, cependant, l'emballage est stabilisé à 10%. Soulignant que même si l'Algérie est en économie de marché et assure la liberté des prix, l'article 5 de la loi de la concurrence permet à

                        l'Etat de plafonner les prix de certains produits ou fixer la marge de bénéfice. Il y a lieu de souligner que le conseil de gouvernement a également examiné une note relative à la politique de renouveau rural présentée par le ministre délégué chargé du Développement rural. En outre, le conseil a adopté un projet de décret exécutif portant statut du personnel particulier des fonctionnaires appartenant au corps spécifique de l'autorité phytosanitaire présenté par le ministre de l'Agriculture et du Développement rural.

                        Nacera C.
                        Le Maghreb 28 Mai 2008
                        “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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                        • #13
                          la saisie de 780 boîtes de médicaments et de 3.000 comprimés psychotropes ainsi qu’à la présentation devant la justice de 439 personnes.
                          justement l'ami c'est un probleme au maroc, c'est des psycgotropes qui sont etuliser comme drogue par les jeunes et le prix d'une seul "Boula hamra et entre 1 a 5 euro la piece" . si tu apelles sa des exportations vraiment bravo.
                          regarde les exportations de medicament algerienne.
                          http://www.youtube.com/watch?v=CL9Z7f4BO64

                          la on parlent d'industry pas de contrebande et je t'ai dis avant la propagande tu peus les raconter a quelqu'un qui n'a pas access a l'information et ils sont nombreux.

                          Commentaire


                          • #14
                            comment pouvez-vous solutionner ce problème médico-pharmaco-économique:
                            par exp dans le groupe anti HTA

                            --- clonidine cp --------prix env 100 da situation actuelle = introuvable ( car le moins cher du marché

                            ----amlor 5 gel----------prix env 1100 à 800 da

                            ----atacand ----------- prix dz env 3000 da à 4000da


                            --aprovel--------------prix dz 2000 à 3000 da


                            avlocardyl 40 cp-----prix dz en 400 da

                            coversyl , coozaar ... > 2000 da etc



                            Mon point de vue perso:

                            -1- les cardio sont les plus grands fautifs car ils préscrivent plus de 3 produits à la fois comme anti HTA et parfois ils vous rajoutent un antiarythmique + un carduiotonique etc


                            Les généralistes ne préscrivent que 2 antihypérensseurs à la fois quand il le faut et savent choisir un produit adapté en cas d arythmie comme produit en meme temps pour les deux path . Et s il ya insuf cardiaque associée ils donnent le produit anti hypertensseur qui agit comme cardiotonique à la fois.

                            Il ya un vrai decallage entre medecine générale et cardiologique.

                            Ici j ai prit ceci comme exp.

                            on peut parler aussi de la gastro , la neuo , ophtalmo etc

                            et on remarque que les médecins généralistes sont plus prudents.

                            En France l il faut passer la généraliste pour voire le spécialiste .
                            Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

                            Commentaire

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