Tlemcen était, certes, un bastion de cette culture véhiculée par la langue arabe qui a imprégné durant des siècles de grands théologiens, juristes, poètes et médecins de cette ancienne capitale berbère.
Cette langue cessera d’être au coeur de cette culture dans la région ou la période post-zianide laissera place aux dialectes avec l’apparition des poésies écrites dans la langue du peuple. Romantique, Tlemcen où les monuments sont partout, est aussi, une cité qui dégage une étonnante douceur de vivre.
Le genre poético-musical dit «haouzi» est né à cette période établissant ainsi un moment important de l’histoire de la vieille cité et de son évolution. L’éponyme «haouzi» est un terme référent qui désigne un genre poético-musical né à la périphérie de la musique andalouse. La connotation spatiale du terme trouve, à notre avis, son sens dans le rapport qu’il a avec la musique d’origine andalouse; le «haouzi» étant une expérience musicale d’extraction locale, pur produit des poètes et musiciens du cru de Tlemcen qui ne sera, d’ailleurs, que plus tard labellisée de genre dérivé à la musique andalouse.
La culture musicale est dominée, à Tlemcen, par une spatialisation irréductible avec la musique andalouse, souveraine au coeur de la cité, le «haouzi» à sa périphérie la plus proche, plus loin encore le «aroubi» ou le «bédoui» enfin, le «gherbi» et son espace qui désigne la culture des poètes et des musiciens du Gherb, c’est-à-dire le Maroc. Chacun d’eux est un référent spatial, un lieu d’écriture, à la riche et vaste littérature poético-musicale maghrébine, même si le terme «haouzi» soulève encore une ambiguïté et par-là, une quête de sens et de lecture, interminable chez les historiens de l’art musical.
La sédentarité (hadara), la cité avec son pendant, la citadinité (tamaddoun) sont au coeur de sa théorie de la civilisation chez Abderrahmane Ibn-Khaldoun. Les poètes du «haouzi» sont des citadins nés à Béni-Djemla, Bab Zir ou derb al-Méliani... des espaces symboliques au coeur de la citadinité tlemcenienne. Le «haouzi» est un produit de la culture arabe restée souveraine et qui a, pendant plusieurs siècles, imprégné les cités impériales du Maghreb et cela, dès l’expansion de l’Islam au début du 8e siècle, dans cette région appelée Occident musulman ou Maghreb.
L’histoire de Tlemcen a été, rappelons-le, jalonné par les grands évènements dynastiques qui ont stratifié le passé du Maghreb. En perpétuelle dynamique historique, elle sera, tout d’abord, capitale d’un royaume berbère kharidjite sous le roi ifrinide Abou Qorra au 8e siècle et ce, avant de tomber dans le giron des grandes dynasties qui ont, successivement, régné sur le Maghreb: les Omeyyade, les Idrisside, les Almoravide, les Almohade, les Zianide enfin, les Ottomans. Avec l’émiettement de l’empire almohade, elle sera, de nouveau, au Moyen Âge arabe, capitale (1236-1554) du royaume zianide dans l’espace maghrébin, occupé au même moment par les «Hafside», à Tunis, les «Mérinide», à Fès et les «Nasride», à Grenade. Tlemcen connaîtra, durant ce règne, la période la plus faste de son histoire. Au carrefour d’échanges commerciaux avec l’Afrique du sud du Sahara, elle sera un pôle culturel et scientifique rayonnant sur l’ensemble du Maghreb et au-delà, avec ses célèbres médersas: al-Yacoubiya, al-Eubbad, at-Tachfiniya, Ouled el-Imam... Ces centres, foyers irradiants de la science et de la culture, ont formé des générations de savants léguant un héritage lourd et sublime. La littérature y occupa une place importante d’où les noms de grands poètes: Affif-Eddine, décédé à Damas et son père Cheb Dharif, Mohamed ibn-Khamis mort à Grenade, Ibn-Hamdoun, al-Qaïssi al-andalussi, Abou-Hammou Moussa II, Abi Djamaa talalissi tilimsani, Daoudi al-Faroui... Avec la rime et l’ancrage de sa vieille tradition, les habitants de la cité des Djidars développèrent, non seulement une grande sensibilité poétique mais également rythmique et musicale. C’est ainsi qu’elle verra l’éclosion d’un riche patrimoine poético-musical, celui-ci sera au cours des siècles, constamment enrichi et renouvelé et cela, grâce au génie de ses poètes et à l’inventivité de ses artistes. Cette brillante période n’aura pas été sans laisser, bien sûr, des traces. La décadence des Zianide sera suivie d’une période de stagnation dont les germes apparaissaient déjà dès le 14e siècle, dans le Maghreb.
Concernant la poésie populaire l’historien Abderrahmane Ibn-Khaldoun (1332-14O6) signalera cette période, son existence, en faisant allusion à «aroud el-balad» ou métrique du pays. La naissance de cette poésie est, en effet, symptomatique d’une période qui, en Algérie, coïncida avec, à la fois, la fin définitive du règne des Zianide en 1554 et aussi, l’arrivée des Ottomans (1). Dans le Maghreb les formes poétiques classiques et élitaires voir le «mouwachah» et le «zedjal» ont été, longtemps, considérées comme l’expression la plus haute du langage poétique. Tlemcen est demeurée, cependant, très attachée à l’école andalouse et à ses lettres de noblesse. La poésie du style «haouzi», née bien plus tard, est le produit d’une langue simplifiée qui allait compenser l’arabe littéraire, utilisé dans la poésie lyrique classique. Ce genre de prose, qui a connu un prodigieux développement, nous donne une idée de la vitalité de la tradition poétique à Tlemcen. Toutes les littératures ont suivi le même processus qui voit la langue métrique céder le pas à la prose. Si la poésie du «haouzi» est simple, c’est parce qu’elle n’est pas soumise au joug de la versification classique. Les poèmes dont l’inspiration est, à la fois, épique, lyrique et mystique ainsi composés seront appelés «qaçida» et répondent au récit plus qu’à la forme.
La poésie dialectale utilisée dans ce genre musical ne tient pas compte des règles de versification classique connue dans la langue arabe. Il lui arrive, de ce fait aussi souvent, de mêler l’arabe classique vulgarisé et l’idiome courant avec ses mots d’origines diverses: arabe, romaine, turque... et leur orthographe phonétique qui embarrassent, aujourd’hui, son vocabulaire et également ses tournures de phrases, enfin, ses variétés d’expressions du beau langage populaire...
Le «haouzi» profitera, au plan mélodique de la forte influence de l’héritage musical andalou avec son système de symboles, de modes et de rythmes avec des formes, cependant, plus légères. Ce genre fait partie, aujourd’hui, de l’histoire générale de la musique maghrébine dite andalouse. En tant que source d’inspiration il en est un confluent qui a son importance, marquant, ainsi, l’évolution de cette musique.
Dans le «haouzi», terme qui n’apparaîtra qu’au 17e siècle et que l’on rencontre, pour la première fois, dans une des poésies de Ahmed Bentriqui, les poètes ont recours au dialecte parlé du pays pour aborder leurs thèmes variés. Contrairement à leurs homologues marocains du «melhoun», les poètes tlemceniens ont démontré moins de propension à traiter des thèmes de société ou d’éthique. Cet héritage littéraire, «melhoun» et «haouzi», d’essence populaire a, durant plusieurs siècles, incarné des valeurs d’art et de culture.
Une expérience esthétique originale
Dans le domaine de la musique, la naissance du genre poético- musical dit «haouzi» est un tournant dans l’histoire culturelle dans cette région. C’était là une nouvelle expérience poético-musicale qui allait enrichir le patrimoine musical de la chanson citadine dans le Maghreb. Le génie des poètes et musiciens populaires producteurs du «haouzi» allait ainsi s’exprimer et de la même manière que leurs devanciers, car l’histoire retiendra l’importante contribution des poètes et des musiciens de Tlemcen à l’enrichissement de la musique andalouse. Grâce à leur imagination et leur esprit inventif les musiciens de Tlemcen participèrent à une oeuvre inestimable visant l’intégration dans la «sanâa», des beaux textes littéraires rimés de poètes locaux tels: al-Qaîssi al-andaloussi, Abi Djemaa Talalissi, Saïd al-Mandassi ou encore Sidi Abou Madyan Choaib (12e siècle), ce soufi andalou ayant longtemps vécu à Béjaïa et dont la cité des Djidars en a fait , à sa mort, le saint paton, voir: «Tahiya bikoum» (zidane, hsin), «idou iliya al-wissal», «al-kalb elli yahouakoum» (inséraf hsin), «ida daka sadri» (btaihi, rasd dil), «lamma bada mitl el-koboul» (inseraf hsin)...
Il est reconnu que, dès le 15e siècle, avec le «melhoun», au Maroc, le «haouzi», en Algérie, les «zdjouls», en Tunisie, un mouvement intense de continuité de la tradition littéraire et musicale du «zedjal» dans le Maghreb où la tradition andalouse est restée vivace. Il est temps de comprendre le rôle joué par l’ancienne capitale zianide dans la transmission de la prodigieuse culture arabo-musulmane. A cette culture, elle y est restée attachée. Au plan musical les manuscrits découverts récemment aux 18 et 19e siècles, démontrent l’étendue de l’héritage que la mémoire faillible n’a guère permis de tout sauver, voir notamment des mélodies dont une partie a pu être conservée en se réfugiant ici et là, avec les musiciens et les hommes de l’art à Alger devenue la nouvelle capitale enfin, à Tétouan, Rabat... et cela au gré des évènements qui ont mouvementé l’histoire de la région après la chute du royaume des Zianides dans la transmission de la prodigieuse culture arabo-musulmane.
Cette langue cessera d’être au coeur de cette culture dans la région ou la période post-zianide laissera place aux dialectes avec l’apparition des poésies écrites dans la langue du peuple. Romantique, Tlemcen où les monuments sont partout, est aussi, une cité qui dégage une étonnante douceur de vivre.
Le genre poético-musical dit «haouzi» est né à cette période établissant ainsi un moment important de l’histoire de la vieille cité et de son évolution. L’éponyme «haouzi» est un terme référent qui désigne un genre poético-musical né à la périphérie de la musique andalouse. La connotation spatiale du terme trouve, à notre avis, son sens dans le rapport qu’il a avec la musique d’origine andalouse; le «haouzi» étant une expérience musicale d’extraction locale, pur produit des poètes et musiciens du cru de Tlemcen qui ne sera, d’ailleurs, que plus tard labellisée de genre dérivé à la musique andalouse.
La culture musicale est dominée, à Tlemcen, par une spatialisation irréductible avec la musique andalouse, souveraine au coeur de la cité, le «haouzi» à sa périphérie la plus proche, plus loin encore le «aroubi» ou le «bédoui» enfin, le «gherbi» et son espace qui désigne la culture des poètes et des musiciens du Gherb, c’est-à-dire le Maroc. Chacun d’eux est un référent spatial, un lieu d’écriture, à la riche et vaste littérature poético-musicale maghrébine, même si le terme «haouzi» soulève encore une ambiguïté et par-là, une quête de sens et de lecture, interminable chez les historiens de l’art musical.
La sédentarité (hadara), la cité avec son pendant, la citadinité (tamaddoun) sont au coeur de sa théorie de la civilisation chez Abderrahmane Ibn-Khaldoun. Les poètes du «haouzi» sont des citadins nés à Béni-Djemla, Bab Zir ou derb al-Méliani... des espaces symboliques au coeur de la citadinité tlemcenienne. Le «haouzi» est un produit de la culture arabe restée souveraine et qui a, pendant plusieurs siècles, imprégné les cités impériales du Maghreb et cela, dès l’expansion de l’Islam au début du 8e siècle, dans cette région appelée Occident musulman ou Maghreb.
L’histoire de Tlemcen a été, rappelons-le, jalonné par les grands évènements dynastiques qui ont stratifié le passé du Maghreb. En perpétuelle dynamique historique, elle sera, tout d’abord, capitale d’un royaume berbère kharidjite sous le roi ifrinide Abou Qorra au 8e siècle et ce, avant de tomber dans le giron des grandes dynasties qui ont, successivement, régné sur le Maghreb: les Omeyyade, les Idrisside, les Almoravide, les Almohade, les Zianide enfin, les Ottomans. Avec l’émiettement de l’empire almohade, elle sera, de nouveau, au Moyen Âge arabe, capitale (1236-1554) du royaume zianide dans l’espace maghrébin, occupé au même moment par les «Hafside», à Tunis, les «Mérinide», à Fès et les «Nasride», à Grenade. Tlemcen connaîtra, durant ce règne, la période la plus faste de son histoire. Au carrefour d’échanges commerciaux avec l’Afrique du sud du Sahara, elle sera un pôle culturel et scientifique rayonnant sur l’ensemble du Maghreb et au-delà, avec ses célèbres médersas: al-Yacoubiya, al-Eubbad, at-Tachfiniya, Ouled el-Imam... Ces centres, foyers irradiants de la science et de la culture, ont formé des générations de savants léguant un héritage lourd et sublime. La littérature y occupa une place importante d’où les noms de grands poètes: Affif-Eddine, décédé à Damas et son père Cheb Dharif, Mohamed ibn-Khamis mort à Grenade, Ibn-Hamdoun, al-Qaïssi al-andalussi, Abou-Hammou Moussa II, Abi Djamaa talalissi tilimsani, Daoudi al-Faroui... Avec la rime et l’ancrage de sa vieille tradition, les habitants de la cité des Djidars développèrent, non seulement une grande sensibilité poétique mais également rythmique et musicale. C’est ainsi qu’elle verra l’éclosion d’un riche patrimoine poético-musical, celui-ci sera au cours des siècles, constamment enrichi et renouvelé et cela, grâce au génie de ses poètes et à l’inventivité de ses artistes. Cette brillante période n’aura pas été sans laisser, bien sûr, des traces. La décadence des Zianide sera suivie d’une période de stagnation dont les germes apparaissaient déjà dès le 14e siècle, dans le Maghreb.
Concernant la poésie populaire l’historien Abderrahmane Ibn-Khaldoun (1332-14O6) signalera cette période, son existence, en faisant allusion à «aroud el-balad» ou métrique du pays. La naissance de cette poésie est, en effet, symptomatique d’une période qui, en Algérie, coïncida avec, à la fois, la fin définitive du règne des Zianide en 1554 et aussi, l’arrivée des Ottomans (1). Dans le Maghreb les formes poétiques classiques et élitaires voir le «mouwachah» et le «zedjal» ont été, longtemps, considérées comme l’expression la plus haute du langage poétique. Tlemcen est demeurée, cependant, très attachée à l’école andalouse et à ses lettres de noblesse. La poésie du style «haouzi», née bien plus tard, est le produit d’une langue simplifiée qui allait compenser l’arabe littéraire, utilisé dans la poésie lyrique classique. Ce genre de prose, qui a connu un prodigieux développement, nous donne une idée de la vitalité de la tradition poétique à Tlemcen. Toutes les littératures ont suivi le même processus qui voit la langue métrique céder le pas à la prose. Si la poésie du «haouzi» est simple, c’est parce qu’elle n’est pas soumise au joug de la versification classique. Les poèmes dont l’inspiration est, à la fois, épique, lyrique et mystique ainsi composés seront appelés «qaçida» et répondent au récit plus qu’à la forme.
La poésie dialectale utilisée dans ce genre musical ne tient pas compte des règles de versification classique connue dans la langue arabe. Il lui arrive, de ce fait aussi souvent, de mêler l’arabe classique vulgarisé et l’idiome courant avec ses mots d’origines diverses: arabe, romaine, turque... et leur orthographe phonétique qui embarrassent, aujourd’hui, son vocabulaire et également ses tournures de phrases, enfin, ses variétés d’expressions du beau langage populaire...
Le «haouzi» profitera, au plan mélodique de la forte influence de l’héritage musical andalou avec son système de symboles, de modes et de rythmes avec des formes, cependant, plus légères. Ce genre fait partie, aujourd’hui, de l’histoire générale de la musique maghrébine dite andalouse. En tant que source d’inspiration il en est un confluent qui a son importance, marquant, ainsi, l’évolution de cette musique.
Dans le «haouzi», terme qui n’apparaîtra qu’au 17e siècle et que l’on rencontre, pour la première fois, dans une des poésies de Ahmed Bentriqui, les poètes ont recours au dialecte parlé du pays pour aborder leurs thèmes variés. Contrairement à leurs homologues marocains du «melhoun», les poètes tlemceniens ont démontré moins de propension à traiter des thèmes de société ou d’éthique. Cet héritage littéraire, «melhoun» et «haouzi», d’essence populaire a, durant plusieurs siècles, incarné des valeurs d’art et de culture.
Une expérience esthétique originale
Dans le domaine de la musique, la naissance du genre poético- musical dit «haouzi» est un tournant dans l’histoire culturelle dans cette région. C’était là une nouvelle expérience poético-musicale qui allait enrichir le patrimoine musical de la chanson citadine dans le Maghreb. Le génie des poètes et musiciens populaires producteurs du «haouzi» allait ainsi s’exprimer et de la même manière que leurs devanciers, car l’histoire retiendra l’importante contribution des poètes et des musiciens de Tlemcen à l’enrichissement de la musique andalouse. Grâce à leur imagination et leur esprit inventif les musiciens de Tlemcen participèrent à une oeuvre inestimable visant l’intégration dans la «sanâa», des beaux textes littéraires rimés de poètes locaux tels: al-Qaîssi al-andaloussi, Abi Djemaa Talalissi, Saïd al-Mandassi ou encore Sidi Abou Madyan Choaib (12e siècle), ce soufi andalou ayant longtemps vécu à Béjaïa et dont la cité des Djidars en a fait , à sa mort, le saint paton, voir: «Tahiya bikoum» (zidane, hsin), «idou iliya al-wissal», «al-kalb elli yahouakoum» (inséraf hsin), «ida daka sadri» (btaihi, rasd dil), «lamma bada mitl el-koboul» (inseraf hsin)...
Il est reconnu que, dès le 15e siècle, avec le «melhoun», au Maroc, le «haouzi», en Algérie, les «zdjouls», en Tunisie, un mouvement intense de continuité de la tradition littéraire et musicale du «zedjal» dans le Maghreb où la tradition andalouse est restée vivace. Il est temps de comprendre le rôle joué par l’ancienne capitale zianide dans la transmission de la prodigieuse culture arabo-musulmane. A cette culture, elle y est restée attachée. Au plan musical les manuscrits découverts récemment aux 18 et 19e siècles, démontrent l’étendue de l’héritage que la mémoire faillible n’a guère permis de tout sauver, voir notamment des mélodies dont une partie a pu être conservée en se réfugiant ici et là, avec les musiciens et les hommes de l’art à Alger devenue la nouvelle capitale enfin, à Tétouan, Rabat... et cela au gré des évènements qui ont mouvementé l’histoire de la région après la chute du royaume des Zianides dans la transmission de la prodigieuse culture arabo-musulmane.
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