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Amnesty International : "Les plus puissants doivent donner le bon exemple"
L’ONG Amnesty international a estimé que "les promesses non pas été tenues" dans le monde entier pour contenir les violations des droits humains, dans un rapport présenté hier à Paris, et a appelé les pays "les plus puissants à donner le bon exemple".
Dans son rapport 2008 sur la "Situation des droits de l’homme dans le monde", traitant de la situation dans 150 pays, et à l’occasion du 60e anniversaire de la déclaration universelle des droits de l’homme, Amnesty International, a dressé le "sombre" tableau d’un monde "marqué par l’injustice, l’inégalité".
Ce rapport "montre qu’aujourd’hui, 60 ans après l’adoption de la déclaration universelle des droits de l’homme par les Nations Unies, "il existe encore 81 pays au moins où des hommes et des femmes subissent des actes de torture ou d’autres mauvais traitements, 54 pays au moins où les procès ne sont pas conformes aux normes d’équité, et 77 pays au moins où il est impossible de s’exprimer librement".
Les Etats-Unis avec notamment le centre de détention de Guantanamo, l’UE en ce qui concerne la gestion de la lutte anti-terroriste, la France sur sa politique de maîtrise des flux migratoires ou sur les cas de violences policières, ou le Canada pour les violences faites "aux femmes autochtones", ont été, entre autres pays, tour à tour passés au crible par l’ONG qui a appelé, selon sa SG Irène Khan dans une note de présentation du rapport, les pays "les plus puissants à donner le bon exemple".
Concernant l’Afrique, l’ONG a cependant relevé que "le système de défense des droits de la personne s’est étoffé grâce à la mise en place au niveau régional d’institutions de protection des droits fondamentaux". L’ONG, qui a également dénoncé les violations des droits de l’homme au Sahara occidental, a aussi traité de la "situation dramatique" dans les territoires palestiniens occupés.
- El moudjahid
L’ONG Amnesty international a estimé que "les promesses non pas été tenues" dans le monde entier pour contenir les violations des droits humains, dans un rapport présenté hier à Paris, et a appelé les pays "les plus puissants à donner le bon exemple".
Dans son rapport 2008 sur la "Situation des droits de l’homme dans le monde", traitant de la situation dans 150 pays, et à l’occasion du 60e anniversaire de la déclaration universelle des droits de l’homme, Amnesty International, a dressé le "sombre" tableau d’un monde "marqué par l’injustice, l’inégalité".
Ce rapport "montre qu’aujourd’hui, 60 ans après l’adoption de la déclaration universelle des droits de l’homme par les Nations Unies, "il existe encore 81 pays au moins où des hommes et des femmes subissent des actes de torture ou d’autres mauvais traitements, 54 pays au moins où les procès ne sont pas conformes aux normes d’équité, et 77 pays au moins où il est impossible de s’exprimer librement".
Les Etats-Unis avec notamment le centre de détention de Guantanamo, l’UE en ce qui concerne la gestion de la lutte anti-terroriste, la France sur sa politique de maîtrise des flux migratoires ou sur les cas de violences policières, ou le Canada pour les violences faites "aux femmes autochtones", ont été, entre autres pays, tour à tour passés au crible par l’ONG qui a appelé, selon sa SG Irène Khan dans une note de présentation du rapport, les pays "les plus puissants à donner le bon exemple".
Concernant l’Afrique, l’ONG a cependant relevé que "le système de défense des droits de la personne s’est étoffé grâce à la mise en place au niveau régional d’institutions de protection des droits fondamentaux". L’ONG, qui a également dénoncé les violations des droits de l’homme au Sahara occidental, a aussi traité de la "situation dramatique" dans les territoires palestiniens occupés.
- El moudjahid