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L’ère des amalgames au Québec

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  • L’ère des amalgames au Québec

    Des apprentis –penseurs s’essayent à vilipender toute approche qui leur déplait et qui n’est pas, forcement, erronée. Ils n’acceptent pas, loin du monde, de tolérer que des idées puissent venir buter sur leurs assurances, et rappeler que, souvent, la réalité n’est pas un monde reclus encore moins une bulle aseptisée.
    Je me suis demandé si le combat, intellectuellement parlant, d’illustres personnes n’aurait pas été attaqué et jeter aux arènes, si l’histoire ne serait pas venu à leur rescousse. Ces hommes et femmes ont bravé les tabous, ont tente de changer l’intransigeante certitude de ceux qui n’ont point voulu améliorer le sort de tant de miséreux et de laissés-pour-compte.
    Changer le monde, cela n’a pas réussi au plus intrépide des hommes ; mais l’addition de forces et la combinaison des intelligences, fussent-elles moins coriaces, a permis de libérer les énergies nécessaires , à même de remodeler la face du monde.
    La lutte est une interprétation de résistance à une agression, elle est indépendante de toute allégation, et ne permets point les faux –fuyants. D’illustres personnages ont marqué l’histoire contemporaine et ont légué une indéfectible règle, celle de toujours refuser l’inertie et l’oppression. On aura vite fait le tour si l’on voudrait quêter le nombre de leaders qui ont initie leurs communautés et peuples à la stricte nécessite de ne jamais plier devant l’horreur et l’injustice.
    Gandhi, érigé en conscience vivante du peuple indien a compris très tôt que l’avenir des siens passe, inévitablement, par le démantèlement, sans conditions, du système colonial britannique, lequel a maintenu la nation indienne dans une oppression hideuse et une pauvreté destructrice. Lui, le Mahatma, a compris que le bonheur des siens se concrétisera lorsque l’Inde disposera librement de son destin ; Gandhi a montré que la voie de la résistance pouvait et se devait d être non violente car celle-ci alimente la haine et tue l’espoir.
    Mandela a eu la grande sagesse de pardonner a ceux qui l’ont traite moins qu un humain. Il nous apprend le sens profond du mot liberté ; que les années passées dans les geôles et bagnes n’ont aucunement consumé la hargne de toujours placer l’espoir au devant de toute considération.
    Mandela avait la certitude de voir, un jour l’ensemble de ses concitoyens vivre en parfaite harmonie sans exclusion aucune.
    Pas loin de chez-nous, un homme aux idées inhabituelles a fait une incursion tonitruante dans le champ politique américain à l’aurore des années soixante. Le nom de cette illustre personne résonne, encore, dans les esprits avides de liberté et de justice sociale. Martin Luther King a brandit l’arme de la parole et le rameau de la sagesse, pour apprendre aux desherites et exclus de la communauté noire, que le mot espérance pouvait aussi faire partie de leur lexique et de leur vie.
    Le pasteur King a permis, par con combat, à la société américaine de se libérer du carcan hideux du racisme, qui freinait l’émancipation de la société, celle-ci donne, aujourd’hui, un exemple d’intégration ou tous les rêves sont possibles, même de voir un noir briguer la présidence des États unis, chose impensable il y a de cela à peine quarante ans.
    J’ai évoqué Gandhi, Mandela et Martin Luther King pour pourfendre toute idée de résignation; car le désespoir mène, constamment, aux brancards de l’incivilité et de l’exclusion.
    Savoir parler c’est mettre en exergue les atouts formidables de chacun d’entre-nous .Le fait de clamer notre désir de s’intégrer n’équivaut en rien à du repli sur soi.Une société qui réussit c’est celle qui donne la parole à chacun de ses constituants fut--il le plus maladroit.
    La société canadienne demeure un exemple de cohésion sociale ; elle a fixé des règles immuables ayant permis à des gens, venus d’horizons éparses, de vivre en harmonie et respect.
    Certains québécois n’apprécient pas la chance qu’ils ont d’acceuillr autant de cultures et d’individualités, qui font du Québec un rare havre de paix et une chance d’ériger une nation forte, avec une économie dynamique qui feront jalouser nombre de peuples qui n’auront pas compris que dans la diversité et les échanges se terre l’ultime force de réussite et l’unique chance de durer.
    Face à la mondialisation grimpante, qui n’a aucun scrupule, le Québec se doit de rassembler toutes ses énergies et ne pas rater le coche ; et ce n’est pas en excluant une frange de sa population que le Québec dynamisera son économie et se mettra à l’abri de la récession économique et du retard culturel.En Europe et partout ailleurs l’immigration est perçue comme un atout extraordinaire qui booste l’économie et assure la croissance.
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