C’était au bord d’un rêve,
Je ne sais pas où c’était pour de vrai,
Un littoral au ciel pâle et brumeux
Les vagues dansaient aux deux complices.
Je sais qu’ils savouraient l’intimité et
Le goût sauvage du désert qui les entoure
Sous les écumes qui se projettent pour assurer
L’agréable mais éphémère séjour !
Aux gouttes qui s’entrechoquent, des mains
Et des pieds qui se trempent.
Tromper le temps à coups d’étreintes et croire
Que le temps s’arrête là entre deux bras,
A la légereté des pas et un mumure tout bas !
Un sable mouillé, les pieds nus souillés et
L'ondée à la traîne !
La folie continue tout de même, le ciel
Grisé, le coucher timide,
À grandes enjambées se ramène…
Les instants primitifs de la fusion des âmes
Se dévoilent à la dernière lueur qui se voile !
Des gémissements de plaisir, des soupirs
De l’ultime détente dénouent la passion
Des deux complices…
Samir, le 29 mai 2008
Je ne sais pas où c’était pour de vrai,
Un littoral au ciel pâle et brumeux
Les vagues dansaient aux deux complices.
Je sais qu’ils savouraient l’intimité et
Le goût sauvage du désert qui les entoure
Sous les écumes qui se projettent pour assurer
L’agréable mais éphémère séjour !
Aux gouttes qui s’entrechoquent, des mains
Et des pieds qui se trempent.
Tromper le temps à coups d’étreintes et croire
Que le temps s’arrête là entre deux bras,
A la légereté des pas et un mumure tout bas !
Un sable mouillé, les pieds nus souillés et
L'ondée à la traîne !
La folie continue tout de même, le ciel
Grisé, le coucher timide,
À grandes enjambées se ramène…
Les instants primitifs de la fusion des âmes
Se dévoilent à la dernière lueur qui se voile !
Des gémissements de plaisir, des soupirs
De l’ultime détente dénouent la passion
Des deux complices…
Samir, le 29 mai 2008
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