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Un ancien porte-parole de la Maison-Blanche, Scott McClellan, descend en flammes, dans un ouvrage à paraître la semaine prochaine, le président George W. Bush qu'il décrit comme une girouette s'étant «précipité» dans une guerre inutile en Irak.
Dans cet ouvrage What happened : inside the Bush White House and Washington's culture of deception(Ce qui s'est passé : au cœur de la Maison Blanche de Bush et la culture de la tromperie à Washington), l'ancien porte-parole fustige aussi l'Administration Bush pour sa gestion de la crise de l'ouragan Katrina en 2005, l'accusant d'avoir «passé la plus grande partie de la première semaine à nier» l'ampleur de la catastrophe, relève le magazine Politico qui a eu des extraits du livre.
«L'un des pires désastres de notre histoire est devenu l'un des pires désastres de la présidence Bush», écrit Scott McClellan. Cela a été encore renforcé par les précédentes décisions prises par M. Bush, y compris, d'abord et avant tout, de s'être «précipité dans une guerre» en Irak avec un «calendrier inadapté» et «sans avoir préparé l'après-conflit». M. McClellan, 40 ans, estime que le public américain a déjà conclu que «la décision d'envahir l'Irak était une sérieuse bourde stratégique».
«Personne ne peut savoir avec certitude comment sera jugée cette guerre dans des décennies, quand nous pourrons vraiment comprendre son impact. Ce que je sais, c'est que la guerre doit être engagée seulement quand elle est nécessaire et que celle d'Irak ne l'était pas», souligne l'auteur. Il accuse également l'ancien stratège et conseiller de M. Bush, Karl Rove, et le chef de l'équipe du vice-président Cheney, Lewis «Scooter Libby,» de l'avoir dupé à propos de leurs rôles dans le scandale de la divulgation de la véritable identité de l'ancienne agent de la CIA, Valerie Plame.
- Le soir d'Algerie
Dans cet ouvrage What happened : inside the Bush White House and Washington's culture of deception(Ce qui s'est passé : au cœur de la Maison Blanche de Bush et la culture de la tromperie à Washington), l'ancien porte-parole fustige aussi l'Administration Bush pour sa gestion de la crise de l'ouragan Katrina en 2005, l'accusant d'avoir «passé la plus grande partie de la première semaine à nier» l'ampleur de la catastrophe, relève le magazine Politico qui a eu des extraits du livre.
«L'un des pires désastres de notre histoire est devenu l'un des pires désastres de la présidence Bush», écrit Scott McClellan. Cela a été encore renforcé par les précédentes décisions prises par M. Bush, y compris, d'abord et avant tout, de s'être «précipité dans une guerre» en Irak avec un «calendrier inadapté» et «sans avoir préparé l'après-conflit». M. McClellan, 40 ans, estime que le public américain a déjà conclu que «la décision d'envahir l'Irak était une sérieuse bourde stratégique».
«Personne ne peut savoir avec certitude comment sera jugée cette guerre dans des décennies, quand nous pourrons vraiment comprendre son impact. Ce que je sais, c'est que la guerre doit être engagée seulement quand elle est nécessaire et que celle d'Irak ne l'était pas», souligne l'auteur. Il accuse également l'ancien stratège et conseiller de M. Bush, Karl Rove, et le chef de l'équipe du vice-président Cheney, Lewis «Scooter Libby,» de l'avoir dupé à propos de leurs rôles dans le scandale de la divulgation de la véritable identité de l'ancienne agent de la CIA, Valerie Plame.
- Le soir d'Algerie
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