La lancinante question de notre présence au Canada et, plus précisemment au Québec nous pousse, immenquablement, dans les tranchées les plus reculées; et les interprétations les plus diverses. Cela ne résouds pas l'impérieux probleme de notre vie de tous les jours, qui se trouve harcelée par d'hypothétiques theses et allégations.
Il ya comme une aversion à prendre le taureau par les cornes; pourquoi demander aux québecois de souche , comme ils aiment se prénommer, à nous respecter, si nous Algeriens de souche, intallés au Québéc n'arrivons même pas à se parler, encore mois à se supporter.
La seule raison d'être pour certains, c'est de semer la suspicion dans l'esprit de jeunes talents, avides d'ouverture et d'espoir. Les rares associations qui sont censés représenter les Québecois ou Canadiens d'origine algérienne, font du sur-place et rares sont ceux et celles qui adhèrent à leurs programmes.
Le champs médiatique et culturel est accaparé par une gente qui fait la boucle, à savoir présenter, toujours, les mêmes évenements ou shows, à se demander si, nous Algériens sommes capables que de répéter sans commune mesure.
Si nous sommes Québecois, alors où est l'assemblage d'idées, d'écrits, d'avis qui eux seuls peuvent prouver notre capacité et, surtout, notre probité intellectuelle.
Dans le cas contraire, si nous nous considérons comme Algériens, ou est le génie de celles et de ceux qui ont écris l'histoire de l'Algérie avec des élans de créativité mais surtout de générosité.
Je me désole de constater le vide sidéral du champs culturel Algérien au Québec, car pour moi l'intégration n'est pas seulement avoir un Loft ou une demeure lorgnant la Riviere des prairies ou ailleurs, mais l'intégration est avant toute chose un vécu, qui est le plus souvent Culturel et Civilisationnel.
Malheureusement, il se trouvera des personnes, qui faute de débat, vont nous faire somber dans les ténebres de la rhétorique et les méandres de l'invective.
Un illustre Anglais nous a légué cette maxime devenue célèbre; être ou ne pas être, alors qui sommes-nous québecois ou canadiens ou hybrides?
Il ya comme une aversion à prendre le taureau par les cornes; pourquoi demander aux québecois de souche , comme ils aiment se prénommer, à nous respecter, si nous Algeriens de souche, intallés au Québéc n'arrivons même pas à se parler, encore mois à se supporter.
La seule raison d'être pour certains, c'est de semer la suspicion dans l'esprit de jeunes talents, avides d'ouverture et d'espoir. Les rares associations qui sont censés représenter les Québecois ou Canadiens d'origine algérienne, font du sur-place et rares sont ceux et celles qui adhèrent à leurs programmes.
Le champs médiatique et culturel est accaparé par une gente qui fait la boucle, à savoir présenter, toujours, les mêmes évenements ou shows, à se demander si, nous Algériens sommes capables que de répéter sans commune mesure.
Si nous sommes Québecois, alors où est l'assemblage d'idées, d'écrits, d'avis qui eux seuls peuvent prouver notre capacité et, surtout, notre probité intellectuelle.
Dans le cas contraire, si nous nous considérons comme Algériens, ou est le génie de celles et de ceux qui ont écris l'histoire de l'Algérie avec des élans de créativité mais surtout de générosité.
Je me désole de constater le vide sidéral du champs culturel Algérien au Québec, car pour moi l'intégration n'est pas seulement avoir un Loft ou une demeure lorgnant la Riviere des prairies ou ailleurs, mais l'intégration est avant toute chose un vécu, qui est le plus souvent Culturel et Civilisationnel.
Malheureusement, il se trouvera des personnes, qui faute de débat, vont nous faire somber dans les ténebres de la rhétorique et les méandres de l'invective.
Un illustre Anglais nous a légué cette maxime devenue célèbre; être ou ne pas être, alors qui sommes-nous québecois ou canadiens ou hybrides?
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