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Alger notre fierté
Alger c’est le bonheur des oliviers et des orangers, qui prennent racine dans sa terre fertile, s’élevant pour aller contrer le bleu azur d’un ciel embellit par un soleil, donateur d’une luminosité qui ravive les couleurs et tonifie les parfums.
Alger fut habitée par une multitude de peuples, des dynasties édifièrent de somptueuses demeures luxuriantes, noyées dans de verdoyantes étendues de jardins aux couleurs vivifiantes et aux senteurs enivrantes. Jouxtant la ville européenne, la Casbah se trouve toujours la gardienne du patrimoine si riche et o combien valeureux de notre cité, on y accède par des dédales de rues et ruelles, qui nous rappellent les corsaires, vaillants soldats, qui firent battre en retraite un certain empereur Charles Quint. Les maisons centenaires ont nargué les audaces impétueuses, effrontées de la soldatesque étrangère, cette ville se complait dans sa mission sacrée, celle de gardienne des traditions, mais surtout gardienne de notre mémoire collective.
Alger est la mixture de deux mondes, celui ayant attrait à sa résistance intrépide aux assauts répétés des caravelles de l’inquisition espagnole, celui aussi de la fougueuse résistance de l’alliance militaire européenne qui voulu mettre au pas une nation insoumise.
Alger sût se préserver et résister à la véhémence des nombreuses cultures, qui rêvaient de poser pied dans sa terre fertile et récalcitrante.
El Djazair interpelle chacun de ses enfants, elle nous parle de notre histoire mais martèle surtout en nous l’insidieuse nécessité de toujours se tenir debout ou que l’on aille.
Oui c’est vrai, les pleurs de ses enfants empêchent souvent d’entrevoir au travers des hublots d’avion, la majestueuses vue de la sublime baie, cette image ultime nous accompagne dans nos péripéties, mais aussi dans nos réussites au delà des mers et des océans.
Alger présentement fait sa mue, elle a toujours sût se relever avec brio. Elle possède une force imparable, celle de croire en ses enfants qui seront constamment le rempart vaillant contre toute agression, mais surtout les fidèles héritiers d’une épopée, celle qui accorde une place prépondérante aux valeurs de courage,d’honnêteté, mais plus pressement aux valeurs de paix et de grandeur d’âme.
Alger c’est le bonheur des oliviers et des orangers, qui prennent racine dans sa terre fertile, s’élevant pour aller contrer le bleu azur d’un ciel embellit par un soleil, donateur d’une luminosité qui ravive les couleurs et tonifie les parfums.
Alger fut habitée par une multitude de peuples, des dynasties édifièrent de somptueuses demeures luxuriantes, noyées dans de verdoyantes étendues de jardins aux couleurs vivifiantes et aux senteurs enivrantes. Jouxtant la ville européenne, la Casbah se trouve toujours la gardienne du patrimoine si riche et o combien valeureux de notre cité, on y accède par des dédales de rues et ruelles, qui nous rappellent les corsaires, vaillants soldats, qui firent battre en retraite un certain empereur Charles Quint. Les maisons centenaires ont nargué les audaces impétueuses, effrontées de la soldatesque étrangère, cette ville se complait dans sa mission sacrée, celle de gardienne des traditions, mais surtout gardienne de notre mémoire collective.
Alger est la mixture de deux mondes, celui ayant attrait à sa résistance intrépide aux assauts répétés des caravelles de l’inquisition espagnole, celui aussi de la fougueuse résistance de l’alliance militaire européenne qui voulu mettre au pas une nation insoumise.
Alger sût se préserver et résister à la véhémence des nombreuses cultures, qui rêvaient de poser pied dans sa terre fertile et récalcitrante.
El Djazair interpelle chacun de ses enfants, elle nous parle de notre histoire mais martèle surtout en nous l’insidieuse nécessité de toujours se tenir debout ou que l’on aille.
Oui c’est vrai, les pleurs de ses enfants empêchent souvent d’entrevoir au travers des hublots d’avion, la majestueuses vue de la sublime baie, cette image ultime nous accompagne dans nos péripéties, mais aussi dans nos réussites au delà des mers et des océans.
Alger présentement fait sa mue, elle a toujours sût se relever avec brio. Elle possède une force imparable, celle de croire en ses enfants qui seront constamment le rempart vaillant contre toute agression, mais surtout les fidèles héritiers d’une épopée, celle qui accorde une place prépondérante aux valeurs de courage,d’honnêteté, mais plus pressement aux valeurs de paix et de grandeur d’âme.