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Les montagnes de la kabylie.. Idurar N-Lakvayel

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  • Les montagnes de la kabylie.. Idurar N-Lakvayel

    Hommage aux hommes de la révolution , cette chanson , a été comme un hymne pour commémorer la mémoire de ceux qui sont tombé au champs d'honneur ,,,


  • #2
    Grand Oublaid. Merci pour le partage.
    Lorsqu'il y a dix pas à faire vers quelqu'un, neuf n'est que la moitié du chemin.

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    • #3
      merci tamedit!
      excellente chanson, reprise par farid gaya...
      Je suis une Légende, je suis l'Histoire: je suis BYLKUSDU94!

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      • #4
        Azul

        Tamedit n-was, merci.

        Cette chanson est tellement chargée de souvenirs.

        Encore une fois merci.
        “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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        • #5
          idura n'laqvayel dina y-eγlin atmaten-iw
          tanemirt a Slim

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          • #6
            Je vous en pris , tout le plaisir est pour moi


            J'avoue que j'ai un faible pour ces "Idurar" , je pense qu'ils sont nombreux de nos artistes : chanteurs , peintres qui ont rendu hommage à cette région magnifique qui est notre berceau ,, mais aucun hommage je peus le comparer à ce poème qui est le texte de la chanson de Ait Menguellet ,( tamurt-iw : ma région , mon pays , ou ma terre )

            tamurt-iw d-izurar (γe)f idurar, yecudden mebbla imurar s-igenwan,

            ou bien

            at zerd’ lγaba tinnakken ur nqebb(e)l-ara ad’ar,
            at zerd’ tejra, terγa, tejreh’, tugwi at q’ar,
            at zerd’ tejra, γas tekkfa, yettidir uz’ar,
            γers akkw i dd-nerra, nh’efed’ sekra id aγ tesγar,


            C'est notre berceau que chante Lounis...



            d-dduh’-nneγ (γe)f i ncennu,
            atan di tegnaw yulli,
            d-mmi-s andda yebγa yeddu,
            di t’iq at i dd-yemekti,

            mi ns’ebb(e)h’ γef idurar-im,
            a tamurt-iw,
            ad aγ tiz’id’ tmuγli,
            (a)ruh’ yeččudd s-akal-im,
            a tamurt-iw,
            siwa yes i(gg) yettili,

            mi nebεed fell-am,
            d-lxiq i dd-yerzen degg wulawen,
            wa yettmekt-i-dd acewiq,
            wa yettxayel-dd isafen,

            mi ns’ebbeh’ (γe)f idurar-im,
            a tamurt-iw,
            ttakken-aγ-dd tazmart nsen
            (a)ruh’ yeččud s-akal-im,
            a tamurt-iw,
            akal-nni iγ dd-yesekkren…


            akk awiγ sangga nh’as akk d-dehb mlalen,
            akk awiγ sangga tirugza d lεib ttlalen,
            akk awiγ sangga ur yekkat lmizan s-allen,
            wezn akken ik yehwa, ur tettafed’ lğğiha ay malen,

            kkul taddart, tcuba azrar γef drar,
            yecudden mebbγir amrar s-icerfan,
            tamurt-iw d-izurar (γe)f idurar,
            yecudden mebbla imurar s-igenwan,


            ma yella tebγid’ γuresn i wakken a dd-gemd’ lqiq,
            ma yella tebγid’ γuresn i wakken at uzured’ rqiq,
            ma yella tebγid’ at εeddid’ s-tehri di t’iq,
            akk nγen degg id’, sebh’ akk i dd-awin d-acewiq,

            kkul taddart, tcuba azrar γef drar,
            yecudden mebbγir amrar s-icerfan,
            tamurt-iw d-izurar (γe)f idurar,
            yecudden mebbla imurar s-igenwan,


            at walid’ nnif, winnakken (γe)f id ak h’kkan,
            at walid’ lh’if yettruz’un irggazen ur knan,
            at walid’ asif anddakken ur uzlen waman,
            at walid’ asif anddakken yettazal laman,

            kkul taddart, tcuba azrar γef drar,
            yecudden mebbγir amrar s-icerfan,
            tamurt-iw d-izurar (γe)f idurar,
            yecudden mebbla imurar s-igenwan,


            at zerd’ udmawen amek i ten qazen wusan,
            at walid’ allen ad ak i dd-yeh’kkun kra yed’ran,
            at zerd’ ifasen andda leh’un idamen yerγan,
            at zerd’ id’aren, wid i kerfen segg wakken lh’an,

            kkul taddart, tcuba azrar γef drar,
            yecudden mebbγir amrar s-icerfan,
            tamurt-iw d-izurar (γe)f idurar,
            yecudden mebbla imurar s-igenwan,


            akk awiγ sangga arih’a n-lwerdd d-amkkan-is,
            akk awiγ sangga arih’a n-lbarud’ d-arfiq-is,
            akk awiγ sangga arih’a las’el d-axxam-is,
            akk awiγ sangga arih’a n-tegmatt d-akal-is,

            kkul taddart, tcuba azrar γef drar,
            yecudden mebbγir amrar s-icerfan,
            tamurt-iw d-izurar (γe)f idurar,
            yecudden mebbla imurar s-igenwan,


            at zerd’ lγaba tinnakken ur nqebb(e)l-ara ad’ar,
            at zerd’ tejra, terγa, tejreh’, tugwi at q’ar,
            at zerd’ tejra, γas tekkfa, yettidir uz’ar,
            γers akkw i dd-nerra, nh’efed’ sekra id aγ tesγar,

            kkul taddart, tcuba azrar γef drar,
            yecudden mebbγir amrar s-icerfan,
            tamurt-iw d-izurar (γe)f idurar,
            yecudden mebbla imurar s-igenwan…

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            • #7
              Un conseil pour côtoyer les Kabyles

              ma yella tebγid’ γuresn i wakken a dd-gemd’ lqiq,
              ma yella tebγid’ γuresn i wakken at uzured’ rqiq,
              ma yella tebγid’ at εeddid’ s-tehri di t’iq,
              akk nγen degg id’, sebh’ akk i dd-awin d-acewiq,

              Traudction

              Si tu veux, chez eux, agrandir les choses,
              si tu veux, chez eux, amplifier les choses,
              si tu veux prendre tes aises,
              ils te tueront la nuit venue, et le matin chanteront tes louanges.

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              • #8
                traduction :
                C'est notre berceau que nous chantons,
                voyez, il atteint même les cieux !
                Son fils, où qu'il aille,
                dans le besoin, il se le rappellera.

                Se réveiller et voir tes montagnes,
                mon pays,
                la vision est agréable.
                L'âme est attachées à tes terres,
                mon pays,
                elles le font vivre.

                Lorsque nous sommes loin de toi,
                nos cœurs se sentent oppressés,
                les uns se rappellent des chants,
                d'autres se souviennent des champs.

                Se réveiller et voir tes montagnes,
                mon pays,
                elles nous transmettent leur force.
                L'âme est attachée à tes terres,
                mon pays,
                les terres qui l'ont fait naître et grandir.



                Je t'emmènerais là où le cuivre et l'or se rencontrent,
                je t'emmènerais là où l'honneur et le déshonneur naissent,
                je t'emmènerais là où tout est équilibre aux yeux,
                mesure comme il te plaira, tu ne trouveras aucun côté instable.

                Chaque village est tel un collier qui pare la colline
                attachée, sans corde, aux escarpements.
                Mon pays est tel des colliers sur les collines,
                attachée, sans cordes, aux cieux.


                Si tu veux, chez eux, agrandir les choses,
                si tu veux, chez eux, amplifier les choses,
                si tu veux prendre tes aises,
                ils te tueront la nuit venue, et le matin chanteront tes louanges.

                Chaque village est tel un collier qui pare la colline
                attachée, sans corde, aux escarpements.
                Mon pays est tel des colliers sur les collines,
                attachée, sans cordes, aux cieux.


                Tu verras l'honneur que l'on t'as tant raconté,
                tu verras la misère qui brise les hommes sans qu'ils rompent,
                tu verras la rivière dont le lit ignore le goût de l'eau,
                tu verras la rivière dans laquelle coule la confiance.

                Chaque village est tel un collier qui pare la colline
                attachée, sans corde, aux escarpements.
                Mon pays est tel des colliers sur les collines,
                attachée, sans cordes, aux cieux.


                Tu verras comment le temps creuse les visages,
                tu liras dans les regards tout ce qui s'est passé,
                tu verras des mains dans lesquelles coule du sang brûlant,
                tu verras des pieds déformés par les distances parcourues.

                Chaque village est tel un collier qui pare la colline
                attachée, sans corde, aux escarpements.
                Mon pays est tel des colliers sur les collines,
                attachée, sans cordes, aux cieux.


                Je t'emmènerais là où la senteur de la rose a sa place,
                Je t'emmènerais là où l'odeur des balles est sa compagne,
                Je t'emmènerais là où réside l'honneur,
                Je t'emmènerais en terre de fraternité.

                Chaque village est tel un collier qui pare la colline
                attachée, sans corde, aux escarpements.
                Mon pays est tel des colliers sur les collines,
                attachée, sans cordes, aux cieux.


                Tu verras la forêt qui ne laisse pas l'homme fouler sa terre,
                tu verras l'arbre, brûlé, blessé mais refusant de mourir,
                tu verras l'arbre, même asséché, dont la racine vit encore,
                c'est vers cette racine que nous revenons, apprendre et retenir ce qu'elle nous enseigne.

                Chaque village est tel un collier qui pare la colline
                attachée, sans corde, aux escarpements.
                Mon pays est tel des colliers sur les collines,
                attachée, sans cordes, aux cieux.

                Commentaire


                • #9
                  tant de souvenirs!

                  "Tamedit n-was", stp si tu peux bien me procurer la chanson qui contient ces paroles : "latmekthay awk thimzis ighmèn amelhanni, oh oh athanina yeghlid fellam oussig'na"
                  dommage que je ne me souviens plus du chanteur mais elle me rappelle des moments...sans commentaires!
                  je te suis très reconnaissant ( même si c'est négatif ).
                  merci à toi pour ce topic.

                  Commentaire


                  • #10
                    Bonsoir et merci pour le partage

                    J'avoue que j'ai un faible pour ces "Idurar"
                    Pareil, quand j'entend "idurar", je ne peux m'empêcher de compléter: "eleqvayel", ça me fait penser aussi à une chanson que j'aime beaucoup, de Matoub asye3fu rebbi, "idurar ay del3emriw" la voici, quite à me faire modérer

                    Tadjére ouala Hadjére ouala rédjline Madjer...

                    Vive Tayri, Vive JSK

                    Commentaire


                    • #11
                      YaHasra

                      tu peux pas nous aider avec un plus d'indice ? le nom du chanteur, l'Album, l'année , le lieux où ce chanteur avait chanté ?

                      Commentaire


                      • #12
                        merci pour les clips...............

                        j'espère que vous n'allez pas trop me jeter de savates...mais pour tout vous dire, lorsqu'on dit : arraw idurar...etc......je me reconnais pas tellement dedans(c'est peut être grave, je sais pas!!!!).je vous rassure tite swiit, ma kabylité est intact...etc...même si mes grands parents et arrieres grands parents sont descendus des hautes montagnes kabyles..........!!

                        ....euh, donc voilà, c'est pour dire qu'il faut pas non plus nous oublier nous les gens de la plaine!!........la kabylie d'en bas!!

                        Commentaire


                        • #13
                          lorsqu'on dit : arraw idurar...etc......je me reconnais pas tellement dedans
                          olala ton cas est grave a tafsut !! lol
                          comment ça tu te reconnais pas??
                          et puis quoi, tu es de la plaine, mais il y a des montagnes autour de toi non? dans le paysage, ne me dit pas que tu habites dans un coin plat à l'horizon !!
                          si c'est le cas, ben dommage ça doit être horrible un coin en kabylie sans montagnes :22:

                          j'etais dure waqila
                          Tadjére ouala Hadjére ouala rédjline Madjer...

                          Vive Tayri, Vive JSK

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                          • #14
                            azul

                            tanemirt!

                            magnifique!
                            "On est les seuls à croire au père Noël jusqu'à 30 ans"
                            Manifeste/Shurik'n

                            Commentaire


                            • #15
                              j'etais dure waqila
                              attends j m'occupe de toi tite suite!!...........

                              .....oui y q des montagnes tout autour de chez moi, mes grands parents étaient originaires de là, et ils est vrai aussi que les montagnes sont l'emblème de la Kabylie.........oui mais voilà, n'etant pas née ni vécu en montagnes....ni mes parents d'ailleurs .....je ne suis donc pas une yellis n wedrar comme le chante tous les chanteurs!!

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