Les organisateurs de la journée mondiale des oiseaux migrateurs choisirent pour thème : « Oiseaux migrateurs, ambassadeurs de la biodiversité ». Des écologistes et amateurs d’ornithologie de plus d’une centaine de pays s’inscrirent à cette rencontre. On en vint à la constatation que la population d’un grand nombre d’espèces d’oiseaux migrateurs décroît.
On estime que 41% des oiseaux migrateurs empruntant le couloir Afrique-Eurasie décline. On soupçonne que d’autres espèces d’oiseaux chanteurs voyageant sur cette route voient également leur nombre diminuer. Les échassiers migrants se présentent en moins grand nombre lors de leurs déplacements sur l’itinéraire Asie-Pacifique. Les parulines du Canada, qui voyagent entre le nord de ce pays et l’Amérique du sud ne retrouvent plus sur leur passage de sites de nidification ce qui les incite à bifurquer vers des terres plus accueillantes.
Les oiseaux migrateurs qui survolent de grandes distances dépendent essentiellement d’endroits de nidification et d’hibernation ainsi que des sites de repos. La longue durée du trajet qu’ils effectuent occasionne de nombreux arrêts en cours de route. À la perte d’habitats naturels s’ajoutent les effets du changement climatique. La hausse des températures assèche les terres devenues plus arides et favorise la formation de tempêtes plus fréquentes. L’augmentation du niveau de la mer entraîne le recouvrement de certaines terres humides où aiment se réfugier les oiseaux de passage.
Face à la perspective du départ des oiseaux migrateurs des régions habituellement parcourues, il convient d’adopter des mesures de protection des milieux naturels se trouvant sur le parcours de ces grands voyageurs afin de ne pas devoir se priver de la vue de ces formations d’oiseaux traversant nos contrées.
Source: UNEP
On estime que 41% des oiseaux migrateurs empruntant le couloir Afrique-Eurasie décline. On soupçonne que d’autres espèces d’oiseaux chanteurs voyageant sur cette route voient également leur nombre diminuer. Les échassiers migrants se présentent en moins grand nombre lors de leurs déplacements sur l’itinéraire Asie-Pacifique. Les parulines du Canada, qui voyagent entre le nord de ce pays et l’Amérique du sud ne retrouvent plus sur leur passage de sites de nidification ce qui les incite à bifurquer vers des terres plus accueillantes.
Les oiseaux migrateurs qui survolent de grandes distances dépendent essentiellement d’endroits de nidification et d’hibernation ainsi que des sites de repos. La longue durée du trajet qu’ils effectuent occasionne de nombreux arrêts en cours de route. À la perte d’habitats naturels s’ajoutent les effets du changement climatique. La hausse des températures assèche les terres devenues plus arides et favorise la formation de tempêtes plus fréquentes. L’augmentation du niveau de la mer entraîne le recouvrement de certaines terres humides où aiment se réfugier les oiseaux de passage.
Face à la perspective du départ des oiseaux migrateurs des régions habituellement parcourues, il convient d’adopter des mesures de protection des milieux naturels se trouvant sur le parcours de ces grands voyageurs afin de ne pas devoir se priver de la vue de ces formations d’oiseaux traversant nos contrées.
Source: UNEP
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