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Le Zimbabwe introduit un billet de 250 millions de dollars zimbabwéens

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  • Le Zimbabwe introduit un billet de 250 millions de dollars zimbabwéens

    Depuis la réforme agraire lancée dans la précipitation et la violence en 2000, ils n'arrêtent pas de rajouter des zéros à leurs billets de banque.
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    "Le gouverneur de la banque centrale du Zimbabwe Gideon Gono a dévoilé deux nouveaux billets de 100 millions et 250 millions de dollars qui seront mis en circulation à partir de demain (mardi)", a annoncé la télévision. L'inflation ne cesse de battre des records au Zimbabwe, où les dernières statistiques officielles faisaient état d'un taux de 165.000% en février. Harare a décidé récemment de laisser flotter le taux de change de sa monnaie pour tenter de lutter contre la spéculation sur le marché noir. Le taux de change officiel pour le dollar zimbabwéen est de 30.000 contre une dollar américain depuis septembre 2007 mais au marché noir, le dollar américain s'échange contre quelque 100 millions de dollars du Zimbabwe.Le reste de l'économie ne se porte pas mieux avec un taux de chômage de l'ordre de 70% et au moins 80% de la population vivant sous le seuil de pauvreté.

    source La dépêche.
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

  • #2
    mais comment peut encore faire des affaires et toucher des salaire avec une inflation pareille


    et comment MOGABI n'a pas été balaillé par la fronde populaire sans parler des éléctions
    .
    .
    ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
    Napoléon III

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    • #3
      il n'y a que des millionnaires et des milliardaires au zimbabwé
      إِن تَنصُرُوا الله ينصُركُم الله، الوطن، الملك

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      • #4
        c'est toujours une consolation !!!
        .
        .
        ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
        Napoléon III

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        • #5
          Le Zimbabwe connaît une inflation sans précédent. Elle a dépassé la semaine dernière les 100 000 %, le taux le plus important du monde. Et aujourd’hui, elle a atteint les 150 000%.

          Un dollar US s’échange à 30 000 dollars locaux sur le marché officiel c grave

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          • #6
            Sur les terres désertées du Zimbabwe

            Envoyé par penthésilée
            Un dollar US s’échange à 30 000 dollars locaux sur le marché officiel c grave
            Mais à qui la faute ? Redistribuer les terres, c'est bien, mais le remède a été pire que le mal, il a virée les fermiers blancs, ensuite ils les a remplacé par des paysans avec des pioches, ensuite il les a chassé, "quarante-mille personnes, des travailleurs agricoles et leurs familles, ont été chassées de leurs terres par des attaques et des actes d'intimidation de partisans du président Robert Mugabe depuis les élections du 29 mars, a déclaré jeudi la responsable d'un syndicat agricole.", sans compter les conséquence d'une émigration massive en Afrique du Sud. En 1965, on a eu aussi notre réforme agraire, on sait ce qu'elle nous a coûté, sauf qu'on avait le pétrole en plus. Ce type là, on devrait le fusiller pour génocide alimentaire.
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            Agriculture sinistrée au Zimbabwe

            L’ultimatum du président zimbabwéen, Robert Mugabe, lancé aux fermiers blancs pour qu’ils abandonnent leurs terres s’achèvent ce jeudi. Une politique autoritaire de redistribution des terres dont les effets participent, avec la sécheresse, à l’effondrement d’une agriculture sinistrée. Le spectre de la famine menace un quart de la population.


            Fin de l’ultimatum lancé par le chef de l’Etat, Robert Mugabe. Les fermiers blancs zimbabwéens ont jusqu’à 22h00 (temps universel) ce jeudi pour plier bagage. La crise agricole, suscitée par la nouvelle politique de redistribution des terres, a participé à fragiliser un secteur déjà mal en point à cause de la sécheresse qui frappe toute l’Afrique australe. La famine est aux portes du pays.

            Alors que les Blancs ne représentent qu’à peine 1% de la population, quelques 4 400 propriétaires blancs possédaient, avant la crise, 32% des terres arables zimbabwéennes. Pour Robert Mugabe, cette répartition était inacceptable. Il prônait une redistribution des terres afin de réparer les dommages de la colonisation. En 1997, il promet de saisir 1 500 fermes qui seront rachetées par le gouvernement pour être morcelées et partagées entre plus d’un demi million de familles noires.

            Terres promises

            Mais les lourdeurs administratives de la Loi sur l’acquisition des terres ralentissent le processus. Lassé d’attendre et sous la pression de ses partisans qui commencent à chasser les fermiers blancs et à occuper leurs terres, Mugabe change son fusil d’épaule. Il passe outre la constitution et annonce, sans aucune compensation financière, la réquisition pure et simple des domaines agricoles. L’ultimatum est lancé.

            L’ancienne puissance coloniale, la Grande-Bretagne, qui avait jusque là financé une réforme qu’elle considérait comme nécessaire (à hauteur de 44 000 livres depuis 1980) refuse de cautionner les nouvelles dispositions du président zimbabwéen. La crise éclate et divise le Commonwealth. Les relations anglo-zimbabwéennes sont rompus. Au point que les Britanniques gèlent les avoirs du président africain et lui interdisent, ainsi qu’à ses proches, tout droit de séjour sur le sol anglais.

            Agriculture sinistrée

            Outre les remous internationaux, la politique du numéro un zimbabwéen, a provoqué des bouleversements dans le secteur agricole national. Les terres des fermiers blancs sont parmi les plus fertiles du pays. Le départ des exploitants ou leur attentisme face aux incertitudes de la situation, a entraîné une chute des diverses productions. Ainsi, les prévisions de production de la principale source de revenu agricole, le tabac, ont chuté de 30% cette année. De plus, la productivité des terres, qui bénéficiaient jusque là d’équipements d’exploitation moderne et d’un personnel qualifié, est aujourd’hui remis en question avec le découpage en petites unités agricoles.

            Parallèlement le Zimbabwe meurt de faim. La sécheresse qui accable les zones rurales a condamné une partie des récoltes. Les greniers sont vides et la famine menace, selon les Nations-Unies, près de la moitié de la population. Le pays qui consomme habituellement près de 2 millions de tonnes de blé, la nourriture de base des habitants, doit faire face à des prévisions pour le moins alarmantes avec 750 000 tonnes escomptées cette année. Les Nations-Unies se sont mobilisés pour parer à une catastrophe annoncée et vont lui accorder 285 des 600 millions de dollars débloqués pour contrer la famine en Afrique australe. La plus grosse part pour le pays le plus touché.

            source Africacom
            Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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            • #7
              oui pourquoi on le tue pas tout simplement, puisqu'il ne veut pas laisser la place à Morgan Tsvangirai, le gagnant.

              je suis cruelle, je sais

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              • #8
                voilà un pays ou l'émission 'QUI VEUT GAGNER DES MILLIONS' ne veut plus rien dire ..................
                " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                • #9
                  Il est fou Mugabé!

                  bientot il faudra une brouette de dollars zimbabwe pour acheter une baguette de pain, comme pour le mark allemand entre les 2 guerres!

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                  • #10
                    oui pourquoi on le tue pas tout simplement, puisqu'il ne veut pas laisser la place à Morgan Tsvangirai, le gagnant.
                    comme tout révolutionnaire il se prend pour un visionnaire éclairé, le peuple lui, est aveuglé par cette lumière divine qui n'arrete pas de souffler les bougies d'un régne infini.

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                    • #11
                      oui pourquoi on le tue pas tout simplement, puisqu'il ne veut pas laisser la place à Morgan Tsvangirai, le gagnant.

                      je suis cruelle, je sais

                      pas du tout penthé

                      moi je me pose cette question tout les jours pour tous les dirigeants arabes .
                      " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                      • #12
                        Depuis la réforme agraire lancée dans la précipitation et la violence en 2000, ils n'arrêtent pas de rajouter des zéros à leurs billets de banque.
                        et comment ils les rajouent avec un stylo ???

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