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A voir le rythme effréné avec lequel se font ces jours-ci les travaux d’élargissement et de bitumage de la RN30, notamment sur le tronçon reliant la daïra de M’ Chedallah à la bourgade d’ Ath Hamed en passant par la commune de Saharidj, on peut prédire sans risque de se tromper que cette infrastructure de base aura un impact économique et touristique bénéfique tant pour les populations du nord que du sud du Djurdjura.
En effet, apprend-on, la première tranche de ce sentier qui monte a été achevée durant l’exercice 2006-2007 et a permis une meilleure fluidité du trafic routier, explique un chauffeur taxiqui assure la desserte des villages et bourgades enfouis dans les tréfonds de la montagne. Et de poursuivre : « Avant, ledit tronçon routier était étroit et impraticable à la circulation à cause des affaissements et autres nids-de-poule qui causaient souvent des dangers réels pour les automobilistes. »
Il est attendu, à moyen terme, que la RN30 soit un véritable raccourci pour se rendre à Tizi Ouzou. Un espoir que caressent les populations enclavées du terroir, qui par le passé, se devaient de faire le tour du monde pour rallier la ville des genêts. La RN30, avec les paysages merveilleux que lui offre dame nature et outre l’activité commerciale qui s’y greffera, sera assurément la route préférable pour ces mordus de la nature.
Cette route participera, de l’avis des gens bien au fait de la chose touristique, d’une stratégie de développement des zones d’extension touristique (ZET) et permettra l’épanouissement et la fixation des populations agropastorales dans leur milieu naturel.
Il est à souligner que le projet de cette route traversant forêts et maquis a connu maints arrêts durant la décennie écoulée à cause des terroristes qui infestaient la région tonne un conducteur d’engin qui n’a pas tari d’éloges envers les forces de sécurité qui ont acculé la bête immonde dans ses derniers retranchements. La paix retrouvée, poursuit notre locuteur, a permis la relance des travaux sur cette route et surtout le retour des populations ayant fui le diktat des terroristes.
Ahcène Saoudi (El Watan)
En effet, apprend-on, la première tranche de ce sentier qui monte a été achevée durant l’exercice 2006-2007 et a permis une meilleure fluidité du trafic routier, explique un chauffeur taxiqui assure la desserte des villages et bourgades enfouis dans les tréfonds de la montagne. Et de poursuivre : « Avant, ledit tronçon routier était étroit et impraticable à la circulation à cause des affaissements et autres nids-de-poule qui causaient souvent des dangers réels pour les automobilistes. »
Il est attendu, à moyen terme, que la RN30 soit un véritable raccourci pour se rendre à Tizi Ouzou. Un espoir que caressent les populations enclavées du terroir, qui par le passé, se devaient de faire le tour du monde pour rallier la ville des genêts. La RN30, avec les paysages merveilleux que lui offre dame nature et outre l’activité commerciale qui s’y greffera, sera assurément la route préférable pour ces mordus de la nature.
Cette route participera, de l’avis des gens bien au fait de la chose touristique, d’une stratégie de développement des zones d’extension touristique (ZET) et permettra l’épanouissement et la fixation des populations agropastorales dans leur milieu naturel.
Il est à souligner que le projet de cette route traversant forêts et maquis a connu maints arrêts durant la décennie écoulée à cause des terroristes qui infestaient la région tonne un conducteur d’engin qui n’a pas tari d’éloges envers les forces de sécurité qui ont acculé la bête immonde dans ses derniers retranchements. La paix retrouvée, poursuit notre locuteur, a permis la relance des travaux sur cette route et surtout le retour des populations ayant fui le diktat des terroristes.
Ahcène Saoudi (El Watan)