L'Algérie et la France signeront un accord-cadre de coopération dans l'énergie nucléaire à l'occasion de la visite à Alger du Premier ministre français, François Fillon, les 20 et 21 juin, a annoncé le ministre algérien de l'Energie Chakib Khelil.
M. Khelil, qui s'exprimait samedi lors d'un point de presse animé avec Jean-Louis Borloo, ministre d'Etat de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement durable et de l'Aménagement du territoire, a précisé que cet accord "prévoit notamment, un transfert de technologie entre les deux parties en plus d'un apport technique et financier de la partie française".
M. Borloo a pour sa part refusé de donner les détails sur le prochain accord, en ajoutant que "le moment n'est pas encore venu pour dévoiler ces détails, qui seront connus pendant la visite du Premier ministre" francais.
Un accord de coopération en matière de nucléaire civil avait été paraphé à Alger début décembre lors de la visite du président français, Nicolas Sarkozy, qui a qualifié cet accord de "marque de confiance" de la France envers l'Algérie.
"L'accord de coopération dans le nucléaire civil que nos deux pays ont conclu est la marque de cette confiance que la France fait à l'Algérie", a déclaré M. Sarkozy. "Je le dis au nom de la France, le partage du nucléaire civil sera l'un des fondements du pacte de confiance que l'Occident doit passer avec le monde musulman", a-t-il poursuivi.
L'accord algéro-français ouvre à l'Algérie les portes de l'énergie nucléaire civile. Il couvre la recherche, la production d'électricité et la formation, ainsi que la prospection et l'exploitation de gisements d'uranium algériens.
"C'est la première fois que la France signe un tel accord avec un pays arabo-musulman", s'était-on réjoui côté français. "C'est toute une filière que l'on va installer", avait précisé à la presse un haut responsable de l'Elysée.
AFP
M. Khelil, qui s'exprimait samedi lors d'un point de presse animé avec Jean-Louis Borloo, ministre d'Etat de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement durable et de l'Aménagement du territoire, a précisé que cet accord "prévoit notamment, un transfert de technologie entre les deux parties en plus d'un apport technique et financier de la partie française".
M. Borloo a pour sa part refusé de donner les détails sur le prochain accord, en ajoutant que "le moment n'est pas encore venu pour dévoiler ces détails, qui seront connus pendant la visite du Premier ministre" francais.
Un accord de coopération en matière de nucléaire civil avait été paraphé à Alger début décembre lors de la visite du président français, Nicolas Sarkozy, qui a qualifié cet accord de "marque de confiance" de la France envers l'Algérie.
"L'accord de coopération dans le nucléaire civil que nos deux pays ont conclu est la marque de cette confiance que la France fait à l'Algérie", a déclaré M. Sarkozy. "Je le dis au nom de la France, le partage du nucléaire civil sera l'un des fondements du pacte de confiance que l'Occident doit passer avec le monde musulman", a-t-il poursuivi.
L'accord algéro-français ouvre à l'Algérie les portes de l'énergie nucléaire civile. Il couvre la recherche, la production d'électricité et la formation, ainsi que la prospection et l'exploitation de gisements d'uranium algériens.
"C'est la première fois que la France signe un tel accord avec un pays arabo-musulman", s'était-on réjoui côté français. "C'est toute une filière que l'on va installer", avait précisé à la presse un haut responsable de l'Elysée.
AFP
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