De nombreux immigrés algériens en France ont exprimé leur colère suite aux nombreuses difficultés qu’ils rencontrent au début de toutes les opérations d’inscription dans les grandes écoles françaises et les centres de formation parce que plusieurs administrations de ces établissements ne reconnaissent pas les diplômes universitaires et les attestations de baccalauréat délivrés en Algérie.
Les administrations françaises imposent à tous les Algériens désirant s’inscrire dans ces instituts de présenter une autre attestation délivrée par l’ambassade algérienne à Paris, qui prouve que l’attestation obtenue en Algérie n’est pas falsifiée et permet à son titulaire de poursuivre des études supérieures dans les universités algériennes.
Cependant, notre ambassade à Paris a refusé catégoriquement de délivrer la moindre attestation de ce genre, et l’ambassadeur Missoum Sebih a interdit à ses services de délivrer cette attestation. C’est pourquoi, la plupart des Algériens continent d’être marginalisés et ne peuvent bénéficier des diplômes qu’ils ont obtenus en Algérie. Ils sont à présent obligés de participer aux concours organisés par plusieurs centres français pour tous les candidats qui ne détiennent pas de diplômes.
Des sources diplomatiques ont révélé que l’ambassadeur algérien a pris cette décision au motif que la délivrance de ces attestations ne fait pas partie de ses prérogatives. Il délivrait ces attestations auparavant par pitié, mais il a dû y renoncer à cause des nombreuses falsifications.
Notre source a ajouté que l’ambassadeur considère que les autorités concernées, à leur tête les ministères de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur, doivent « trouver une solution à ce problème dont nos immigrés sont victimes ».
Par El Khabar
Les administrations françaises imposent à tous les Algériens désirant s’inscrire dans ces instituts de présenter une autre attestation délivrée par l’ambassade algérienne à Paris, qui prouve que l’attestation obtenue en Algérie n’est pas falsifiée et permet à son titulaire de poursuivre des études supérieures dans les universités algériennes.
Cependant, notre ambassade à Paris a refusé catégoriquement de délivrer la moindre attestation de ce genre, et l’ambassadeur Missoum Sebih a interdit à ses services de délivrer cette attestation. C’est pourquoi, la plupart des Algériens continent d’être marginalisés et ne peuvent bénéficier des diplômes qu’ils ont obtenus en Algérie. Ils sont à présent obligés de participer aux concours organisés par plusieurs centres français pour tous les candidats qui ne détiennent pas de diplômes.
Des sources diplomatiques ont révélé que l’ambassadeur algérien a pris cette décision au motif que la délivrance de ces attestations ne fait pas partie de ses prérogatives. Il délivrait ces attestations auparavant par pitié, mais il a dû y renoncer à cause des nombreuses falsifications.
Notre source a ajouté que l’ambassadeur considère que les autorités concernées, à leur tête les ministères de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur, doivent « trouver une solution à ce problème dont nos immigrés sont victimes ».
Par El Khabar
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