Tweet
Et oui, tous ces anciens pays Nasséro-Baassiste donneur de leçon ou Socialiste Arabe qui ont investi leurs milliards dans l'armement et la ferraille, n'arrive même plus à faire face à leurs besoin alimentaire, la ferraille ne crée pas de richesse et ne se mange pas.
------------------------------------------------------------------------
Les Emirats arabes unis, un riche pays pétrolier du Golfe, ont annoncé lundi un don de 0,5 million de tonnes de blé à la Syrie pour l'aider à faire face à la flambée des cours.
Décidé par le président émirati, cheikh Khalifa Ben Zayed Al-Nahyane, "en signe de solidarité" entre les deux pays, ce don sera assuré par l'achat sur le marché international de la quantité offerte, a indiqué l'agence officielle Wam.
Le président émirati avait déjà fait un don similaire au Yémen et un autre d'un million de tonnes de blé à l'Egypte.
L'annonce a été faite durant une visite du président syrien Bachar al-Assad aux Emirats où il a eu lundi à Abou Dhabi un deuxième entretien avec cheikh Khalifa sur "l'action arabe commune" et la coopération bilatérale.
Au deuxième jour de sa visite, le chef de l'Etat syrien a visité lundi Dubaï où il a évoqué avec le vice-président et Premier ministre émirati, cheikh Mohammad Ben Rached Al-Maktoum, "le processus de paix au Proche-Orient et la conjoncture arabe".
La Syrie a récemment engagé des négociations de paix indirectes avec Israël par l'intermédiaire de la Turquie.
Cheikh Mohammad, également souverain de Dubaï, membre de la fédération des Emirats, en plein boom économique, et le président syrien "se sont félicités de l'accord interlibanais (de Doha) et du lancement d'un processus de paix" au Liban, selon l'agence Wam.
Le Qatar a parrainé l'accord de Doha, signé le 21 mai, qui a mis fin à une grave crise politique de 18 mois au Liban, et qui a permis l'élection du nouveau président libanais, le général Michel Sleimane.
Le Premier ministre libanais Fouad Siniora menait des consultations avec les différents blocs parlementaires rivaux en vue de former un gouvernement d'union nationale, regroupant la majorité antisyrienne appuyée par l'Occident et les membres de l'opposition soutenue par Damas et Téhéran.
AFP
------------------------------------------------------------------------
Les Emirats arabes unis, un riche pays pétrolier du Golfe, ont annoncé lundi un don de 0,5 million de tonnes de blé à la Syrie pour l'aider à faire face à la flambée des cours.
Décidé par le président émirati, cheikh Khalifa Ben Zayed Al-Nahyane, "en signe de solidarité" entre les deux pays, ce don sera assuré par l'achat sur le marché international de la quantité offerte, a indiqué l'agence officielle Wam.
Le président émirati avait déjà fait un don similaire au Yémen et un autre d'un million de tonnes de blé à l'Egypte.
L'annonce a été faite durant une visite du président syrien Bachar al-Assad aux Emirats où il a eu lundi à Abou Dhabi un deuxième entretien avec cheikh Khalifa sur "l'action arabe commune" et la coopération bilatérale.
Au deuxième jour de sa visite, le chef de l'Etat syrien a visité lundi Dubaï où il a évoqué avec le vice-président et Premier ministre émirati, cheikh Mohammad Ben Rached Al-Maktoum, "le processus de paix au Proche-Orient et la conjoncture arabe".
La Syrie a récemment engagé des négociations de paix indirectes avec Israël par l'intermédiaire de la Turquie.
Cheikh Mohammad, également souverain de Dubaï, membre de la fédération des Emirats, en plein boom économique, et le président syrien "se sont félicités de l'accord interlibanais (de Doha) et du lancement d'un processus de paix" au Liban, selon l'agence Wam.
Le Qatar a parrainé l'accord de Doha, signé le 21 mai, qui a mis fin à une grave crise politique de 18 mois au Liban, et qui a permis l'élection du nouveau président libanais, le général Michel Sleimane.
Le Premier ministre libanais Fouad Siniora menait des consultations avec les différents blocs parlementaires rivaux en vue de former un gouvernement d'union nationale, regroupant la majorité antisyrienne appuyée par l'Occident et les membres de l'opposition soutenue par Damas et Téhéran.
AFP
Commentaire