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Le P-DG de Suez, Gérard Mestrallet, assure aussi que les salariés du gazier tricolore ne perdront pas au change.
Le futur groupe issu de la fusion entre Gaz de France et Suez comptera “beaucoup plus de salariés que la somme des effectifs actuels" d'ici 5 ans, confie le patron de Suez au mensuel Liaisons Sociales mercredi 4 juin. Gérard Mestrallet précise que le groupe "doit recruter 130.000 personnes avant fin 2013, dont la moitié en France". Le rapprochement ne détruira pas d'emplois, selon lui, même si "dans les fonctions centrales (services commerciaux, communication, administratifs, etc..) certains devront, certes, évoluer", mais "personne ne perdra son job".
Retenir les salariés
"Le défi social de GDF Suez, ce n'est pas de faire partir ses salariés, mais de les retenir", estime-t-il.
En février, Gérard Mestrallet avait déjà annoncé que Suez avait créé 1.000 emplois nets en France en 2007, et prévoyait d'embaucher 110.000 personnes d'ici 2012, dont 52.000 en France et 10.000 en Belgique. "La politique sociale de Suez n'a rien à envier à celle du secteur public, en matière de formation, de diversité ou d'évolution de carrière", précise-t-il.
A propos des salariés de GDF, "ils ne vont pas perdre au change, mais y gagner", assure le P-DG.
Rapprochement prévu en juillet
Interrogé sur la consultation des instances représentatives du personnels de GDF, qui a retardé de plusieurs mois la fusion, Gérard Mestrallet juge que "les interrogations sur la privatisation sont compréhensibles, mais il faut savoir en sortir". Il note ensuite que "le dialogue social n'y perdrait pas si le Code du travail prévoyait une limite de temps".
La fusion entre le groupe public et le groupe privé, annoncée il y a plus de deux ans, devrait finalement voir le jour en juillet, après l'avis du comité central d'entreprise (CCE) de GDF rendu le 26 mai. Même s'il est négatif, cet avis permet la poursuite du processus de fusion.
Le futur groupe issu de la fusion entre Gaz de France et Suez comptera “beaucoup plus de salariés que la somme des effectifs actuels" d'ici 5 ans, confie le patron de Suez au mensuel Liaisons Sociales mercredi 4 juin. Gérard Mestrallet précise que le groupe "doit recruter 130.000 personnes avant fin 2013, dont la moitié en France". Le rapprochement ne détruira pas d'emplois, selon lui, même si "dans les fonctions centrales (services commerciaux, communication, administratifs, etc..) certains devront, certes, évoluer", mais "personne ne perdra son job".
Retenir les salariés
"Le défi social de GDF Suez, ce n'est pas de faire partir ses salariés, mais de les retenir", estime-t-il.
En février, Gérard Mestrallet avait déjà annoncé que Suez avait créé 1.000 emplois nets en France en 2007, et prévoyait d'embaucher 110.000 personnes d'ici 2012, dont 52.000 en France et 10.000 en Belgique. "La politique sociale de Suez n'a rien à envier à celle du secteur public, en matière de formation, de diversité ou d'évolution de carrière", précise-t-il.
A propos des salariés de GDF, "ils ne vont pas perdre au change, mais y gagner", assure le P-DG.
Rapprochement prévu en juillet
Interrogé sur la consultation des instances représentatives du personnels de GDF, qui a retardé de plusieurs mois la fusion, Gérard Mestrallet juge que "les interrogations sur la privatisation sont compréhensibles, mais il faut savoir en sortir". Il note ensuite que "le dialogue social n'y perdrait pas si le Code du travail prévoyait une limite de temps".
La fusion entre le groupe public et le groupe privé, annoncée il y a plus de deux ans, devrait finalement voir le jour en juillet, après l'avis du comité central d'entreprise (CCE) de GDF rendu le 26 mai. Même s'il est négatif, cet avis permet la poursuite du processus de fusion.