La wilaya de Tamanrasset a bénéficié, pour la période 1999-2009, de 2.000 projets, a indiqué mardi le ministre de la Communication, Abderrachid Boukerzaza. «La wilaya de Tamanrasset a bénéficié, pour la période de 1999-2009, de 2.000 projets, dont 36 % ont été destinés aux infrastructures de base, 19,56% à l'éducation et la formation, 2,45 % à l'agriculture et l'environnement, alors que le taux de réalisation des programmes de logements a atteint 70%», a précisé Boukerzaza lors du point de presse hebdomadaire, à l'issue du Conseil du gouvernement.
Après avoir indiqué que le Conseil du gouvernement a entendu une communication du wali de Tamanrasset sur la situation socio-économique de cette wilaya et ses perspectives de développement, il a relevé que le taux de chômage dans cette wilaya a baissé de 33% en 2000 à 15,84 % en 2007.
Il a souligné dans le même cadre que les sociétés devant être créées notamment dans le secteur de l'énergie ouvriront de nouvelles possibilités aux demandeurs d'emplois, rappelant en outre la création prochaine d'un institut national de l'énergie. Evoquant le volet de l'éducation, le ministre a indiqué que le taux de scolarisation est de 87%, soit un taux «très élevé au regard de l'étendue de la wilaya et compte-tenu du fait qu'une partie de la population est nomade».
Concernant la couverture énergétique, Boukerzaza a fait savoir que ce taux se situe à 88 %, en attendant d'arriver à 98 % d'ici la fin de l'année en cours. En matière de santé, le taux de vaccination a atteint 100 %, contre 90% en 2005, a-t-il dit, ajoutant qu'il existe un médecin spécialiste pour chaque 2.100 habitants.
Plus de 12.000 immigrés
Le ministre a toutefois reconnu qu'il y a un manque de médecins généralistes dans cette ville, précisant que des mesures seront prises pour Inciter les médecins à aller travailler dans le sud du Pays. Dans le domaine de l'hydraulique, le ministre a rappelé qu'une enveloppe de 177 milliards de dinars a été consacrée à l'alimentation en eau potable (projet de transfert d'eau de In Salah à Tamanrasset).
Par ailleurs, concernant les immigrés en provenance des pays africains voisins, Boukerzaza a indiqué que leur nombre est passé de 5.200 en 2002 à 12.291 en 2007, soulignant que les mesures prises par le gouvernement stipulent qu'ils doivent être traités avec respect et dignité.
Le Financier
Après avoir indiqué que le Conseil du gouvernement a entendu une communication du wali de Tamanrasset sur la situation socio-économique de cette wilaya et ses perspectives de développement, il a relevé que le taux de chômage dans cette wilaya a baissé de 33% en 2000 à 15,84 % en 2007.
Il a souligné dans le même cadre que les sociétés devant être créées notamment dans le secteur de l'énergie ouvriront de nouvelles possibilités aux demandeurs d'emplois, rappelant en outre la création prochaine d'un institut national de l'énergie. Evoquant le volet de l'éducation, le ministre a indiqué que le taux de scolarisation est de 87%, soit un taux «très élevé au regard de l'étendue de la wilaya et compte-tenu du fait qu'une partie de la population est nomade».
Concernant la couverture énergétique, Boukerzaza a fait savoir que ce taux se situe à 88 %, en attendant d'arriver à 98 % d'ici la fin de l'année en cours. En matière de santé, le taux de vaccination a atteint 100 %, contre 90% en 2005, a-t-il dit, ajoutant qu'il existe un médecin spécialiste pour chaque 2.100 habitants.
Plus de 12.000 immigrés
Le ministre a toutefois reconnu qu'il y a un manque de médecins généralistes dans cette ville, précisant que des mesures seront prises pour Inciter les médecins à aller travailler dans le sud du Pays. Dans le domaine de l'hydraulique, le ministre a rappelé qu'une enveloppe de 177 milliards de dinars a été consacrée à l'alimentation en eau potable (projet de transfert d'eau de In Salah à Tamanrasset).
Par ailleurs, concernant les immigrés en provenance des pays africains voisins, Boukerzaza a indiqué que leur nombre est passé de 5.200 en 2002 à 12.291 en 2007, soulignant que les mesures prises par le gouvernement stipulent qu'ils doivent être traités avec respect et dignité.
Le Financier
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