La cérémonie à la mémoire d'Henri Maillot et de Maurice Laban empêchée

[chicha51]

Nos gouvernants sont-ils devenus fous ? Ils ont l’art de faire dans la provocation et se mettre à dos l’opinion publique nationale et internationale en prenant des décisions gratuites et intempestives. Qu’on en juge. Les moudjahidine algériens des trois confessions chrétienne, juive et musulmane ont décidé aujourd’hui de se recueillir sur les tombes de deux martyrs de la guerre de libération, Henri Maillot et Maurice Laban, morts au champ d’honneur le 5 juin 1956. Or quelle ne fut la surprise des organisateurs de la cérémonie lorsqu’ils ont été informés par les autorités qui leur ont dit qu’il faut au préalable une autorisation pour aller au cimetière ! Du jamais vu en Algérie ! Des combattants de la guerre d’indépendance, tous du troisième et du quatrième âges, risquent de se retrouver aujourd’hui face à face avec des policiers antiémeute et pourquoi pas tabassés. Imaginons le professeur Chaulet, figure emblématique de la résistance algérienne, matraqué par les flics. La décision du pouvoir est surprenante à plus d’un titre. Est-elle la suite logique de la politique inquisitoriale menée contre les évangélistes et les chrétiens en général ? D’ailleurs, les tribunaux de l’inquisition continuent à fonctionner à Tiaret. En cherchant à empêcher le recueillement, les autorités, semble-t-il, poursuivent leur chasse aux sorcières parce que les deux chouhada Maillot et Laban étaient d’origine chrétienne. Par cette opération, on veut sans doute faire plaisir aux forces intégristes qui ont fait un retour remarqué et encouragé depuis environ une dizaine d’années. Le locataire d’El Mouradia en personne a travaillé dans ce sens. Dans cette tragi-comédie, l’Organisation nationale des moudjahidine, dont l’une des missions essentielles est la défense de la mémoire et de nos chouhada, ême si elle s’est installée dans le confort et qu’elle cherche surtout à faire plaisir au puissant du moment, cela ne l’empêche pas de se démarquer de temps en temps et de faire preuve d’un peu de courage. Nous ne sommes malheureusement pas là. Entre temps, l’image de marque de l’Algérie se détériore irrémédiablement sur la scène internationale. Malheureusement, les maîtres du moment donnent l’impression que c’est le dernier de leurs soucis. Leurs préoccupations sont ailleurs. Ils scrutent surtout le prix du baril de pétrole et se délectent devant chaque augmentation.
Par Tayeb Belghiche (Al watan)

[zaki123]

il n ' ya plus de conviction. chicha51 peut etre tu as vu au moins une fois dans ta vie comme nous d'ailleur un filam sur la mafia. le point cardianal dans le film et sur lequel se base la famille c'est la réputation. par réputation il faut entendre el kelma la parole, el ahde les promesses etc... c'est capital si on soupsonne que tu as triché tu es foutu.
l'homme politique etait inconciant et jusqu'a maintenant il est inconciant. il parle en plublique sans aucune reparation. pour lui c'est du passe temps ou tout simplement il croit qu'on l'oblige de dire quelques choses alors il dit n'importe quoi.
le probleme dans ce cas ils est double au niveau
des gouvernements étranger :
ils connaissent cela et ce n'est pas uniquement le cas de l'algerie l'egypte el 3arika est dans ce meme cas que nous, , mais toutes les republiques syrienne, mauritanienne, lybienne, palestinienne, irakienne, et tout dernierement et c'est vraiement etonnant ""iranienne"".
ce que ignore par contre ces hommes politiuqes c'est lorsque leurs dicours arrivent chez la population europeen et americaines. Là chicha51 je suis entierement d'accord avec toi. ils hatissent le feu contre nous pour rien. ils ne savent pas encore qu'en democratie un homme politique est tributaire de la voie de la masse europeene ou americaine. leur individu contraiement au notre ils peut exercer des pressions sur des élus car c'est lui qui détient le buletin de vote.
il faut absorber la pillule pour dire que nous sommes dans une ignorance la plus terrible. on vit dans un monde fait par un illusioniste. ce dernier est tres fort, quel genre de savoir faire il a ? mais je suis comme Hillary qui ne croit pas au chiffre mais au destin.
une chanteuse algerienne furieuse parceque on lui avait refusé l'acces a la TV avait dit
"" ki ya3tik El 3ati, ejbal ettati ""
c'est a dire pour elle, c'est Dieu qui lui avait interdit l'acces à la telé. Une chanteuse croyante? l'algerien et l'algerienne ne finit pas d'étonner
lorsque Dieu te donne les montagnes se courbent

[Pangeen]

chicha51,

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Or quelle ne fut la surprise des organisateurs de la cérémonie lorsqu’ils ont été informés par les autorités qui leur ont dit qu’il faut au préalable une autorisation pour aller au cimetière ! Du jamais vu en Algérie ! Des combattants de la guerre d’indépendance, tous du troisième et du quatrième âges, risquent de se retrouver aujourd’hui face à face avec des policiers antiémeute et pourquoi pas tabassés. Imaginons le professeur Chaulet, figure emblématique de la résistance algérienne, matraqué par les flics. La décision du pouvoir est surprenante à plus d’un titre.
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Le pouvoir, le vrai, c'est nous. Ce ne sont ni ces arabo-bâathistes, ni ces traitres de despotes qui ont troqué le pays contre le pouvoir.

Je suis de tout coeur avec ces vrais moudjahidines qui n'ont jamais oublié le sermant donné et le devoir de mémoire.

Gloire à nos martyrs

Vive la patrie.

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[oued rhiou]

Je suis pret à tout tant qu'on parlera de moi.........

Telle est leur devise on devrait ne pas prendre compte de leur inepties et avancer.
Tout ca c'est de la parlotte ca ne fait pas avancer les choses fondamentales.

Bref, ils savent qu'on sait qu'ils savent que nous savons mais ils continuent....Hagra de vrai

[trokadero]

Rien n'est plus surprenant, quand les bouffons deviennent les conseillers des Rois! la cour devient une bergerie.

[révo-réso]

c'est incroyable quand méme ;je n'y comprend rien moi.

[Pangeen]

trokadero,

Rien n'est plus surprenant, quand les bouffons deviennent les conseillers des Rois! la cour devient une bergerie.

Il n y a ni cour ni roi. Nous sommes dans le pays des hommes libres.

A mon avis, tu te trompes de lieu et d'époque.

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