Larbi Adoul, un jeune âgé de moins de 21ans, habite le douar calme d’Ouled Hamou, commune Khair-Eddine, wilaya de Mostaganem. Il a quitté les bancs de l’école dès la première année secondaire. Il a travaillé chez un particulier au centre de la commune de Khair-Eddine.
Il a rêvé d’atteindre l’autre rive de la méditerranée et embarqué de Mostaganem, été 2007, dans la partie Est de ce littorale qui est devenue un point de transit et d’embarquement des jeunes Haragas qui cherchent le Paradis, pour le prix de 8 millions de centimes.
Cette nuit, la mer était calme et le voyage a duré 9 heures. L’organisateur du voyage a conseillé aux jeunes Haragas de prendre des bières et du vin pour affronter leur peur et les vagues de la mer.
Une fois arrivé et par crainte que la police Espagnole ne le rattrape, le jeune Larbi s’est refugié dans la plus proche forêt et c’est là qu’il a trouvé un autre monde de Haragas, y compris des filles prisonnières dans cette forêt. Parmi ces personnes, il y a celles qui osent entrer en ville dans une heure tardive de la nuit, pour chercher dans les poubelles de quoi se nourrir ou pour voler, sans hésitation, la première chose qui leur tombe sous les yeux.
La police Espagnole l’a arrêté dans une cabine téléphonique alors qu’il tentait d’appeler son cousin en France pour venir à sa rescousse. Il a été conduit au poste de police et y est resté trois jours, avant que le Consul d’Algérie ne lui remette un document de transit qui prouve son identité, et l’a renvoyé par avion à Oran.
Ce Haraga a révélé que plus de 200 dépouilles de Haragas algériens sont entassées dans une morgue à Almeria. Elles n’ont pas été identifiées faute de papiers.
El Khabar
Il a rêvé d’atteindre l’autre rive de la méditerranée et embarqué de Mostaganem, été 2007, dans la partie Est de ce littorale qui est devenue un point de transit et d’embarquement des jeunes Haragas qui cherchent le Paradis, pour le prix de 8 millions de centimes.
Cette nuit, la mer était calme et le voyage a duré 9 heures. L’organisateur du voyage a conseillé aux jeunes Haragas de prendre des bières et du vin pour affronter leur peur et les vagues de la mer.
Une fois arrivé et par crainte que la police Espagnole ne le rattrape, le jeune Larbi s’est refugié dans la plus proche forêt et c’est là qu’il a trouvé un autre monde de Haragas, y compris des filles prisonnières dans cette forêt. Parmi ces personnes, il y a celles qui osent entrer en ville dans une heure tardive de la nuit, pour chercher dans les poubelles de quoi se nourrir ou pour voler, sans hésitation, la première chose qui leur tombe sous les yeux.
La police Espagnole l’a arrêté dans une cabine téléphonique alors qu’il tentait d’appeler son cousin en France pour venir à sa rescousse. Il a été conduit au poste de police et y est resté trois jours, avant que le Consul d’Algérie ne lui remette un document de transit qui prouve son identité, et l’a renvoyé par avion à Oran.
Ce Haraga a révélé que plus de 200 dépouilles de Haragas algériens sont entassées dans une morgue à Almeria. Elles n’ont pas été identifiées faute de papiers.
El Khabar
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