Lorsque tu me berçe je reçois ce quelque chose d'insencé
cette lumière que je ne saurais retrouvé si tu n'existais pas
Lorsque tu me tiens s'illumine mon soleil d'un rivage inconnu
ou les oiseaux et les fleurs ce racontes mes fou-rire oubliés
Lorsque je renais je découvre ces trésors d'ôu jadis cachés
toutes ses perles de rose tout ce nâcre cultivé gage d'Amour ignoré
Lorsque tu vie se dissipe peu a peu toutes les chaines de ma vie
ces fausses promesse et faux serments que je porte a mes chevilles
Comme un printemps et ses bourgeons comme le soleil et ses rayons
ton regard éblouis ce que mon coeur cherche en sa nuit
Tout comme la vague qui se berçe et doucement me ramène
ce que la mer a préserver en toute candeur, sa majesté
Je reste l'à comme l'aurore embrassant la nature qui dort
et qui réveille dans son soupir ses vent au parfum de vanille
...
fado
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