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Un marocain sollicite l'aide de l'ambassadeur de la RASD à Alger

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  • Un marocain sollicite l'aide de l'ambassadeur de la RASD à Alger

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    Liberté du lundi 09 juin 2008


    Humilié et abandonné par le Makhzen
    Un Marocain sollicite l’aide de l’ambassadeur de la RASD à Alger

    Un citoyen marocain, du nom d’Azdine Berrada, demande à l’ambassadeur de la République sahraouie (RASD) à Alger, M. Brahim Ghali, de lui venir en aide. Dans une lettre datée du 1er juin dernier et envoyée par fax, M. Berrada révèle à “Son Excellence l’ambassadeur de la RASD” toutes les “procédures humiliantes et dégradantes” qu’il a subies de la part de l’État marocain : confiscation de sa villa, divorce d’avec sa femme, séparation avec ses 4 filles et fermeture de ses 2 entreprises, “dans le cadre de la campagne d’assainissement de feu Hassan II, qui s’est avérée injustifiée”. Malgré la reconnaissance, par la Cour suprême, de “l’abus de pouvoir exercé par les tribunaux (marocains)”, l’ancien homme d’affaires, résidant à la rue Arif-Ali-Ben-Lahcen, à Casablanca, est privé du droit de cassation. Il a alors fait appel au Haut-Commissariat des Nations unies pour les droits de l’Homme pour “violation”, par l’État marocain, de “la Convention contre la torture de droit et autres peines ou traitements cruels, inhumains et dégradants” ratifiée pourtant en juin 1993.

    Dans ce cadre, Azdine Berrada demande au diplomate sahraoui de lui “désigner un avocat” pour l’aider dans sa démarche auprès du Haut-Commissaire de l’ONU. Affaire à suivre…

  • #2
    S'agit il de ce voleur !?

    Mohamed Azzedine BERRADA

    Détournements de fonds au Groupement professionnel des banques du Maroc
    Le banquier à la main leste

    L'ancien délégué général du GPBM, Mohamed Azzedine Berrada est impliqué dans un
    grand scandale financier. Fraude à grande échelle, gestion désastreuse
    et privilèges exorbitants. Le système bancaire marocain vacille.

    ABDELLAH CHANKOU

    Ses yeux trahissent la fatigue et le désarroi. Dans sa maison, située sur la route d'El Jadida, à Casablanca, Mohamed Azzedine Berrada a du mal à dormir, depuis qu'un scandale financier lui a explosé à la figure. Alors qu'il broyait du noir chez lui, M. Azzedine Berrada reçoit, le vendredi 20 juin, une lettre recommandée. Accablant. Signé par le président du GPBM Othman Benjelloun et le vice -président délégué Abdelaziz Alami, le courrier lui signifie son licenciement "en vertu de l'article 6 du statut Type du 23 octobre 1948". Le moins que l'on puisse dire est que le délégué général du GPBM se trouve dans de mauvais draps. Une audit interne commandée par le président du groupement et le pot aux roses est découvert. Des anomalies comptables et financières. Le GPBM se réserve le droit de recourir à toutes les voies de justice.

    Malaise
    Constatant, sur la base "d'indices non trompeurs", que la gestion du groupement laisse à désirer, le conseil d'administration a décidé, lors de sa session du 7 mars dernier, de désigner un comité composé de trois présidents de Banque, Banque commerciale du Maroc, Société générale et Crédit du Maroc. Mission: nommer une commission d'inspection pour "dégager les conditions dans lesquelles les finances du Groupement étaient gérées".
    Cette décision est prise en présence de l'intéressé. Ce jour-là, M. Azzedine Berrada a du mal à cacher son malaise. Il savait qu'il était dans la ligne de mire et que ses jours sont désormais comptés dans le GPBM qu'il a intégré le 15 mai 1986, grâce à l'ancien président Abdellatif Jouahri.
    L'avènement du patron de la BMCE, Othman Benjelloun en juin 1995, était ressenti comme une véritable alternance. En ce sens que ce dernier, connu pour son sens du pragmatisme et son savoir-faire gestionnaire, allait faire le ménage dans la maison et remettre les pendules à l'heure. Ce fut chose faite.
    Azzedine Berrada est coincé. Ancien cadre dans la direction des crédits à la BCM, la cinquantaine élégante, il n'avait le choix que de collaborer avec la commission d'enquête, qui a rendu ses conclusions au bout de trois mois de travail.

    Accablant
    Le rapport est accablant. Il a révélé ce que soupçonnait les dirigeants du GPBM. Une gestion désastreuse caractérisée par l'absence de" conditions de fiabilité réelle, de loyauté et de conscience professionnelle". M. Azzedine Berrada, se croyant intouchable, s'est octroyé des primes et des augmentations sans autorisation du conseil d'administration, ni du président du groupement. L'accusé se servait sur la base de simples circulaires internes rédigées et signées par lui-même. Avantages en nature pharamineux. Frais de représentation exorbitants. Voyages somptueux à l'étranger. Sans motif, ni pièces justificatives. l'argent coulait à flot. Rien ne freinait la boulimie de Azzedine Berrada. Il s'est attribué des prêts déguisés en avances sur salaire dont le montant a atteint 475.000 DH. Il a fixé son salaire à 220 000 Dh avantages compris et s'est accaparé deux téléphones GSM et trois voitures du Groupement, une BMW et deux peugeots 405 avec emploi de deux chauffeurs personnels.

    Népotisme
    M. Azzedine Berrada ne reculait devant rien, menant un train de vie extravagant aux frais de la princesse. Il sait aussi faire dans le népotisme. Recrutant à tour de bras une soixantaine de personnes "sans commune mesure ni avec l'activité du GPBM, ni avec ses besoins, ni avec ses objectifs".
    M. Azzedine Berrada se comportait en terrain conquis. Fait et défait. Commande et agit. À sa guise. Abus de confiance. Les copains d'abord. Les membres de la famille aussi. Il les a placés dans les coopératives d'alimentation sans autorisation du Conseil d'administration. Les protégés de l'ancien délégué sont d'ailleurs, selon l'enquête, dans le collimateur, vu la gestion "catastrophique" de certaines coopératives, notamment celle de Casablanca. Et pourtant, M. Azzedine Berrada a été informé de cette situation en décembre 1996 par les contrôleurs de gestion. Mais l'intéressé n'en avait cure. Plus sûr de lui, plus déterminé que jamais.
    Le mis en cause sait aussi être généreux. C'est l'aubaine, les amis se régalent! Augmentations de salaire, prêts gratuits, primes, privilèges et avantages divers...
    Chargé par le Conseil d'administration d'aménager le nouveau siège du GPBM dans le complexe immobilier "Porte d'Anfa"-une réalisation immobilière à grand budget pour le moins mégalomane-, Azzedine Berrada n'a pas boudé son plaisir. Dépenses somptuaires, transformations multiples et lubies de grand chef.

    Privilèges
    "Ne jugeant pas nécessaire de tenir le Conseil ou (le président ) du suivi de façon régulière", M. Berrada a mis tout le monde devant le fait accompli. Folie des grandeurs, il s'est taillé dans ce complexe un bureau luxueux dans le plus grand espace possible avec un prix excessif. Coût de cet investissement: la bagatelle de 50 millions de DH.
    Le Conseil d'administration du GPBM a constaté pour l'instant, sous réserve de complément d'enquête et de l'audit en cours, des fautes graves dans la gestion de M. Azzedine Berrada. Des fautes qui tombent sous le coup de la loi pénale. La dernière édition du journal anglophone Success de Hassan Alaoui fait état de l'inquiétude de l'Union européenne quant aux fonds accordés au Maroc -et gérés par le GPBM-pour le développement du nord. Par ailleurs, les banques étrangères installées au Maroc comme la City bank (États-unis), la BEX (Espagne) et ABN AMRO (Hollande) ont manifesté, elles aussi, leur inquiétude. Et pour cause, ces banques participent financièrement au sponsoring de nombreuses opérations sociales organisées par le groupement. C'est tout le système bancaire marocain qui est mis à mal par ce scandale.
    Le groupement a mis pour l'instant le fraudeur en demeure de restituer les biens qu'il s'est accaparés d'une manière indue. Et dire que l'ancien délégué général est l'auteur d'un livre sur les opérations bancaires. Désormais, il ne lui reste qu'à se retirer pour écrire un vade-mecum sur comment devenir riche aux dépends des autres. Mais si Azzedine Berrada est invité à passer quelques années en prison, il aura alors la latitude d'écrire toute une encyclopédie sur le même sujet. Passionnant.

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    • #3
      pfff des topics aussi ridicules les uns que les autres !
      je ne sais pas quoi repondre tellement le niveau de l'article de ce topic est bas , très bas meme :22: !

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      • #4
        je ne sais pas quoi repondre tellement le niveau de l'article de ce topic est bas , très bas meme
        Ceux des mkhaznis du forum ne te dérangeaient pas?

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        • #5
          voila maintenant quand il s'agit d'un cas isolé d'un desespéré qui ne sait pas quoi faire,vous médiatisez cette demande d'aide,alors quand il s'agit de 35000 de marocains expulsés de l'algérie et qui ne sollicite pas d'aide d'un mercenaire qui commercialise les aides,mais leurs biens volés par l'état algérien...vous repondez avec mépris allah issahal...allez continuez votre compagne de desinformation les fidéles de l'ere sovietique mais sachez que personne ne vous croient.

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          • #6
            Allane, je crois que ton compatriote t'a donné une excellente explication.

            En tout cas merci pour ce post, tu nous prouves que notre justice n'est pas si catastrophique même si elle a des carences.

            Réfléchis a 2 fois avant de poster un sujet
            Everyone thinks of changing the world, but no one thinks of changing himself

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            • #7
              Dans pas longtemps Khalifa va ecrire a l'ambassadeur du Maroc a Alger pour lui venir en aide contre la junte militaire a Alger. Tres risible.

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              • #8
                alors quand il s'agit de 35000 de marocains expulsés de l'algérie et qui ne sollicite pas d'aide d'un mercenaire qui commercialise les aides,mais leurs biens volés par l'état algérien...vous repondez avec mépris allah issahal...
                De toute facon le maroc à fait pareil...et vous méprisez aussi l'algerie,dailleur vous êtes les premiers à le fair.

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                • #9
                  non on ne meprise l'algerie, on meprise la junte en place qui meprise et insulte l'avenir an adoptant des actions de voyous. Nuances. Perso, je n'ai rien contre l'algerie et encore moins contre les algeriens.

                  Commentaire


                  • #10
                    non on ne meprise l'algerie, on meprise la junte en place qui meprise et insulte l'avenir an adoptant des actions de voyous. Nuances. Perso, je n'ai rien contre l'algerie et encore moins contre les algeriens.
                    @Ayoub,

                    Souvent, il y a du sense dans ce que tu dis, quelque chose avec quoi je suis d'accord mais tu en fais un job et tu oublis de balayer devant ta porte; Le Makhzen est pour toi ce qu'il y a de plus merveilleux...
                    Ne te sens tu pas ridicule parfois ?

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                    • #11
                      ayoub
                      non on ne meprise l'algerie, on meprise la junte en place qui meprise et insulte l'avenir an adoptant des actions de voyous
                      Tu ferais mieux de t'occuper de ton Makhzen nauséabond qui ne sait que faire des courbettes aux sionistes pour des dividences qui ne viendraient jamais.

                      Commentaire


                      • #12
                        Tu ferais mieux de t'occuper de ton Makhzen nauséabond qui ne sait que faire des courbettes aux sionistes pour des dividences qui ne viendraient jamais.
                        je m'occuperais de mon makhzen ou de mes baskets quand le Maroc ne sera plus le centre de la politique d'hostilite du gouvernement algerien. Tant que ce dit-gouvernement adopte une politique d'ingerence en ce qui concerne le Maroc, j'y repondrais en tant que marocain, very simple... Et aussi quand tu ne mettras plus le chef d'un mouvement separatiste marocain dans ton avatar D'ici la....

                        Sionistes blabla, le disque est raye, il faut trouver autre chose, quand le chef de l'etat va se soigner au val de grace ou choisit comme architecte de la mosquee d'alger un juif, je veux bien qu'on traite le Maroc de sioniste parce qu'il a decide de ne pas chasser sa communaute de juifs comme l'Algerie, mais il faut que ce soit justifie. Je te le repete : Le Maroc et les marocains sont fiers de leur diversite y compris celle des marocains juifs (dans cet ordre). Ils ne risquent pas de se faire inculper pour "delit" de judaisme, ou de... chretiennete par exemple...

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                        • #13
                          un vagabond qui demande l'aide des truands
                          A todo cerdo le llega su San Martín.

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                          • #14
                            Tu ferais mieux de t'occuper de ton Makhzen nauséabond qui ne sait que faire des courbettes aux sionistes pour des dividences qui ne viendraient jamais.
                            revenons en au sujet au lieu d'essayer de t'accrocher à une branche, c'est un peu facile de dévier la conversation.

                            C'est d'ailleurs toi même qui a posté le sujet, à moins que tu reconnaisses que tu as dégainé un peu trop vite

                            Tu as posté le premier article anti marocain sous le nez avec RASD dedans sans même prendre la peine de faire un minimum de vérifications.

                            Car tu aurais tapé le nom de ce monsieur sur google et tu aurais compris en 5 secondes qu'il est ultra corrompu et que donc il est bien plus coupable que victime. J'espère même qu'il y aura d'autres affaires comme ça, ils peuvent tous aller demander la protection de la RASD ou autres, tant mieux, ce sont des pourritures comme lui qui font que le Maghreb est dans cet état.
                            Everyone thinks of changing the world, but no one thinks of changing himself

                            Commentaire


                            • #15
                              "Isstanjada ghari9oun bi ghari9"

                              Ou bien: "koun kan elkhoukh idaoui koun dawa rassou"

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