Par ali idir le 10/06/2008 à 18:34
Les chefs d'entreprises français présents à la Foire internationale d'Alger sont en colère contre les organisateurs. La raison ? L'inauguration tardive de cette manifestation économique par le président Abdelaziz Bouteflika.
La foire d'Alger qui devait ouvrir ses portes samedi a été inaugurée lundi par le chef de l'Etat. « Nous avons perdu trois jours, c'est beaucoup. Nous comprenons la tradition algérienne qui veut que c'est le Président qui inaugure la foire, mais nous sommes venus ici pour rencontrer des clients et établir des contacts d'affaires », déplore le directeur d'une PME française. "Nous étions immobilisés durant trois jours à Alger, la foire fermée. La notion de temps n'a pas la même signification entre la France et l'Algérie. Pour les patrons, trois jours de retard, c'est énorme en termes de contacts. En plus des frais d'hôtels et de déplacements", ajoute un autre patron rencontré mardi à la Foire.
Les entreprises qui ont payé les frais de participation pour 7 jours, durée normale de la foire, veulent obtenir le remboursement de leurs dépenses auprès des organisateurs. Cette question n'est pas encore réglée. "Nous avons payé pour 7 jours et la foire a été réduite à 4 jours seulement. Nous voulons un dédommagement", indique un autre patron.
Le retard pris dans l'inauguration de la Foire n'a pas été expliqué aux participants. Le pavillon France compte quelque 200 entreprises sur 1500 exposants étrangers et algériens. La foire durera jusqu'au 13 juin.
Les représentants français ont un autre motif de colère : hier, lors de l’inauguration de la foire, le président Bouteflika avait ostensiblement boudée le stand français, et en ce dépit de la présence à Alger de la secrétaire d’Etat français au commerce extérieur.
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Les chefs d'entreprises français présents à la Foire internationale d'Alger sont en colère contre les organisateurs. La raison ? L'inauguration tardive de cette manifestation économique par le président Abdelaziz Bouteflika.
La foire d'Alger qui devait ouvrir ses portes samedi a été inaugurée lundi par le chef de l'Etat. « Nous avons perdu trois jours, c'est beaucoup. Nous comprenons la tradition algérienne qui veut que c'est le Président qui inaugure la foire, mais nous sommes venus ici pour rencontrer des clients et établir des contacts d'affaires », déplore le directeur d'une PME française. "Nous étions immobilisés durant trois jours à Alger, la foire fermée. La notion de temps n'a pas la même signification entre la France et l'Algérie. Pour les patrons, trois jours de retard, c'est énorme en termes de contacts. En plus des frais d'hôtels et de déplacements", ajoute un autre patron rencontré mardi à la Foire.
Les entreprises qui ont payé les frais de participation pour 7 jours, durée normale de la foire, veulent obtenir le remboursement de leurs dépenses auprès des organisateurs. Cette question n'est pas encore réglée. "Nous avons payé pour 7 jours et la foire a été réduite à 4 jours seulement. Nous voulons un dédommagement", indique un autre patron.
Le retard pris dans l'inauguration de la Foire n'a pas été expliqué aux participants. Le pavillon France compte quelque 200 entreprises sur 1500 exposants étrangers et algériens. La foire durera jusqu'au 13 juin.
Les représentants français ont un autre motif de colère : hier, lors de l’inauguration de la foire, le président Bouteflika avait ostensiblement boudée le stand français, et en ce dépit de la présence à Alger de la secrétaire d’Etat français au commerce extérieur.
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