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Fellag: Le JT de la RTA (El akhbar el watanya).

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  • Fellag: Le JT de la RTA (El akhbar el watanya).



    “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

  • #2
    trop fort

    Cet homme manque énormément à la culture et au théatre algérien!! c'était une bouffée d'oxygène!! Béjaia a perdu son théatre après son départ
    Dernière modification par absente, 13 juin 2008, 08h48.

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    • #3
      hehehe ! le grand fellag !
      ?

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      • #4
        talentueux le bonhomme

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        • #5
          puree ,j'ai les larme aux yeux, mort de rire !!!!dommage qu'il ne fait plus de spectacle chez nous !

          merci beaucoup
          Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

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          • #6
            elle est bonne le ministère de la culture a el Alia au cimetière quoi il a pas tord en plus
            Oo >-- Divinement Maudit et Diaboliquement vivant --< oO
            **ALGERIA**
            ~ me ~

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            • #7
              Fellag, l'Arlequin de l'Algérie

              Un formidable homme de théâtre.
              Les Nuits de Fourvière courent du mois de juin au début août et, avec des spectacles modernes, font éprouver aux spectateurs lyonnais des frissons antiques. Au sommet de la colline de Fourvière, les contemporains de l'empereur Auguste ont laissé deux amphithéâtres où les musiques, la chanson, la danse et l'art dramatique remplacent les lointains jeux antiques. C'est Bartabas qui, avec ses cinquante chevaux, a donné le coup d'envoi le 7 juin du festival dirigé par Dominique Delorme. C'est Fellag qui, avec « Les Algériens sont des mécaniciens », fait entendre, maintenant, la parole d'un auteur contemporain, face aux gradins du demi-cercle de l'odéon. Cet Algérien, qu'on a souvent comparé aux grands « palabreurs » italiens, renoue là avec le théâtre des origines en ce lieu dessiné par nos ancêtres, les Gallo-Romains. « J'éprouverai la joie de retrouver quelque chose d'Aristophane et de Plaute », dit-il.
              Fellag est connu en France depuis 1997. Cette année-là, il joue seul « Djurjurassique Bled ». Dans une chemise rouge à pois blancs barrée de larges bretelles, il conte une histoire comique de l'Algérie et du monde arabe qui n'idéalise pas les pays du Maghreb. Il est féroce pour ceux qu'il aime et, avec un rare pouvoir de romancier de la scène, salue en riant la débrouillardise des petites gens, survivant dans l'absurdité des systèmes mis en place. Il aurait pu déplaire avec son humour noir comme le café turc, il déchaîne l'enthousiasme.
              Entre Chaplin et Kafka
              Parti de la petite salle du Théâtre international de langue française, il vole ensuite de grandes salles de banlieue en salles polyvalentes régionales. Il fait un triomphe chez Peter Brook, aux Bouffes du Nord, à Paris. Les Editions Jean-Claude Lattès en publieront le texte comme elles publieront tous ses écrits suivants. Cet art du polémiste qui rit de l'humiliation de ses frères algériens pour mieux les réveiller, il l'a d'abord pratiqué en Algérie, où il est né en 1950. Kabyle, fils d'un architecte qui, au sein du FLN, a participé à la guerre de libération, il avait, au théâtre et à la télévision d'Alger, imposé un personnage insolent, Tchop, entre Chaplin et Kafka. Comme il avait appris le métier de comédien dans un institut où l'on travaillait en français et en arabe, il était déjà un acteur traversant les frontières. Mais, quand la violence devint quotidienne dans son pays, il s'exila d'abord en Tunisie, puis en France.
              Fellag ne compose pas un spectacle tous les ans. Chacun de ses récits burlesques, « Un bateau pour l'Australie », « Le Dernier Chameau », il les fait vivre pendant deux ou trois ans. « En réalité, j'écris tout le temps, dit-il. Une nouvelle peut devenir un texte de théâtre, un roman, un spectacle, un sketch, un scénario. Une fois le spectacle joué durant un certain temps, je ne le reprends plus. Je passe à d'autres histoires. » Cette dernière histoire, qu'il va créer sur la pierre antique de Lyon, est une nouvelle étape.
              C'est à nouveau le tableau des gens du peuple, cette fois réparant des voitures qui n'en peuvent plus mais renaissent grâce à l'habileté de bricoleurs de génie. Il y aura d'ailleurs sur la scène, non loin de draps et d'habits séchant sur des cordes à linge, une vieille 204 Peugeot. « Je reste sur la même ligne éditoriale, dans ce burlesque à la frontière du politique et de la poésie, confie Fellag. Mais nous sommes deux en scène. J'avais demandé à Marianne Epin de me mettre en scène. Le projet a évolué de telle façon qu'elle partage le plateau avec moi et nous avons fait ensemble la mise en scène. Cela change tout pour moi. Cela fait dix-huit ans que j'étais seul au théâtre. A présent, je raconte autrement. Je continue mes récits, mais entrecoupés de bulles théâtrales que nous jouons tous les deux. C'est toujours la vie du petit peuple algérien, le système D érigé en système de survie au quotidien, à travers la lutte d'un couple qui n'a pu se recycler au moment de l'arabisation et habite une sorte de bidonville. Marianne Epin et moi sommes à égalité sur ce vaste plateau dont on a cassé l'immensité avec un décor très humain. »
              Formidable homme de théâtre, romancier apprécié (« L'Allumeur de rêves berbères » a été un succès l'an dernier), Fellag devrait devenir l'an prochain un cinéaste. Le scénario qu'il a tiré de son livre « Rue des Petites Daurades » est prêt. Lui aussi, avec le projet de ne pas y jouer mais d'en être l'invisible réalisateur.
              GILLES COSTAZ
              Les Echos
              [ 13/06/08 ]

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              • #8
                Je serai au rdv de demain soir 22h aux Nuits de Fourvière pour son spectacle "Les algériens sont des mécaniciens..."
                Je sens qu'on va bien se marrer
                "L'ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit" - Aristote -

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                • #9
                  Un artiste complet, un trésor national, je t'admire Fellag !!
                  Ainsi va le monde

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                  • #10
                    heu..
                    c'etait en quel siecle ce spectacle ?

                    Commentaire


                    • #11
                      heu..
                      c'etait en quel siecle ce spectacle ?20/06/2008 21h58
                      Si c'est à moi que tu t'adresses, je parle du spectacle qui s'est déroulé hier soir à Lyon. Malheureusement, peu de pub a été faite autour de son retour sur scène.

                      Une fois de plus, Fellag a été plus que performant sur les problèmes quotidiens des algériens...

                      http://www.euronews.net/fr/article/2...rian-underdog/
                      "L'ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit" - Aristote -

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                      • #12
                        je le trouve pas à jour, en plus il dénigre trop les algériens d'Algérie, ceux qui n'ont jamais vécu en Algérie peuvent le croire, alors qu'il est un peu out.
                        il me fait rire, mais sans plus.
                        ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

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