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ALGER, 11 juin (Xinhua) -- "Nous n'avons aucune raison de retenir des informations, à moins que la rétention de cette information est utile au déroulement d'une action sécuritaire en cours", et "il y a des informations pour lesquelles on peut citer la personne quand il n'y a pas de risque pour la poursuite de l'enquête", a déclaré mercredi le ministre d'Etat algérien, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Yazid Zerhouni.
Il a tenu ces propos en répondant à une question concernant la difficulté que rencontre la presse algérienne en matière de collecte ou de vérification d'information sécuritaire. "Il y a, à tous les niveaux, des personnes habilitées à donner une information", a affirmé M. Zerhouni, cité par l'agence de presse algérienne APS.
"En général, nous évitons de donner l'information lorsqu'elle a une répercussion sur une action opérationnelle en cours ou sur une enquête de police", a-t-il expliqué.
La diffusion de fausses informations sécuritaires ces derniers jours est une "manipulation grossière", a souligné M. Zerhouni.
"Vous pensez que les gens qui ont lancé la fausse information sécuritaire ont été induits en erreur par les autorités ? C'est une manipulation grossière", a-t-il indiqué à la presse à l'issue de la cérémonie d'installation du nouveau wali de Bouira.
Il répondait ainsi à une question sur le retrait des accréditations des correspondants des agences de presse britannique Reuters et française AFP suite à la diffusion par ces agences de "fausses informations" sécuritaires.
A propos de l'attentat terroriste de dimanche dernier dans lequel un ressortissant français et son chauffeur algérien ont été tués à Beni-Amrane (département de Boumerdès, nord de l'Algérie), il a expliqué que "les tentatives visant les étrangers existent depuis longtemps. Fort heureusement, les services de sécurité ont toujours pu éviter ces tentatives", a-t-il affirmé, tout en déplorant cet assassinat.
"Nous demandons plus de vigilance aussi bien de la part de notre population mais aussi des étrangers qui travaillent en Algérie et qui doivent prendre certaines dispositions qui sont dans l'ensemble très efficaces, entreprises par nos services de sécurité", a-t-il ajouté.
Il a tenu ces propos en répondant à une question concernant la difficulté que rencontre la presse algérienne en matière de collecte ou de vérification d'information sécuritaire. "Il y a, à tous les niveaux, des personnes habilitées à donner une information", a affirmé M. Zerhouni, cité par l'agence de presse algérienne APS.
"En général, nous évitons de donner l'information lorsqu'elle a une répercussion sur une action opérationnelle en cours ou sur une enquête de police", a-t-il expliqué.
La diffusion de fausses informations sécuritaires ces derniers jours est une "manipulation grossière", a souligné M. Zerhouni.
"Vous pensez que les gens qui ont lancé la fausse information sécuritaire ont été induits en erreur par les autorités ? C'est une manipulation grossière", a-t-il indiqué à la presse à l'issue de la cérémonie d'installation du nouveau wali de Bouira.
Il répondait ainsi à une question sur le retrait des accréditations des correspondants des agences de presse britannique Reuters et française AFP suite à la diffusion par ces agences de "fausses informations" sécuritaires.
A propos de l'attentat terroriste de dimanche dernier dans lequel un ressortissant français et son chauffeur algérien ont été tués à Beni-Amrane (département de Boumerdès, nord de l'Algérie), il a expliqué que "les tentatives visant les étrangers existent depuis longtemps. Fort heureusement, les services de sécurité ont toujours pu éviter ces tentatives", a-t-il affirmé, tout en déplorant cet assassinat.
"Nous demandons plus de vigilance aussi bien de la part de notre population mais aussi des étrangers qui travaillent en Algérie et qui doivent prendre certaines dispositions qui sont dans l'ensemble très efficaces, entreprises par nos services de sécurité", a-t-il ajouté.