Comme on lui interdit encore d’exploiter des matières chimiques
L’Algérie refuse de participer à la conférence contre le terrorisme nucléaire
L’Algérie a refusé de prendre part à la conférence internationale sur le terrorisme qui sera abritée par l’Espagne, mercredi prochain, pour étudier le projet d’une convention internationale visant à empêcher l’obtention d’armes nucléaires par les groupes terroristes.
Le communiqué du ministère des Affaires étrangères américain a révélé que l’Algérie ne fait pas partie des 71 pays qui ont accepté cette initiative et annoncé leur participation dans la conférence qui sera tenue en Espagne mercredi prochain, alors que deux pays de la région du Maghreb, à savoir la Libye et le Maroc, ont accepté d’y prendre part.
Il est probable que la position de l’Algérie soit conditionnée par l’engagement des pays membres à signer des conventions internationales relatives à la diminution de la prolifération des armes nucléaires et au désarmement nucléaire. C’est ce que Israël a refusé, en plus de la politique des deux poids deux mesures adoptée par les Etats-Unis d’Amérique concernant le droit des pays à se procurer l’énergie nucléaire destinée à l’usage pacifique, et l’amalgame fait entre les notions de terrorisme et de résistance. Il est à craindre également que cette initiative soit un moyen pour priver les pays de leur droit à bénéficier de l’énergie nucléaire sous prétexte qu’ils abritent des organisations terroristes, comme c’est le cas pour l’Algérie, qui figure toujours parmi les pays qui n’ont pas le droit de vendre des produits chimiques.
14-06-2008
Par A. Lahiani/ Rubrique Traduction
Elkhabar
L’Algérie refuse de participer à la conférence contre le terrorisme nucléaire
L’Algérie a refusé de prendre part à la conférence internationale sur le terrorisme qui sera abritée par l’Espagne, mercredi prochain, pour étudier le projet d’une convention internationale visant à empêcher l’obtention d’armes nucléaires par les groupes terroristes.
Le communiqué du ministère des Affaires étrangères américain a révélé que l’Algérie ne fait pas partie des 71 pays qui ont accepté cette initiative et annoncé leur participation dans la conférence qui sera tenue en Espagne mercredi prochain, alors que deux pays de la région du Maghreb, à savoir la Libye et le Maroc, ont accepté d’y prendre part.
Il est probable que la position de l’Algérie soit conditionnée par l’engagement des pays membres à signer des conventions internationales relatives à la diminution de la prolifération des armes nucléaires et au désarmement nucléaire. C’est ce que Israël a refusé, en plus de la politique des deux poids deux mesures adoptée par les Etats-Unis d’Amérique concernant le droit des pays à se procurer l’énergie nucléaire destinée à l’usage pacifique, et l’amalgame fait entre les notions de terrorisme et de résistance. Il est à craindre également que cette initiative soit un moyen pour priver les pays de leur droit à bénéficier de l’énergie nucléaire sous prétexte qu’ils abritent des organisations terroristes, comme c’est le cas pour l’Algérie, qui figure toujours parmi les pays qui n’ont pas le droit de vendre des produits chimiques.
14-06-2008
Par A. Lahiani/ Rubrique Traduction
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