Le célèbre site Internet américain Youtube diffuse depuis aujourd’hui une vidéo présentée comme celle d’un terroriste du GSPC blessé et prisonnier des forces de sécurité algériennes. Le film, d’une durée de 3 minutes et sobrement titré « Terroriste du GSPC à terre », ne donne aucune indication sur lieu de cette opération antiterroriste, ni sur les circonstances de la neutralisation de deux terroristes – on voit à la fin de la vidéo le cadavre d’un autre islamiste armé tué gisant à coté du blessé.
On ignore également la provenance de ces images, mais des dialogues laissent entendre que c’est un membre des forces de sécurité qui filmait cette scène inédite. Jusqu’à la fin du film où on aperçoit quelques visages, le «cameraman» a soigneusement évité de montrer les images des militaires qui entouraient le terroristes blessés pour lui apporter les premiers soins avant visiblement une évacuation par hélicoptère.
Mais montrer un prisonnier attaché qui souffre de ses blessures, ne fait justement pas partie de ces « bonnes pratiques ». En effet, les conventions de Genève sur les prisonniers de guerre sont claires : elles interdisent de telles images. Est-ce ainsi que les forces de sécurité espèrent gagner la guerre de la communication en diffusant des images interdites, ou s’agit-il d’une « bavure » isolée, l’œuvre d’un soldat qui ne connait pas les règles internationales en matière de prisonniers de guerre, voire d'une opération de propagande du GSPC destiné à descréditer les forces armées nationales ?
source : TSA
âmes sensibles s'abstenir
On ignore également la provenance de ces images, mais des dialogues laissent entendre que c’est un membre des forces de sécurité qui filmait cette scène inédite. Jusqu’à la fin du film où on aperçoit quelques visages, le «cameraman» a soigneusement évité de montrer les images des militaires qui entouraient le terroristes blessés pour lui apporter les premiers soins avant visiblement une évacuation par hélicoptère.
Mais montrer un prisonnier attaché qui souffre de ses blessures, ne fait justement pas partie de ces « bonnes pratiques ». En effet, les conventions de Genève sur les prisonniers de guerre sont claires : elles interdisent de telles images. Est-ce ainsi que les forces de sécurité espèrent gagner la guerre de la communication en diffusant des images interdites, ou s’agit-il d’une « bavure » isolée, l’œuvre d’un soldat qui ne connait pas les règles internationales en matière de prisonniers de guerre, voire d'une opération de propagande du GSPC destiné à descréditer les forces armées nationales ?
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