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Une stèle à la mémoire des 11 colonels de l’Armée de libération nationale issus de la région sera érigée à l’entrée de la ville.
Lors d’un point de presse, le directeur de l’urbanisme et de la construction de la wilaya de Tizi Ouzou a révélé que la wilaya a bénéficié, en 2007, d’un important programme d’aménagement urbain d’un montant de 9,5 milliards de dinars. La mise en oeuvre de ce programme a nécessité la sélection, après étude, de 176 sites d’intervention. A l’heure actuelle, 71 appels d’offres ont été lancés sur les 76 études déjà réalisées.
Les sites nécessitant des travaux d’aménagement et de viabilisation sont le centre-ville de Tizi Ouzou, les cités du 5-Juillet et du 20-Août. Ces dernières sont dépourvues d’espaces verts et d’assainissement. Quant à la Nouvelle-Ville, la direction de l’urbanisme a élaboré un plan de grande envergure pour son réaménagement, selon les propos de son directeur. En effet, malgré les multiples entraves rencontrées, les travaux ont été entamés et seront destinés à éviter les inondations qu’a connues auparavant la ville.
Le grand flux de circulation des véhicules préoccupe également les autorités. Les travaux de desserrement de la circulation ont été lancés, mais connaissent des retards dans la réalisation. Ces interruptions s’expliquent, selon le directeur, par les multiples travaux imprévus lors de la réalisation, comme les déviations et les oppositions de la Sonelgaz. Ces aménagements urbains nécessaires pour la Nouvelle-Ville ont été estimés à un milliard de dinars.
Quant aux petites villes de la wilaya, Draâ Ben Khedda, par exemple, a vu toutes ses cités réaménagées ainsi que les ruelles de la ville d’Azazga. Pour les 22 villages menacés par des glissements de terrain, la direction de l’urbanisme compte lancer un plan d’intervention incessamment. La DUC a confié ces dossiers au bureau d’études Gepca. Toutefois, l’orateur signalera que ce problème de glissement de terrain a été soulevé depuis 1970, sans qu’aucun traitement ne lui soit réservé.
L’aménagement des plages des villes côtières de Tigzirt et Azeffoun tire à sa fin, selon le directeur de l’urbanisme de Tizi Ouzou. La nouveauté, cette année, est la connexion des plages pour réaliser un front de mer. Quant aux retards enregistrés dans les travaux de certains sites dans la Nouvelle-Ville de Tizi Ouzou, le DUC impute la responsabilité aux élus qui sont en charge du traitement des oppositions.
Questionné sur les problèmes du POS (Plan d’occupation des sols) qui se posent avec récurrence dans cette ville, le même responsable répondra que c’est une affaire qui relève des compétences de l’Assemblée communale élue, car les enquêtes publiques se font au niveau de ces structures.
A cet effet, la direction de l’urbanisme de la wilaya prépare un nouveau plan d’occupation de terrain pour la Nouvelle-Ville. Selon le même orateur, ce plan sera affiché au public pour que les gens puissent prendre connaissance de la forme que prendra leur nouvelle ville. C’est là également une façon de rendre publics les problèmes incessants entre l’APC et la DUC.
Pour rappel, cette direction a été accusée de saboter les réunions des élus avec certains propriétaires de terrains dans la Nouvelle-Ville. Questionné, le directeur de la DUC a affirmé qu’il avait mandaté un inspecteur pour le représenter, mais les élus n’ont pas accepté.
Kamel BOUDJADI (L'Expression)
Lors d’un point de presse, le directeur de l’urbanisme et de la construction de la wilaya de Tizi Ouzou a révélé que la wilaya a bénéficié, en 2007, d’un important programme d’aménagement urbain d’un montant de 9,5 milliards de dinars. La mise en oeuvre de ce programme a nécessité la sélection, après étude, de 176 sites d’intervention. A l’heure actuelle, 71 appels d’offres ont été lancés sur les 76 études déjà réalisées.
Les sites nécessitant des travaux d’aménagement et de viabilisation sont le centre-ville de Tizi Ouzou, les cités du 5-Juillet et du 20-Août. Ces dernières sont dépourvues d’espaces verts et d’assainissement. Quant à la Nouvelle-Ville, la direction de l’urbanisme a élaboré un plan de grande envergure pour son réaménagement, selon les propos de son directeur. En effet, malgré les multiples entraves rencontrées, les travaux ont été entamés et seront destinés à éviter les inondations qu’a connues auparavant la ville.
Le grand flux de circulation des véhicules préoccupe également les autorités. Les travaux de desserrement de la circulation ont été lancés, mais connaissent des retards dans la réalisation. Ces interruptions s’expliquent, selon le directeur, par les multiples travaux imprévus lors de la réalisation, comme les déviations et les oppositions de la Sonelgaz. Ces aménagements urbains nécessaires pour la Nouvelle-Ville ont été estimés à un milliard de dinars.
Quant aux petites villes de la wilaya, Draâ Ben Khedda, par exemple, a vu toutes ses cités réaménagées ainsi que les ruelles de la ville d’Azazga. Pour les 22 villages menacés par des glissements de terrain, la direction de l’urbanisme compte lancer un plan d’intervention incessamment. La DUC a confié ces dossiers au bureau d’études Gepca. Toutefois, l’orateur signalera que ce problème de glissement de terrain a été soulevé depuis 1970, sans qu’aucun traitement ne lui soit réservé.
L’aménagement des plages des villes côtières de Tigzirt et Azeffoun tire à sa fin, selon le directeur de l’urbanisme de Tizi Ouzou. La nouveauté, cette année, est la connexion des plages pour réaliser un front de mer. Quant aux retards enregistrés dans les travaux de certains sites dans la Nouvelle-Ville de Tizi Ouzou, le DUC impute la responsabilité aux élus qui sont en charge du traitement des oppositions.
Questionné sur les problèmes du POS (Plan d’occupation des sols) qui se posent avec récurrence dans cette ville, le même responsable répondra que c’est une affaire qui relève des compétences de l’Assemblée communale élue, car les enquêtes publiques se font au niveau de ces structures.
A cet effet, la direction de l’urbanisme de la wilaya prépare un nouveau plan d’occupation de terrain pour la Nouvelle-Ville. Selon le même orateur, ce plan sera affiché au public pour que les gens puissent prendre connaissance de la forme que prendra leur nouvelle ville. C’est là également une façon de rendre publics les problèmes incessants entre l’APC et la DUC.
Pour rappel, cette direction a été accusée de saboter les réunions des élus avec certains propriétaires de terrains dans la Nouvelle-Ville. Questionné, le directeur de la DUC a affirmé qu’il avait mandaté un inspecteur pour le représenter, mais les élus n’ont pas accepté.
Kamel BOUDJADI (L'Expression)
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