Que de fois, j'ai levé les yeux
implorant
le ciel vermeil, confus de ses nuages
pourpres d'alizarine,
du contour élégiaque de l'image
de tes lèvres opalines
un jour de fête
et de danse
dans la joie
de la romance
cavatine de ta voix
cristalline
qui dessine
avec adresse
toute la tendresse
d'un coeur en liesse
où, chacune des pléiades du couchant trissa
sur le velours moiré de l'infinité
la mélancolie
de ta fidélité
et, toutes les douceurs
qui se jouent
des couleurs
de l'ancolie
et des senteurs
de la primevère !
et, sur l'incarnat de tes joues
à la cadence plagale
d'un langoureux épithalame
d'un soir d'été
dans la clarté diaphane
de tes doigts de fée
où la nature de son lice
laisse courir
sa malice sur ton sourire
et tisse
comme il se doit
le glyphe secret de ses doigts
lisses
sur les feuilles fauves
fanées
par tant d'années
d'un automne mauve
Tes cheveux peignés
par cette vague de perles
qui déferle
baignés
par la douceur des rayons dorés
qui inonde
ta poitrine à l'orée
du nombil du monde
qui se saoûle
de la rivière satinée qui coule
de ses flots chatoyants
dans le lit sensuel
de nos passions
et la suavité
de ton regard
noyé d'antimoine
de tes yeux noirs
où la nature capricieuse
a brodé de sa flûte enchantée
et de son sylphe, le mystère
de ta beauté
gracieuse
Toi, ma cythère !
A+
*********************
Je n'aime pas la guerre, cette monstruosité inventée par l'homme! Et, si je la fais, c'est pour préserver la paix !
( GoutdeMiel )
implorant
le ciel vermeil, confus de ses nuages
pourpres d'alizarine,
du contour élégiaque de l'image
de tes lèvres opalines
un jour de fête
et de danse
dans la joie
de la romance
cavatine de ta voix
cristalline
qui dessine
avec adresse
toute la tendresse
d'un coeur en liesse
où, chacune des pléiades du couchant trissa
sur le velours moiré de l'infinité
la mélancolie
de ta fidélité
et, toutes les douceurs
qui se jouent
des couleurs
de l'ancolie
et des senteurs
de la primevère !
et, sur l'incarnat de tes joues
à la cadence plagale
d'un langoureux épithalame
d'un soir d'été
dans la clarté diaphane
de tes doigts de fée
où la nature de son lice
laisse courir
sa malice sur ton sourire
et tisse
comme il se doit
le glyphe secret de ses doigts
lisses
sur les feuilles fauves
fanées
par tant d'années
d'un automne mauve
Tes cheveux peignés
par cette vague de perles
qui déferle
baignés
par la douceur des rayons dorés
qui inonde
ta poitrine à l'orée
du nombil du monde
qui se saoûle
de la rivière satinée qui coule
de ses flots chatoyants
dans le lit sensuel
de nos passions
et la suavité
de ton regard
noyé d'antimoine
de tes yeux noirs
où la nature capricieuse
a brodé de sa flûte enchantée
et de son sylphe, le mystère
de ta beauté
gracieuse
Toi, ma cythère !
A+
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Je n'aime pas la guerre, cette monstruosité inventée par l'homme! Et, si je la fais, c'est pour préserver la paix !
( GoutdeMiel )
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