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Les exportateurs algériens face aux exigences de l’OMC

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  • Les exportateurs algériens face aux exigences de l’OMC

    Les exportateurs algériens risquent de ne plus être soutenus par l’Etat sur le volet transport. C’est ce qu’a déclaré, hier, Mohamed Bennini, directeur général de l’Agence algérienne de promotion du commerce extérieur (Algex), en marge de la rencontre sur l’industrie et l’agriculture à l’hôtel El Aurassi, à Alger. C’est l’une des exigences émises par certains membres de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) qui demandent à l’Algérie de ne plus soutenir l’activité de l’exportation et ce, particulièrement dans son volet transport. L’Algérie soutenait -jusqu’ici- le transport des produits destinés à l’exportation à hauteur de 80%. Interrogé hier sur cette question, le DG de l’Algex a laissé entendre que cette subvention ne serait éventuellement plus maintenue. « C’est encore en négociation. Nous continuons néanmoins à soutenir l’agriculture, mais pas au niveau de la sphère commerciale », a-t-il précisé. M. Bennini a expliqué dans la foulée que l’Algérie exporte essentiellement vers la zone euro. Le volume est très faible et ne dépasse pas les 5 millions de dollars d’exportation de produits frais.

    source : el Watan

  • #2
    Hen! vous parlez d'exportateurs !! plutôt des voleurs de câbles oui !!!
    Faute de grives , nous mangeons des Merles

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    • #3
      voilà ce qui arrive lorsque on prend le train à la dernire minute. Les premiers pays qui ont integré l'OMC dictent la loi sur les nouveaux, l'algérie doit mener des négociations avec des pays ou des groupes de pays en plusieurs manches sur les règles tarifaires, la concurrences, les subventions... L'avantage comparatif en terme de coût de l'énergie pour l'algérie qui rentre dans les coûts de transport et de production ne sera plus utilisé par l'algérie, on lui demande aussi d'aligner le prix de l'énergie local au prix de l'énergie au niveau mondial. Les réformes ont tardé, l'adhésion à l'OMC tarde et nos etp sont à la traine comparées à nos voisins marocains et tunisiens. A titre de comparaison la bourse d'alger dans la 2è économie d'afrique aprs l'afsud pour le PIB, affiche ue capitalisation de 80 millions d'euros comparée aux 5 miliards € de la bourse de Tunis et 60 milliards € de la bourse de casblanca. Cela dénote une culture de l'entrepreunariat faible, un systme financier archaique et une manque de visibilité et d'incitations pour booster et canaliser les investissements. L'économie informelle se renforce et tend à se généraliser dans tout les domaines. Notre système fiscal est dépassé et souffre d'une grande inéficacité.

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