Les responsables du corps de la pharmacie critiquent le système de marges qui pourrait les conduire à la faillite....Le président de conseil du corps des pharmaciens, Lotfi Ben Bahmed, et le vice-président du corps des pharmaciens, Amir Taoualef, ont mis en garde contre la faillite de nombreuses pharmacies, après l’adoption du système de marges de bénéfice propres aux médicaments, indiquant que les nouvelles mesures encouragent, sous de nombreux aspects, l’importation plus que la production.
Lotfi Ben Ahmed a indiqué que les médicaments en Algérie sont touchés par le phénomène de la contrebande, et qu’il y a des personnes qui sont derrière la propagation de tels phénomènes. Il s’est également demandé comment de grandes quantités de médicaments parviennent aux pays voisins, notamment le Maroc, malgré les mesures et les dispositions de contrôles existants.
Dans le même contexte, Ben Bahmed a précisé que « les médicaments algériens vendus dans la ville de Oujda sont détournés à travers les villes et les régions proches des frontières dont Maghnia. On sait qu’il n’y a pas de sécurité sociale au Maroc, et ainsi les médicaments ne sont pas remboursés, alors on recherche le médicament le moins cher qui est celui que l’on ramène illégalement d’Algérie ».
D’un autre côte, Lotfi Ben Bahmed et Amir Taoualef ont déclaré au forum d’El Moudjahid qu’il y a un manque d’outils de recensement qui permettent de contrôler le manque enregistré dans les stocks de médicaments.
Ben Bahmed a assuré que sans les mesures d’encouragement, il est plus facile d’importer que de produire, soulignant qu’il y a 112 importateurs, contre environs 7000 pharmaciens, dont 1000 dépendant du secteur public qui n’a pas été privatisé depuis l’an 2000.
- El Khabar
Lotfi Ben Ahmed a indiqué que les médicaments en Algérie sont touchés par le phénomène de la contrebande, et qu’il y a des personnes qui sont derrière la propagation de tels phénomènes. Il s’est également demandé comment de grandes quantités de médicaments parviennent aux pays voisins, notamment le Maroc, malgré les mesures et les dispositions de contrôles existants.
Dans le même contexte, Ben Bahmed a précisé que « les médicaments algériens vendus dans la ville de Oujda sont détournés à travers les villes et les régions proches des frontières dont Maghnia. On sait qu’il n’y a pas de sécurité sociale au Maroc, et ainsi les médicaments ne sont pas remboursés, alors on recherche le médicament le moins cher qui est celui que l’on ramène illégalement d’Algérie ».
D’un autre côte, Lotfi Ben Bahmed et Amir Taoualef ont déclaré au forum d’El Moudjahid qu’il y a un manque d’outils de recensement qui permettent de contrôler le manque enregistré dans les stocks de médicaments.
Ben Bahmed a assuré que sans les mesures d’encouragement, il est plus facile d’importer que de produire, soulignant qu’il y a 112 importateurs, contre environs 7000 pharmaciens, dont 1000 dépendant du secteur public qui n’a pas été privatisé depuis l’an 2000.
- El Khabar
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