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Gazprom s'implante en Algérie. Le géant gazier russe a officiellement inauguré, lundi 16 juin, son premier bureau de représentation à Alger. Avec cette implantation, Gazprom confirme son intérêt pour l'Algérie où il ambitionne d'investir dans le gaz, un secteur en plein développement avec le lancement de nombreux projets d’envergure.
Le groupe russe discute également avec Sonatrach pour le lancement de projets communs en Algérie et en Russie. La société nationale des hydrocarbures Sonatrach et le géant russe vont essayer de signer un nouvel accord pour coopérer dans des projets énergétiques. Sonatrach pourrait notamment s’appuyer sur Gazprom pour s'implanter en Russie et investir dans le GNL.
Nous préférons travailler avec un partenaire important dans la région de l'Afrique en matière d'industrie gazière comme Sonatrach", a indiqué le vice-président du conseil d'administration de Gazprom, Alexander Medvedev, en marge de l'ouverture du bureau de représentation du groupe russe à Alger. "Les perspectives de partenariat (avec Gazprom) pourraient couvrir également les activités de transport de gaz et l'échange de marchés", a pour sa part indiqué le vice président de Sonatrach, Chawki Rahal.
Par ailleurs, dans un communiqué diffusé aujourd’hui, Gazprom a indiqué que les deux groupes examinaient la possibilité d'acquérir en commun des ouvrages énergétiques sur le territoire de pays tiers. Ces projets «consistent notamment à acquérir conjointement des actifs énergétiques sur le territoire de pays tiers, à concevoir et à construire des pipelines de transport et de distribution», indique le communiqué cité par l’agence russe Ria Novosti.
En août 2006 Gazprom et Sonatrach avaient signé un protocole d'accord qui avait affolé les Européens. Mais cet accord s'est terminé un an plus tard, au mois d'août 2007, et n'a débouché sur aucun projet concret, avait indiqué, le 21 avril dernier, Mohamed Meziane, PDG de la société nationale des hydrocarbures. «L'accord a expiré au mois d'août 2007», avait dit M. Meziane en marge du Forum international de l'Energie, qui réunit pays producteurs et consommateurs d'hydrocarbures à Rome en Italie.
L’arrivée en Algérie de Gazprom pourrait alarmer de nouveau les pays européens. Ces derniers s’inquiètent pour la sécurité de leur approvisionnement, d'une éventuelle entente sur les prix et de la création d'un éventuel cartel du gaz sur le modèle de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP).
TSA
Le groupe russe discute également avec Sonatrach pour le lancement de projets communs en Algérie et en Russie. La société nationale des hydrocarbures Sonatrach et le géant russe vont essayer de signer un nouvel accord pour coopérer dans des projets énergétiques. Sonatrach pourrait notamment s’appuyer sur Gazprom pour s'implanter en Russie et investir dans le GNL.
Nous préférons travailler avec un partenaire important dans la région de l'Afrique en matière d'industrie gazière comme Sonatrach", a indiqué le vice-président du conseil d'administration de Gazprom, Alexander Medvedev, en marge de l'ouverture du bureau de représentation du groupe russe à Alger. "Les perspectives de partenariat (avec Gazprom) pourraient couvrir également les activités de transport de gaz et l'échange de marchés", a pour sa part indiqué le vice président de Sonatrach, Chawki Rahal.
Par ailleurs, dans un communiqué diffusé aujourd’hui, Gazprom a indiqué que les deux groupes examinaient la possibilité d'acquérir en commun des ouvrages énergétiques sur le territoire de pays tiers. Ces projets «consistent notamment à acquérir conjointement des actifs énergétiques sur le territoire de pays tiers, à concevoir et à construire des pipelines de transport et de distribution», indique le communiqué cité par l’agence russe Ria Novosti.
En août 2006 Gazprom et Sonatrach avaient signé un protocole d'accord qui avait affolé les Européens. Mais cet accord s'est terminé un an plus tard, au mois d'août 2007, et n'a débouché sur aucun projet concret, avait indiqué, le 21 avril dernier, Mohamed Meziane, PDG de la société nationale des hydrocarbures. «L'accord a expiré au mois d'août 2007», avait dit M. Meziane en marge du Forum international de l'Energie, qui réunit pays producteurs et consommateurs d'hydrocarbures à Rome en Italie.
L’arrivée en Algérie de Gazprom pourrait alarmer de nouveau les pays européens. Ces derniers s’inquiètent pour la sécurité de leur approvisionnement, d'une éventuelle entente sur les prix et de la création d'un éventuel cartel du gaz sur le modèle de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP).
TSA
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