366 enfants ont été regroupés hier dans la grande caserne de la Protection civile, à Bab Ezzouar, pour célébrer ensemble la Journée de l’enfant africain, placée cette année par l’Unicef sous le signe de «La participation des enfants».
L’idée de faire participer les enfants à la protection de leurs droits a été exploitée par le réseau Nada, pour la protection et la promotion des droits des enfants, avec la collaboration de la Fondation suisse Terre des hommes, qui ont élaboré un programme spécial, portant essentiellement sur la sensibilisation des enfants à leurs droits fondamentaux et particulièrement aux outils de protection et de prévention des maltraitances à leur égard. Trente-trois associations travaillant avec les enfants ont participé à cette manifestation à travers des expositions et des ateliers. Des enfants handicapés, malades hospitalisés ou suivis dans des centres de prise en charge psychologique ou spécialisés ont été transportés pour partager avec d’autres enfants une journée faite de joie et de moments de concentration dans le cadre des ateliers. Ces derniers ont porté sur plusieurs thématiques choisies par les associations et leurs formateurs, afin de passer le meilleur message possible sur les droits des enfants.
Ainsi, le réseau Nada a présenté le numéro vert, le 3033, mis en place il y a un mois et destiné pour le signalement et la dénonciation des violences commises contre les enfants. Les bambins ont eu droit à des exercices leur apprenant d’utiliser le numéro, après que toutes les explications sur l’opportunité d’un tel numéro et son impact sur la protection de l’enfance ont été fournies.
Dans une autre tente, une pédagogue de la Fondation Terre des hommes se charge, de son côté, de faire un cours sur le «permis de prudence». Un outil pédagogique utilisé dans plusieurs pays pour prévenir le harcèlement sexuel contre les enfants. «Nous avons l’obligation morale, en tant qu’associations, de préserver les droits des enfants et de leur donner tous les outils nécessaires afin qu’ils se protègent eux-mêmes», a affirmé Mme Aït Belkacem, représentante de la fondation suisse en Algérie.
Elle fait rappeler également la spécificité de l’existence d’une journée de l’enfant africain, qui est celle de la situation politicoéconomique vécue par un nombre important des pays africains, qui sont dans des situations de guerre, de conflit, de famine et de maladies diverses. «Le continent africain est celui où se déroulent le plus de drames humanitaire et les enfants sont les premières victimes», dit-elle. D’autres ateliers ont eu lieu également dont les travaux ont porté, notamment, sur les droits des enfants, l’environnement…, outre des activités de loisir comme les jeux et la musique. La participation de plusieurs associations à cette manifestation a eu un impact positif sur cette manifestation et les enfants ont terminé la journée en partageant un gâteau géant offert par une présidente d’une association.
Par Le Soir
L’idée de faire participer les enfants à la protection de leurs droits a été exploitée par le réseau Nada, pour la protection et la promotion des droits des enfants, avec la collaboration de la Fondation suisse Terre des hommes, qui ont élaboré un programme spécial, portant essentiellement sur la sensibilisation des enfants à leurs droits fondamentaux et particulièrement aux outils de protection et de prévention des maltraitances à leur égard. Trente-trois associations travaillant avec les enfants ont participé à cette manifestation à travers des expositions et des ateliers. Des enfants handicapés, malades hospitalisés ou suivis dans des centres de prise en charge psychologique ou spécialisés ont été transportés pour partager avec d’autres enfants une journée faite de joie et de moments de concentration dans le cadre des ateliers. Ces derniers ont porté sur plusieurs thématiques choisies par les associations et leurs formateurs, afin de passer le meilleur message possible sur les droits des enfants.
Ainsi, le réseau Nada a présenté le numéro vert, le 3033, mis en place il y a un mois et destiné pour le signalement et la dénonciation des violences commises contre les enfants. Les bambins ont eu droit à des exercices leur apprenant d’utiliser le numéro, après que toutes les explications sur l’opportunité d’un tel numéro et son impact sur la protection de l’enfance ont été fournies.
Dans une autre tente, une pédagogue de la Fondation Terre des hommes se charge, de son côté, de faire un cours sur le «permis de prudence». Un outil pédagogique utilisé dans plusieurs pays pour prévenir le harcèlement sexuel contre les enfants. «Nous avons l’obligation morale, en tant qu’associations, de préserver les droits des enfants et de leur donner tous les outils nécessaires afin qu’ils se protègent eux-mêmes», a affirmé Mme Aït Belkacem, représentante de la fondation suisse en Algérie.
Elle fait rappeler également la spécificité de l’existence d’une journée de l’enfant africain, qui est celle de la situation politicoéconomique vécue par un nombre important des pays africains, qui sont dans des situations de guerre, de conflit, de famine et de maladies diverses. «Le continent africain est celui où se déroulent le plus de drames humanitaire et les enfants sont les premières victimes», dit-elle. D’autres ateliers ont eu lieu également dont les travaux ont porté, notamment, sur les droits des enfants, l’environnement…, outre des activités de loisir comme les jeux et la musique. La participation de plusieurs associations à cette manifestation a eu un impact positif sur cette manifestation et les enfants ont terminé la journée en partageant un gâteau géant offert par une présidente d’une association.
Par Le Soir
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