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En son audience de samedi passé, 14 du mois courant, le tribunal criminel a jugé une complexe affaire d’apologie du terrorisme. Selon l’arrêt de renvoi, c’est dans la nuit du 27 novembre 2007, aux environs de 23 heures, que le nommé O. Abdelkader, 33 ans, a été interpellé par les services de sécurité lors de leur tournée de contrôle de vérification.
Au moment de la fouille, ce dernier était en possession d’un flash-disc et de CD subversifs. L’enquête diligentée à cet effet, a permis au service de sécurité d’interpeller d’autres membres du réseau et de récupérer un lot de cassettes vidéo, de CD et de cassettes audio, dont le contenu n’est autre que l’apologie terroriste et l’incitation de renforcer les rangs des groupes terroristes et l’appel au djihad.
A la barre, O. Abdelkader réfute les faits qui lui sont reprochés malgré la pertinence des questions lors du débat, même par le président Belmimoun Fethi. L’accusé continue de clamer son innocence.
Même la lecture de ses premières déclarations auprès du juge d’instruction, par le président qui tente de lui rafraîchir la mémoire, ne semble guère influer sur sa décision de remettre en cause l’ensemble des rapports de l’enquête.
Les quatre autres coaccusés, S. Mohamed, H. Belkacem, S. Abdelkader et G. Rachid, qui ont défilé à la barre, ont déclaré d’un commun accord, n’avoir aucune relation avec les terroristes tout en remettant en cause leurs premières déclarations.
A la lumière des éléments relevés lors du débat, le président n’a pas lésiné sur le moindre détail, pour éclairer le tribunal. Après avoir souligné la gravité de cette affaire, le représentant du ministère public requiert la peine de 12 années de réclusion pour l’ensemble des accusés.
Le collectif de la défense, plaide non coupable tout en rejetant une quelconque adhésion ou activité à caractère subversif.
Au terme des délibérations, le tribunal condamne O. Abdelkader à 5 ans de réclusion criminelle, S. Mohamed, H.Belkacem et S. Abdelkader à 3 ans de prison ferme, et un acquittement pour G. Rachid.
Par la Nouvelle République
Au moment de la fouille, ce dernier était en possession d’un flash-disc et de CD subversifs. L’enquête diligentée à cet effet, a permis au service de sécurité d’interpeller d’autres membres du réseau et de récupérer un lot de cassettes vidéo, de CD et de cassettes audio, dont le contenu n’est autre que l’apologie terroriste et l’incitation de renforcer les rangs des groupes terroristes et l’appel au djihad.
A la barre, O. Abdelkader réfute les faits qui lui sont reprochés malgré la pertinence des questions lors du débat, même par le président Belmimoun Fethi. L’accusé continue de clamer son innocence.
Même la lecture de ses premières déclarations auprès du juge d’instruction, par le président qui tente de lui rafraîchir la mémoire, ne semble guère influer sur sa décision de remettre en cause l’ensemble des rapports de l’enquête.
Les quatre autres coaccusés, S. Mohamed, H. Belkacem, S. Abdelkader et G. Rachid, qui ont défilé à la barre, ont déclaré d’un commun accord, n’avoir aucune relation avec les terroristes tout en remettant en cause leurs premières déclarations.
A la lumière des éléments relevés lors du débat, le président n’a pas lésiné sur le moindre détail, pour éclairer le tribunal. Après avoir souligné la gravité de cette affaire, le représentant du ministère public requiert la peine de 12 années de réclusion pour l’ensemble des accusés.
Le collectif de la défense, plaide non coupable tout en rejetant une quelconque adhésion ou activité à caractère subversif.
Au terme des délibérations, le tribunal condamne O. Abdelkader à 5 ans de réclusion criminelle, S. Mohamed, H.Belkacem et S. Abdelkader à 3 ans de prison ferme, et un acquittement pour G. Rachid.
Par la Nouvelle République