L’Algérie veut signer un accord de libre-échange avec l’UEMOA, qui regroupe le Bénin, le Burkina-Faso, la Côte d'Ivoire, la Guinée-Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo.
L’Algérie veut faciliter son approvisionnement, principalement en produits agricoles et halieutiques ouest-africains, ainsi que ses exportations hors hydrocarbures.
Frontalière de deux pays de l’UEMOA, le Mali et le Niger, l’Algérie déplore ne pas exploiter le potentiel d’échanges avec l’Union.
Besoins d’équipement industriel
Le ministre algérien du Commerce a souligné que les exportations, hors hydrocarbures, de l'Algérie en direction du reste de l'Afrique ne sont que de l'ordre de 16 millions de dollars, alors que ce marché présente de grands besoins d’équipement industriel, de produits manufacturés et d'agroalimentaire. Pour le ministre algérien du Commerce, le seul accord de libre-échange, dont les négociations viennent de s’ouvrir, ne suffira pas à booster le commerce. L’Agence nationale de promotion du secteur extérieur a expliqué que l’Algérie ne profitait pas suffisamment des protocoles déjà signés, citant à ce propos l’accord d’association avec l’Union européenne qui ouvre le marché européen aux produits algériens. Si les produits agroalimentaires en profitent bien, en revanche les produits industriels sont confrontés aux normes internationales imposées par l’Union européenne. Ce problème ne risque pas de se poser avec l’UEMOA. Les produits industriels algériens répondent parfaitement aux besoins de la région.
L'Algérie, qui mène une véritable offensive pour ses exportations, a également entamé des négociations de libre-échange avec quatre pays de l'Association européenne de libre-échange (AELE), la Suisse, le Liechtenstein, la Norvège et l'Islande.
Sources : les.a.fr.iques.com
L’Algérie veut faciliter son approvisionnement, principalement en produits agricoles et halieutiques ouest-africains, ainsi que ses exportations hors hydrocarbures.
Frontalière de deux pays de l’UEMOA, le Mali et le Niger, l’Algérie déplore ne pas exploiter le potentiel d’échanges avec l’Union.
Besoins d’équipement industriel
Le ministre algérien du Commerce a souligné que les exportations, hors hydrocarbures, de l'Algérie en direction du reste de l'Afrique ne sont que de l'ordre de 16 millions de dollars, alors que ce marché présente de grands besoins d’équipement industriel, de produits manufacturés et d'agroalimentaire. Pour le ministre algérien du Commerce, le seul accord de libre-échange, dont les négociations viennent de s’ouvrir, ne suffira pas à booster le commerce. L’Agence nationale de promotion du secteur extérieur a expliqué que l’Algérie ne profitait pas suffisamment des protocoles déjà signés, citant à ce propos l’accord d’association avec l’Union européenne qui ouvre le marché européen aux produits algériens. Si les produits agroalimentaires en profitent bien, en revanche les produits industriels sont confrontés aux normes internationales imposées par l’Union européenne. Ce problème ne risque pas de se poser avec l’UEMOA. Les produits industriels algériens répondent parfaitement aux besoins de la région.
L'Algérie, qui mène une véritable offensive pour ses exportations, a également entamé des négociations de libre-échange avec quatre pays de l'Association européenne de libre-échange (AELE), la Suisse, le Liechtenstein, la Norvège et l'Islande.
Sources : les.a.fr.iques.com
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