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classement des pays en matiere de liberte de la presse 2007

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  • classement des pays en matiere de liberte de la presse 2007

    L’action de Reporters sans frontières est relayée sur les cinq continents grâce à ses sections nationales (Allemagne, Autriche, Belgique, Canada, Espagne, France, Italie, Suède et Suisse), ses bureaux à Bangkok, Londres, New York, Tokyo et Washington, et son réseau de plus de cent vingt correspondants. L’organisation travaille également en étroite collaboration avec des associations locales ou régionales de défense de la liberté de la presse, membres du « Réseau Reporters sans frontières », en Afghanistan, au Bangladesh, au Bélarus, en Birmanie, en Colombie, en Erythrée, aux Etats-Unis, au Kazakhstan, au Pakistan, au Pérou, en République démocratique du Congo, en Roumanie, en Russie, en Somalie et en Tunisie.


    http://www.rsf.org/article.php3?id_article=24025

  • #2
    Hbibna arazi bonsoir.

    24 United Kingdom 8,25

    Ce n'est plus la peine de continuer à lire ce n'importe quoi..
    Voilà un peu de lecture interressante:

    RSF et Ménard impliqués dans un scandale de corruption

    PAR JEAN-GUY ALLARD

    Reporters sans frontières(RSF) garde un silence total depuis quelques jours sur la scandale de corruption qui dégringole sur les principales sources de fonds aux Etats-Unis, le Cuban Freedom Center, de l’agent de la CIA, Frak Calzon, ami personnel du Secrétaire perpetuel et autoproclame de l’organisation française Robert Ménard.

    Le porte parole de Bush, Scott Stanzel, a révélé il y a peu que le cas de Felipe Sixto, un conseiller présidentiel sur les questions Cubaines et de Puerto Rico qui travaillait durant des années avec Calzon a été transféré au Département de la justice après qu’a été découvert que ce fonctionnaire était impliqué dans des activités de détournement de fonds.

    Menard reçoit depuis longtemps de généreux subsides de l’organisation de Calzon, avec lequel il a noué des relations d’amitié.

    L’utilisation illicite de fonds provenant de la United States Agency for International Development (USAID) a été détecté à la fin de janvier 2008, selon la confession de Calzon dans des déclarations publiques dans lesquelles il nie désespérément toute responsabilité dans les activités criminelles de son bras droit.

    Selon AP, Sixto a laissé son poste à l’organisation de Calzon et s’est incorporé au bureau des Affaire intergouvernementales de la Maison Blanche comme conseiller spécial du Président au mois de juillet dernier et « avait comme mission le contact avec les fonctionnaires hispaniques, les groupes indiens et les legislateurs des états dans les affaires concernant les relations avec Cuba, Puerto Rico, l’hygiène,les questions du travail, ou du milieu ambiant ».

    Jusqu’à aujourd’hui, Calzon s’est abstenu d’expliquer pour quoi Sixto, qui était son plus indispensable collaborateur, a accepté subitement de quitter son organisation l’été dernier.
    EL GAO YA HABIA PUESTO EL DEDO EN LA LLAGA

    Résidant à Washington, le Cuban Freedom Center prétend passer pour une « organisation non gouvernementale » dont la mission est de promouvoir « les droits de l’homme et la transition démocratique » à Cuba.

    Sixto, un cubain de Miami résidant à .Frederick, Maryland, entretient des relations assidues avec les membres connus de la mafia cubanoaméricaine.

    RSF possède en Floride des liens étroits avec des individus identifiés par le FBI lui-même comme terroristes et avec des groupes qui appuient ouvertement le terrorisme contre Cuba.

    « Rien jusqu’ici ne met en relation le Cuban Freedom Center et je suis sûr que rien (en plus) ne l’a impliqué ou est actuellement impliqué dans ces activités », a juré Calzon à la AFP. L’agence Française affirme dans un câble que l’organisation de Calzon et de Sixto a envoyé à Cuba « des milliers de livres, ordinateurs portables, radios ondes courtes et médicaments »

    Cependant, une enquête du General Accountability Office (GAO) un bureau de contrôle du gouvernement fédéral dans un rapport de 50 pages publié il y a quelques mois note que très peu des dizaines de millions distribués pour la USAID sous la Rubrique Cuba est effectivement parvenu dans l’île.

    Un nombre important des organisations parasitaires de la « dissidence » de Miami s’est approprié cette fortune quand elle a touché la Floride.

    Plus de 95% , c’est-à-dire la quasi-totalité des 65,4 millions du budger Chuba de la USAID examiné par le GAO a été attribué « en réponse à des propositions non sollcitées » sans justification légale, révélait le rapport.

    Parmi les grands bénéficiaires de cette opération de détournement de fonds on trouve Cuban Freedom Center, de Calzón, qui a bénéficié de plus de 5 millions entre 1996 et 2005.

    Comme si cela n’était pas suffisant, la USAID a reçu des subsides également de National Endowment for Democracy (IRI) et de la International Republican Institute (IRI), deux autres pourvoyeurs de RSF.
    Ce n’est pas par plaisir que Robert Ménard maintient un bureau à New York, et dispose d’une signature comptable en Virginie, à quelques minutes du Bunker de la CIA, en plus d’un compte bancaire nord-américain auquel lui seul a accès.
    CALZON, UN EX TERRORISTA DEL GRUPO ABDALA

    A la fin des années 60, Frank Calzon, alors agent spécial de la CIA, a été le dirigeant du groupe terroriste Abdala, lié au mal nommé Front de Libération National de Cuba (FLNC).

    Calzon devint à être directeur exécutif de la Fundación Nacional Cubano Americana (FNCA), depuis sa création en 1981, sous la directive de la Maison blanche de Ronald reagan. Une organisation connue pour son appui aux activités criminelles du terroriste Luis Posada Carriles.

    A partir de 1987, il passa à l’organisation d’extrême droite Freedom House pour là se créer une organisation propre,le Cuban Freedom Center, qui immédiatement reçut 400 mil dollars de la part du Gouvernement des Etats-Unis.

    Ménard a connu Calzon à ce moment là par l’intermédiaire de Otto Reich, un autre haut fonctionnaire nord américain, né à Cuba de père autrichien.

    Durant ces années Robert Ménard nia ses relations avec Calzon.

    En mars 2004, Ménard et calzon se présentèrent en public ensemble, avec une mercenaire connue de Miami, Silvia Iriondo, dans une réunion avec les députés européens, provoquée par les alliés de José María Aznardans l’Union Européenne.

    En mai, Calzon mit la main sur 5 des 34 millions que Bush avait assigné pour la bonne marche de son plan d’annexion de Cuba. Reporters sans frontières s’est alors attribué une part du gâteau..
    Cependant, il fallut attendre un forum sur internet de l’hebdomadaire du Nouvel Observateur, le 22 octobre 2004, pour que le chef de RSF reconnaisse ouvertement ses liens avec l’ex-agent de la CIA.(1)

    Pendant ce temps là il développait en France des campagnes médiatique qui montraient aux secteurs progressistes, que le chef de RSF obéissait aux directives très claires des renseignements nord-américains, Ce qui expliqua pourquoi il resta silencieux il y a peu quand d’importants médias progressistes comme la page web rebelion.com et l’Agence Bolivarienne d’Information ont été censurés par divers serveurs d’Intenet en Suisse et d’autres pays d’Europe.

    Face au scandale Sixto-Calzon, Ménard a préféré éviter la question et réaliser en France une bruyante campagne contre la Chine, avec la presse française, propriété des mêmes grandes fortunes qui le soutiennent.

    Néanmoins à Miami, il apparaît que la cas Sixto- Calzon est seulement la pointe de l’iceberg et que de nouvelles investigations pourraient promptement révéler d’autres scandaleux chapitres de la sale guerre contre Cuba menée depuis50 ans par le gouvernement de Washington.

    J.G.Allard

    (1) note de la traductrice Danielle Bleitrach. L’intégrale de ce forum est reproduit dans notre livre Danielle Bleitrach, Viktor Dedaj, Maxime Vivas, Les Etats-Unis de Mal Empire, ces leçons de résistance qui viennent du sud, Aden, 2005. Bruxelles (granma.com).

    Sources : alterinfo.net.
    A+.
    Dernière modification par arayzon, 18 juin 2008, 21h07.
    La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
    De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
    .
    Merci.
    " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

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    • #3
      Il y a comme qques qui ne va pas:
      J'ai noté Israel 44em
      Kenya: 78em malgré les massacre qui a eu recemment?*
      USA: 112 pourtant avec tous la cohorte de massacre en irak il devrait etre les derniers.
      Comores 96em , coup d'etat sur coup d'etat?
      Lybie :155em BOF......
      Mais l'Algerire 123em ?
      Quant au maroc il n'apparait pas dans le classement esr ce normale?

      Commentaire


      • #4
        Le Maroc est 106 eme.

        Deplus , c'est un classement sur la liberté de la presse et non sur la gestion du pays ou bien d'autre choses.

        Donc les massacres , coup d'etat etc...ca compte pas comme critere.

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        • #5
          Les petits pays du nord s'en sortent très bien dans le classement. En Islande, les journalistes ont presqu'une liberté absolue de travailler sans être inquiétés par la justice ou la police.

          Les grandes puissances sont devenues paranos et la liberté de la presse s'en ressent.

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          • #6
            cartographie de la liberté de presse.

            sur le lien d'arazi je me suis interessé au monde arabo-persique: Noire absence de liberté, rouge pb sérieux...à blanc plus grde liberté.
            Dans le monde arabe c'est le rouge qui domine avec des pts noirs: tunisie, arabie saoudite, libye... les seuls pays qui virent au gris c'est les mini états providence du golfe: qatar, EAU, Oman...
            Alors ne réjouissez-vous pas de ce classement. Sur ce lien il ya un autre document PDF avec un classement par pays tt le monde y passe, même les E-U.
            Merci arazi pour le lien.

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