Tweet
La 2e édition de l’Okadhiate d’Alger de la poésie arabe s’est poursuivie vendredi à travers la présentation par une pléiade de poètes algériens et arabes de leurs oeuvres poétiques dédiées à la patrie et à la lutte pour son émancipation. Parmi les éminents poètes arabes qui ont pris part à ce rendez-vous annuel organisé par l’Office national de la culture et de l’information (Onci), figure le poète jordanien Haïdar Mahmoud qui a donné lecture de deux de ses créations, intitulées El-Nachra et les Aurès.
Dans le premier poème, Haïdar Mahmoud évoque les souffrances et les sacrifices des peuples de la nation arabe pour la défense de leurs droits légitimes et leurs principes, alors que sa seconde oeuvre se veut un hymne pour la grandeur et la magnificence de la région des Aurès qui incarne, selon l’auteur du poème, «le symbole de la Révolution algérienne au Machreq arabe». Pour sa part, le jeune poète algérien, Ibrahim Seddiki, a déclamé dans une série de poèmes l’amour de la patrie, la beauté de la vie, la grandeur de la création et l’altruisme. D’autres poètes arabes ont marqué ce rendez-vous poétique, dont le Palestinien Adi qui a donné lecture d’une oeuvre de son père Ibn el-Chatie, décédé récemment, intitulée El-Fadjr fadjrek ya Djazaïr (l’aube t’appartient, ô Algérie), outre la poétesse Meyssoun Aboubakr (Arabie Saoudite), et autres Nacéra Mohamedi et Othmane el-Ouassif de l’Algérie.
La 2e édition de l’Okadhiate d’Alger sur la poésie arabe s’est ouverte jeudi et se poursuivra jusqu’à mercredi prochain avec la participation de plusieurs poètes algériens, tunisiens, marocains, bahreïnis, libanais, libyens, égyptiens, syriens, jordaniens, émiratis, saoudiens, yéménites, irakiens, omanais, mauritaniens et palestiniens.
A cette occasion, la ministre de la Culture, Mme Khalida Toumi, avait souligné dans son allocution d’ouverture l’importance de ce rendez-vous de la poésie arabe qui coïncide, a-t-elle rappelé, avec «une date importante de notre histoire, à savoir la commémoration du soulèvement pacifique du 8 Mai 1945, lorsque le peuple algérien était sorti pour revendiquer sa liberté et s’est retrouvé confronté à la répression et aux massacres collectifs perpétrés par le colonialisme».
Nous avons voulu que les poètes arabes, a-t-elle dit, «se rencontrent en cette occasion pour se remémorer et préserver la mémoire, celle de la ouma arabe», ce qui justifie le choix du thème de «la poésie arabe et l’émancipation» pour cette édition de l’Okadhiate d’Alger.
Par L'Expression
Dans le premier poème, Haïdar Mahmoud évoque les souffrances et les sacrifices des peuples de la nation arabe pour la défense de leurs droits légitimes et leurs principes, alors que sa seconde oeuvre se veut un hymne pour la grandeur et la magnificence de la région des Aurès qui incarne, selon l’auteur du poème, «le symbole de la Révolution algérienne au Machreq arabe». Pour sa part, le jeune poète algérien, Ibrahim Seddiki, a déclamé dans une série de poèmes l’amour de la patrie, la beauté de la vie, la grandeur de la création et l’altruisme. D’autres poètes arabes ont marqué ce rendez-vous poétique, dont le Palestinien Adi qui a donné lecture d’une oeuvre de son père Ibn el-Chatie, décédé récemment, intitulée El-Fadjr fadjrek ya Djazaïr (l’aube t’appartient, ô Algérie), outre la poétesse Meyssoun Aboubakr (Arabie Saoudite), et autres Nacéra Mohamedi et Othmane el-Ouassif de l’Algérie.
La 2e édition de l’Okadhiate d’Alger sur la poésie arabe s’est ouverte jeudi et se poursuivra jusqu’à mercredi prochain avec la participation de plusieurs poètes algériens, tunisiens, marocains, bahreïnis, libanais, libyens, égyptiens, syriens, jordaniens, émiratis, saoudiens, yéménites, irakiens, omanais, mauritaniens et palestiniens.
A cette occasion, la ministre de la Culture, Mme Khalida Toumi, avait souligné dans son allocution d’ouverture l’importance de ce rendez-vous de la poésie arabe qui coïncide, a-t-elle rappelé, avec «une date importante de notre histoire, à savoir la commémoration du soulèvement pacifique du 8 Mai 1945, lorsque le peuple algérien était sorti pour revendiquer sa liberté et s’est retrouvé confronté à la répression et aux massacres collectifs perpétrés par le colonialisme».
Nous avons voulu que les poètes arabes, a-t-elle dit, «se rencontrent en cette occasion pour se remémorer et préserver la mémoire, celle de la ouma arabe», ce qui justifie le choix du thème de «la poésie arabe et l’émancipation» pour cette édition de l’Okadhiate d’Alger.
Par L'Expression