Si, à un mois du sommet du 13 juillet 2008, fondateur de «L’Union Pour la Méditerranée», plusieurs questions restent à trancher par les pays membres, celle du financement de l’effort de développement des pays sud-méditerranéens, que cette nouvelle organisation est censée contribuer à accélérer, l’est déjà : non, il n’y aura pas de «Plan Marshall» en faveur de ces derniers, ont décrété les pays de l’Union européenne. C’est M. Alain Le Roy, ambassadeur en charge du projet de l’Union méditerranéenne, qui l’a annoncé vendredi 13 juin à Barcelone, lors des «Entretiens de la Méditerranée», organisés par l’Institut de Prospective Economique du Monde méditerranéen (IPEMED, France) et l’Institut Européen de la Méditerranée (IEMED, Espagne).
En outre, la question de la création d’une banque euroméditerranéenne continue de faire controverse. On a successivement parlé «de créer une banque méditerranéenne, dans un premier temps, puis une institution financière méditerranéenne et aujourd’hui on parle de structurer l’espace financer régional. La révision à la baisse de l’ambition signifie que l’administration européenne n’est pas prête à faire un effort financier plus important en faveur des pays de la rive Sud de la Méditerranée.
Du coup, il ne reste plus sur la table que le projet italo-espagnol –en cours de concrétisation- d’Agence Méditerranéenne pour le Développement des Entreprises, en particulier «des pme et des micro-entreprises», précise Mme Isabel Riaño, Directrice Générale du financement international au ministère de l’Economie espagnol.
Fin juin, les promoteurs espagnols et italiens du projet vont réunir des représentants de pays méditerranéens et européens prêts à s’y associer.
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En outre, la question de la création d’une banque euroméditerranéenne continue de faire controverse. On a successivement parlé «de créer une banque méditerranéenne, dans un premier temps, puis une institution financière méditerranéenne et aujourd’hui on parle de structurer l’espace financer régional. La révision à la baisse de l’ambition signifie que l’administration européenne n’est pas prête à faire un effort financier plus important en faveur des pays de la rive Sud de la Méditerranée.
Du coup, il ne reste plus sur la table que le projet italo-espagnol –en cours de concrétisation- d’Agence Méditerranéenne pour le Développement des Entreprises, en particulier «des pme et des micro-entreprises», précise Mme Isabel Riaño, Directrice Générale du financement international au ministère de l’Economie espagnol.
Fin juin, les promoteurs espagnols et italiens du projet vont réunir des représentants de pays méditerranéens et européens prêts à s’y associer.
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